Les points-clés du 11 Septembre

La rubrique « Points-clés du 11-Septembre » réunit 11 articles factuels qui s'appliquent à rapporter les principaux faits relatifs au 11-Septembre, avec un souci d'objectivité et dans le respect des règles du journalisme : citation des sources, recoupement de l'information, recherche de la contradiction.

L'association ReOpen911 s'engage à rectifier toute information qui se révélerait inexacte.



L'effondrement magique de la tour WTC7

Posté par .Rédaction le 24/08/2010

Le 11 Septembre 2001, 7 heures après les tours jumelles, une troisième tour haute de 47 étages, le WTC7, s'est effondrée sur elle-même en à peine 7 secondes. Sans raison apparente puisqu'aucun avion ne l'avait percutée. Chose étrange, la BBC et CNN annonçaient son effondrement ... avant même qu'il ne survienne ! La Commission d'enquête a passé le cas sous silence.

 
 
Regardons tout d'abord les images de l'éffondrement :



Traduction des commentaires du journaliste de CBS News Dan Rather : "Stupéfiant, incroyable, les mots me manquent. Pour la troisième fois aujourd'hui, ces images nous rappellent ce que nous avons tous déjà si souvent vues à la télévision, lorsqu'un immeuble est délibérément détruit par des charges de dynamite posées judicieusement pour le faire tomber."
 

 

Voici le document de synthèse produit par l'es architectes et ingénieurs de l'association AE911, il résume les principaux éléments concernant le WTC7.
 


 

 

 Voici également l'extrait du documentaire "Le Nouveau Pearl Harbor" consacré au WTC7. 

 

Les caractéristiques de la tour


Le WTC7 ou "bâtiment des frères Salomon" se situait au nord des tours jumelles. Il fut construit en 1984 sur une centrale électrique datant de 1967, une structure colonne/poutre assurait sur les premiers étages (5, 6 et 7) un important transfert de charge. Les fondations de 1967 furent renforcées avec des nouvelles fondations lorsque le bâtiment a été érigé. Ouvert aux locataires en 1987, ce bâtiment était le plus récent du complexe du World Trade Center. Vidéo d'animation de la structure du bâtiment.

Parmi les locataires figuraient, entre autres :
        - Salomon Smith Barney, filiale de Citygroup (64% d'occupation du building) [9]
        - CIA
        - Secret Service
        - IRS (fisc New Yorkais) et SEC avec ses 3000 à 4000 dossiers sur des investigations de fraudes à Wall Street (dont les affaires ENRON et MCI Worldcom).
        - Bunker du maire de New York, renforcé pour résister aux attaques terroristes.

 

Le WTC7 était situé à 100 m de la Tour Jumelle la plus proche (la Tour n°1 également appelée Tour Nord).

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 
Il s'est effondré sur lui-même de façon symétrique et régulière et à une vitesse proche de la chute libre [1] (ce qui signifie qu'une boule de billard jetée du toit du gratte-ciel aurait mis à peine moins de temps ou serait tombée à peine plus rapidement). Les autres bâtiments situés à pareille distance des Tours Jumelles (tels le bâtiment Verizon et l'US Post Office) n’ont quant à eux subi que des dommages superficiels (à noter que le WTC6 qui lui était situé au pied de la Tour Nord fut sérieusement endommagé mais il n'a pas implosé sur lui-même) .
 
 
Selon l'explication officielle, l'effondrement de cette tour - haute de 186 mètres et de 47 étages - serait dû à des incendies provoquées par la chute des tours jumelles. 
 
Il s'agit là du troisième bâtiment à structures d'acier de l'histoire à s'effondrer de la sorte à cause d'incendies ... les deux premiers étant ... les Tours Jumelles.
 
 
Deux témoignages clés : Larry Silverstein et Barry Jennings

Larry Silverstein, magnat de l'immobilier, est le propriétaire du bail du World Trade Center. En 1980, il gagna le droit des autorités portuaires de New York et du New Jersey de faire le leasing et de développer la dernière parcelle libre d'un terrain en construisant le 7 World Trade Center. Le 24 juillet 2001, 6 semaines avant les attentats, Silverstein Properties, Inc., et Westfield America, Inc. vont faire le leasing des tours jumelles et d'autres parties du complexe pour approximativement 3,2 milliards de dollars – La plus grosse vente d'immobilier de la ville et la plus grande privatisation dans l'histoire de la ville[22]. Le bail est contracté auprès de l'Autorité Portuaire de New York et a une validité de 99 ans. L'assurance en cas d'attaque terroriste s'élevait à 3.5 milliards de $. Ses avocats plaideront le double attentat pour toucher 7 miliards de $.

Larry Silverstein [15]: "Je me souviens avoir reçu un appel du chef des pompiers, me disant qu'ils n'étaient pas sûrs de pouvoir contenir le feu, et je lui ai dit, "vous le savez, Nous avons eu de terribles pertes de vies, peut-être que la meilleure chose à faire serait de le tirer." Ils ont pris cette décision de le tirer et puis nous avons regardé le bâtiment s'effondrer".

L’emploi par Silverstein du verbe anglais Pull renverrait au jargon désignant les destructions planifiées de bâtiments grâce à des explosifs. Larry Silverstein lui-même a rejeté une telle interprétation de ses propos en expliquant que la phrase ne peut être comprise que dans le contexte de la conversation et que le verbe "pull" (dans ce cas dans le sens de retirer) se référait à l'équipe d'intervention des pompiers (« it was the firefighting team, not the building, that was to be pulled »)
Nombreux sont les architectes et spécialistes de démolition à interpréter les paroles de L. Silverstein autrement. Dans le jargon de la destruction, "Pull it" est une abréviation de "pull it down" qui signifie démolir (démolish, destroy).


Barry Jennings était quant à lui coincé dans le bâtiment 7 au cours de la journée du 11 Septembre. Il rejoint le bâtiment peu après le premier impact de l'avion sur la première des tours jumelles. Le lobby est alors plein de policiers, et à son arrivée au 23e étage, tout est vide (il décrit que les cafés sont encore posés, fumants, sur les tables. Il aperçoit aussi des sandwiches à moitié mangés). Après quelques coups de fils, on lui conseille de quitter les lieux au plus vite, ce qu'il tente de faire. Mais une explosion a lieu lorsqu'il rejoint le 6e étage et le plancher s’effondre intégralement. Il reste coincé dans le bâtiment pendant plusieurs heures. L'immeuble est en feu, il est prisonnier. Il est dans le bâitment 7 lorsque les tours jumelles s'effondrent. Pendant ce temps Il est témoin de nombreuses explosions qu'il pense être au début extérieures au bâtiment mais ne voit aucune voiture ou camion exploser. Puis les pompiers arrivent à le sortir d'affaire. Il décrit son passage dans le lobby comme étant la traversée d'un champ de ruines. Il n'en revient pas de l'état de destruction du rez de chaussée du bâtiment. Il donne aussi l'information que de nombreux corps jonchent le sol à ce moment-là. Sa sortie se fait par un trou dans le mur dont il ne sait pas l'origine. Puis, sur les conseils d'un policier qui lui indique qu'il va y avoir d'autres explosions, il se met à courrir pour évacuer la zone. On lui recommande de s'éloigner de 20 blocs afin de se mettre en sécurité et de faire appel à une ambulance pour soigner ses blessures. Barry Jennings fera plusieurs déclarations, disant clairement que les explications officielles sont tout à fait inacceptables. Il mourra au milieu du mois d’août 2008 à l'âge de 53ans dans des circonstances inconnues, peu avant que le rapport sur le WTC7 du NIST ne soit rendu public.
 

 
 
Les enquêtes et l'épisode de chute libre:

La première enquête de la FEMA conduite en 2002 a été incapable d'apporter une explication à cet effondrement. Le rapport de la commission d'enquête du Sénat américain ne mentionne même pas le bâtiment. Il faudra attendre 7 ans pour qu'un rapport officiel du NIST donne enfin une explication qui se limite au déclenchement de l'effondrement du WTC7.

Le NIST conclut dans son rapport NCSTAR et sur ses pages internet à un effondrement initié par les feux intenses qui ont eu lieu dans la tour (entretenus potentiellement par plusieurs réservoirs de kérosène présents dans les premiers étages) et aux dommages transmis par l'effondrement des tours jumelles. Ainsi, ces feux auraient affaibli le bâtiment jusqu'à ce qu'il ne soit plus en mesure de supporter son propre poids.

Vidéo où l'on peut voir les bas étages sous des feux intenses.

Mais de nombreux experts sont choqués en analysant ce rapport par les incohérences de ce raisonnement :
- Ni les débris des WTC 1&2, ni le kérosène des réservoirs, ne pouvaient brûler à des températures compatibles avec un affaiblissement de l'acier de construction (les températures mises en jeu étant bien trop faibles comparées à celles des hauts fourneaux qui permettent de forger et travailler ce type d'acier).
- Et même si le feu avait eu raison de cette structure, il aurait fallu que celui-ci fasse céder simultanément plus de 50 colonnes pour que résulte un tel effondrement. Les 4 coins et les 4 façades de la tour sont tombés à la même vitesse, bien droit en accélérant en direction du sol.

L'expert en démolition Hollandais Dany Jowenko est formel. Il s'agit d'une démolition contrôlée[20].


Les controverses

A la sortie du rapport initial du NIST (août 2008), et lors d'une conférence ouverte à quelques scientifiques, deux questions très simples mettent le NIST dans une position délicate. Ces questions sont posées par le professeur de physique américain David Chandler et par Steven Jones. D. Chandler démontre que contrairement aux mesures effectuées par le NIST sur l'analyse de cet effondrement, le début de la chute se fait en suivant l'accélération de la chute libre. Steven Jones quant à lui se concentrera sur la question de la publication par le NIST du fait que la vitesse de chute aurait été selon ce rapport à peu près constante. Le responsable du NIST tentera très maladroitement de se justifier (voir la vidéo). Ces attaques ouvriront une brèche chez les scientifiques qui auront beaucoup de mal à prendre au sérieux les travaux réalisés pour ce rapport. Une version mise à jour fin 2008 intégrera les corrections et admettra un début de chute libre de 2.25s. Cette accélération incroyable, équivalente à celle qu'aurait suivi la ligne du toit suite à la disparition complète et soudaine des 6 premiers étages du bâtiment, constitue pour les Architectes et Ingénieurs de l'AE911Truth la signature de la destruction contrôlée du WTC7.

Le groupe de travail AE911TRUTH a aussi mis à disposition un rapport sur les incohérences du document du NIST [6]. Un exemple flagrant de décalage entre les simulations du NIST et l'observation visuelle de la chute est présent dans les pages 160 à 170 du document avec des illustrations tout à fait incohérentes des déformations du bâtiment[8].

Enfin, en Septembre 2008, sur le blog 911blogger.com, Tony Szamboti, ingénieur en génie mécanique, relève un problème dans le rapport du NIST. Ce dernier ne répond pas aux questions posées en 2002 par la FEMA qui demande à ce qu'une étude détaillée soit réalisée pour comprendre l'origine de la "fusion inter-granulaire" qui s'est produite sur l'acier de la structure.
 
 
Températures extrêmes

Comme pour les tours 1 et 2, les feux des décombres de la tour 7 ont mis des mois à s'éteindre. Les températures hors normes relevées dans les décombres de Ground Zéro au niveau de l'empreinte de ces trois bâtiments posent de nombreuses questions. Des témoignages de présence de mares d'acier en fusion ainsi que les photos infrarouges satellites de la NASA [12] confirment ces éléments incompatibles avec des feux d'hydrocarbures.
La piste de l'utilisation d'explosifs de haute technologie révélée par le scientifique danois Niels Harrit en 2009 dans une publication du magazine Open Chemical [19] n'a pas été suivie par les enquêteurs du NIST qui n'ont fait aucune recherche en ce sens, contrairement au plan d’exécution que devait normalement suivre l'enquête dans le cadre d'une catastrophe de cette amplitude.
 
 
Analyse sismographique

André Rousseau, ex-chercheur du CNRS en géologie-géophysique et spécialiste des ondes acoustiques a réalisé une étude au sujet de l'analyse des ondes sismiques le 11 septembre 2001. Ses travaux s'appuient sur des ondes enregistrées par la station d’enregistrement sismique de Pasadena, située à 34 km au nord-est de Manhattan.
Concernant le WTC7, l'onde s’apparente à une onde de Rayleigh à 2200m/s. Il considère qu'elle est caractéristique selon lui de l'utilisation d'explosifs. D'après lui, ces mesures indiquent une destruction classique par la base.
 


[1] Le WTC7 s'est effondré en 6,5 secondes. Les spécialistes du NIST, l'agence gouvernementale chargée de l'enquête sur les effondrements du World Trade Center, ont dû admettre que l'effondrement fut celle d'une accélération en chute libre sur les 2,25 premières secondes de la chute, suite aux remarques et aux questions simples de 2 physiciens. Voir la vidéo "L'effondrement en chute libre du WTC7 est désormais officiel".

Publié dans Divers

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