Le 22 juillet dernier, à l’occasion des 10 ans du rapport de la Commission d’enquête sur le 11-Septembre, une partie de ses anciens membres s’est retrouvée en compagnie d’autres responsables politiques à Washington pour examiner la mise en place des recommandations faites à l’époque. Le président de la commission Thomas Kean et son vice-président Lee Hamilton ont ainsi dirigé la publication d’un nouveau rapport de 24 pages réclamant la poursuite des réformes. Mais comme l’explique Mike Lofgren, un ancien analyste du budget pour la sécurité nationale et les dépenses militaires au Congrès américain, ce rapport ne tire aucune leçon des politiques agressives des États-Unis, et n’est finalement qu’un nouvel exercice de dissimulation tout comme le sont la plupart des rapports gouvernementaux, y compris celui de la commission d’enquête sur le 11-Septembre.
Couverture du rapport final sur les attentats
du 11-Septembre (image Wikipedia)
Analyse du rapport sur le 10ème anniversaire de la Commission d’enquête sur le 11-Septembre ou comment lire un rapport d’enquête gouvernemental
Traduit par François pour ReOpenNews
En tant qu’étude sur le sujet complexe du terrorisme international, l’analyse réalisée pour le 10ème anniversaire du rapport de la Commission d’enquête sur les attentats du 11-Septembre est un fatras mal ficelé d’arguments infondés et de faux raisonnements qui fait preuve d’une crédulité naïve à l’égard des affirmations des plus hauts dirigeants du gouvernement – mais il sert parfaitement les objectifs des responsables de Washington.
Une des nombreuses choses que j’ai apprises au gouvernement est que les commissions d’enquête qui examinent des scandales, des désastres, ou des atrocités, ont habituellement pour objectif d’enterrer les causes réelles de l’incident et de mettre l’accent sur des détails fortuits ou sans importance en les présentant comme épouvantables ou sans précédents. En d’autres termes, les commissions servent à dissimuler quand elles prétendent révéler. Ce n’est pas toujours le cas, mais plus les enjeux augmentent, et plus cette pratique devient la norme.
Un des maîtres de cette technique a été l’ancien président du Comité des Affaires étrangères de la Chambre des Représentants Lee H. Hamilton (Démocrate-Indiana). Il a fait ses premières armes comme président de la Commission d’enquête sur les Transactions Clandestines d’Armes avec l’Iran (*) où il prit bien soin de stopper l’enquête avant que le président Ronald Reagan ne soit impliqué et mis en accusation. Et, plus important encore, il a rendu le même service au futur président George H.W. Bush. Quelques sous-fifres ont porté le chapeau et Reagan, l’homme dont les Républicains pensent aujourd’hui qu’il faisait la pluie et le beau temps, a été fustigé pour son incapacité à contrôler ses plus proches collaborateurs. Bush, bien sûr, n’a pas été inquiété. En 1992, Hamilton dirigea le groupe de travail de la Chambre sur la "Surprise d’Octobre" et échoua une fois de plus à inculper Bush de toute malversation criminelle (dans cette affaire, Bush était soupçonné d’être impliqué dans des négociations secrètes et illégales avec l’Iran visant à empêcher que les otages américains ne soient libérés avant les élections de 1980). Vingt ans plus tard, cependant, Hamilton a avoué au journaliste d’investigation Robert Parry
qu’il avait désormais des doutes concernant la "Surprise d’Octobre". Comme on dit dans les vaudevilles, "c’est maintenant qu’il nous le dit !".
Hamilton est évidemment plus connu comme vice-président de la Commission d’enquête sur les attentats du 11-Septembre. Ce fut un parfait exemple de dissimulation déguisée en révélation. Il se distingue néanmoins de la plupart des rapports gouvernementaux par son écriture soignée et son vocabulaire grave et astucieusement trompeur concernant "les voyants au rouge" et le dysfonctionnement d’agences qui "n’ont pas su relier les points entre eux". Mais les demandes de réformes radicales et de réorganisation se sont mystérieusement atténuées quand les regards de la commission se sont tournés vers ceux qui occupaient de hautes fonctions politiques. Les milliers de milliards de dollars déversés dans la guerre au terrorisme conformément à la myriade de recommandations de la commission furent une gigantesque diversion, une partie de bonneteau sur le dos du contribuable pour cacher le fait que c’était la grave négligence de George W. Bush, après avoir été clairement prévenu des intentions d’al-Qaïda plus d’un mois avant les attentats, qui était la cause principale de la tragédie (**). La commission fut également très indulgente à l’égard de témoignages particulièrement évasifs de hauts responsables comme la conseillère à la sécurité nationale Condoleezza Rice et le directeur de la CIA Georges Tenet, témoignage qui dans le cas du procureur général John Ashcroft a frôlé le parjure (en effet, le témoignage du directeur du FBI par intérim Thomas Pickard
contredisait directement celui d’Ashcroft). Il n’est donc pas surprenant que l’ancien sénateur Max Cleland ait démissionné de son siège à la commission, en déclarant que le fonctionnement de cette instance était "
un scandale national."
Et aujourd’hui, 13 ans après les attentats du 11 septembre 2001, Hamilton et ses amis récidivent. Le 23 juillet 2014, les anciens membres de la Commission du 11-Septembre
ont publié une analyse qui évalue les progrès du gouvernement dans la mise en œuvre des recommandations contenues dans le rapport initial de 2004. Les membres de la commission – et non, les dinosaures de Washington comme Hamilton, Thomas Kean, et les autres membres de la commission ne quittent jamais vraiment la scène – ont interviewé sans surprise les actuels et anciens hauts responsables de la sécurité nationale et ont découvert sans plus de surprise grâce à eux que le gouvernement faisait du sacré bon travail dans la lutte contre le terrorisme.
"Les résultats du gouvernement en matière de contre-terrorisme sont bons," dit le rapport, et "nos capacités ont fortement progressé." Est-ce le moment de pousser un soupir de soulagement ? Non, sinon ce ne serait pas un rapport digne de Washington : malgré tous ces efforts, la menace liée au terrorisme, d’après l’un de ceux qui ont été interviewés, le directeur du FBI James Comey, "a pris une ampleur plus préoccupante."
Une étude de 2011 publiée par l’Institut Watson d’Études internationales de l’Université Brown a révélé qu’en cumulant les coûts de toutes les agences gouvernementales, la guerre au terrorisme avait coûté environ 4400 milliards de dollars à ce jour et que le déficit budgétaire lié à ces dépenses pourrait coûter 1000 milliards de dollars supplémentaires d’ici 2020.
J’en déduis que Comey sous-entend que nous devons prévoir des dépenses d’un ordre de grandeur bien supérieur pour faire face à la menace, car durant mon mandat au gouvernement, la solution à n’importe quel problème rencontré par une agence était invariablement une augmentation de budget. Les membres de la commission ont approuvé cette dérive, écrivant d’un ton sinistre sur la politique de l’autruche du peuple américain : "Dossier après dossier… la prise de conscience du public est à la traîne derrière celle de Washington." Pour contrer la "montée progressive de l’insouciance" qui gagne le peuple américain, le rapport, tel un sermon de télévangéliste, presse le gouvernement de clarifier "le mal qui nous guette."
Alors que le rapport fait grand cas d’une détérioration de la sécurité en Irak durant 2014 en tant que prochaine grande menace potentielle, il ne dit pas un mot sur la façon dont certains membres de notre gouvernement, en utilisant la peur et l’outrance pour exploiter les sentiments du public après le 11-Septembre et en détournant la guerre au terrorisme par l’invasion de l’Irak pour servir leurs propres intérêts, ont exactement créé les conditions qui ont conduit à cette détérioration. Pas plus que les membres de la commission, alors qu’ils décrient le fait que la guerre civile en Syrie constitue un terreau fertile pour les terroristes, ne reconnaissent le rôle que les alliés américains, comme l’Arabie saoudite, jouent depuis des décennies
en fomentant et en subventionnant des mouvements djihadistes (
parfois en connivence avec les États-Unis).
Finalement, la commission ne pose pas la question fondamentale : Est-ce que la méthode utilisée par les États-Unis pour mener la guerre au terrorisme, avec ses invasions militaires, ses attaques de drones, ses prisons secrètes, la torture et les renditions (***) n’ont pas fabriqué plus de terroristes qu’elles n’en ont tués ou emprisonnés ? En tant qu’enquête sur le sujet complexe du terrorisme international, l’analyse réalisée pour le 10ème anniversaire du rapport de la Commission sur le 11-Septembre est un fatras mal ficelé d’arguments infondés et de faux raisonnements qui fait preuve d’une crédulité naïve à l’égard des affirmations des plus hauts dirigeants. Mais comme exemple de la façon dont "l’État profond" et ses agents, comme Hamilton, exploitent un cocktail explosif de peur, d’amnésie sélective et d’interventions des agences pour protéger les intérêts du gouvernement et des entreprises qui travaillent dans le domaine de la sécurité nationale, ce rapport est un cran au-dessus autres.
Mike Lofgren
Notes de la rédaction :
(*) L’auteur fait référence à l’affaire Iran-Contra : L’affaire Iran-Contra (ou Irangate, nommée ainsi en souvenir du scandale du Watergate) est un scandale politique survenu aux États-Unis dans les années 1980. L’affaire est toujours voilée de secrets et il est difficile de découvrir les faits. Plusieurs membres de l’administration Reagan ont vendu illégalement des armes à l’Iran, qui était un ennemi avoué des États-Unis, utilisant les profits pour financer secrètement, et malgré l’opposition du Congrès des États-Unis, les Contras, un mouvement contre-révolutionnaire nicaraguayen de lutte armée regroupant les opposants au gouvernement sandiniste de Daniel Ortega. Dans le cadre de la Guerre froide, il s’agit pour l’administration Reagan de renverser un régime considéré comme communiste et situé dans ce que les États-Unis considèrent comme leur zone d’influence. (Extrait de l’article de Wikipedia)
(***) Le terme rendition (qu’on peut vaguement traduire par « restitution ») désigne l’action de transférer un prisonnier d’un pays à un autre hors du cadre judiciaire, notamment hors des procédures normales d’extradition. Ce terme a été médiatisé dans le cadre de la « guerre contre le terrorisme », notamment à propos d’opérations de la CIA américaine de transport clandestin de prisonniers, parfois précédé d’un enlèvement et parfois associé à une sorte « d’externalisation » de la torture, les États-Unis faisant torturer des prisonniers dans des pays alliés tout en l’interdisant sur leur territoire. (Extrait de l’article de Wikipedia)
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La dissimulation continue pour les 10 ans du rapport d’enquête sur le 11-Septembre,peut-être, mais le plan du PNAC se porte très bien, lui.
Si on retourne à la case de départ avec ces accusations que nous savons maintenant sans fondements contre Ben Laden,Saddam Hussein et contre tous les autres pays après l’Afghanistan et l’Irak qui ont été envahis,voilà l’occasion de regarder avec des yeux expérimentés les nouveaux messages diffusés actuellement pour faire monter notre rage et voter d’autre budgets pour déclarer encore plus de guerres.
Les videos d’Ossamam Ben Laden étaient pour la plupart des faux mais certifiés vrais par la CIA, ce qui a suffit à plusieurs pays pour déclarer la guerre aux côtés des E.U. contre des pays n’ayant rien à voir avec les attentats du 11 septembre 2001.
Nous avons maintenant les videos des décapitations de 2 journalistes et un travailleur humanitaire par un homme masqué.
Comme dans le cas des attentats du 11 septembre,la lâcheté des ces actes barbares obligent un action-réaction.Et encore une fois on ne connaît pas le meurtrier mais seulement le message de revendication du soit-disant E.I. et financé par qui?
Çà vous dit quelque chose?
Et tous ces pays qui cette semaine, se réunissaient à Paris pour décider de ce qu’ils croient être la »juste guerre »,sans aller plus loin dans leurs recherches…
Pouvons-nous au moins garder une distance cette fois-ci après tout ce que nous avons du avaler?
Étrange tout de même que ces sanguinaires-masqués ne s’en prennent pas aux militaires.
Non,à des journalistes et un travailleur humanitaire.Y a comme une odeur…
Quoiqu’il en soit, le plan du PNAC se porte très bien et j’en profite pour relayer une série d’infos qui nous montre que le cas de la Palestine n’est pas seulement la cause des palestiniens mais que si cela passe comme une lettre à la poste,les prochains seront nous.
Nous savons tous maintenant que la VO était de la bouillie pour les chats mais que jumelée à un pouvoir médiatique frisant l’hypnotisme collectif,cela aura permis au Complexe Militaro Industriel d’avoir le temps de faire ses avancées telles que décrites par le général américain Wesley Clark.
http://www.youtube.com/watch?v=2vWe0cVdYRI
Je commencerai par John Pilger,journaliste d’enquête, qui nous dit que l’attaque contre la Palestine est une attaque contre l’humanité entière annonçant du même coup l’arrivée d’une troisième guerre mondiale .
»The attack on Gaza was an attack on all of us. The denial of justice to Palestinians is a symptom of much of humanity under siege and a warning that the threat of a new world war is growing by the day, ».
http://www.truth-out.org/opinion/item/26130-breaking-the-last-taboo-gaza-and-the-threat-of-world-war
Je continue dans la même lignée avec l’émission Breaking The Set d’aujourd’hui 16-09-2014 et Abby Martin qui interview 2 personnes qui ont été témoins à Gaza de crimes de guerre commis par Israel(4eme puissance militaire au monde) lors de leur dernier massacre collectif contre les palestiniens,appelé Bordure Protectrice,appuyé et encouragé par la première puissance militaire au monde,les E.U.,qui de surcroit, ont été le seul pays à opposer leur veto à l’ONU contre une commission d’enquête internationale pour crimes de guerre contre l’humanité par Israel envers les palestiniens.
http://hebdo.ahram.org.eg/NewsContent/1037/10/124/6602/Isra%C3%ABl-peutil-%C3%AAtre-jug%C3%A9-.aspx
Breaking the Set:
Gaza in ruins, Israel’s ban on dignity, more illegal settlements & decades to rebuild
http://rt.com/shows/breaking-set-summary/188060-gaza-palestine-israel-blocade/
Et je termine avec l’info capitale de Michel Collon qui nous révèle qu’Israel n’a pas de frontière définies dans sa constitution et qu’en fait ce n’est qu’un projet d’expansion, et vous avez là l’équation parfaite pour relier tout çà au plan d’expansion du PNAC et à une guerre infinie et d’une infinie barbarie.
Les 10 Grands Média Mensonges d’Israël – Michel Collon
http://rt.com/shows/breaking-set-summary/188060-gaza-palestine-israel-blocade/
Alors, au lieu de perdre notre temps à attendre que les 28 pages du rapport nous soient un jour restituées,28 pages connues des 2 présidents qui ont insisté pour en maintenir la censure,nous pouvons au moins voir clair sur les nouveaux discours manipulateurs nous entraînant encore une fois dans une séries de guerres sans fin.L’armement c’est payant.
À part quelques rares exceptions qui le font au péril de leur vie,les journalistes ont abdiqué leur rôle de chien de garde de la démocratie et voilà où nous en sommes rendus.
Je place en lien ce video(en anglais pour le moment…) que j’ai découvert hier et qui ma foi relaie beaucoup d’infos en peu de temps,de façon élégante et rythmée.À l’origine il (David Hooper) faisait un film pour ses amis qui ne voulaient rien savoir des contestataires de la VO. Maintenant il est en ligne.
J’aime bien aussi la dernière partie dans laquelle il expose une vision globale des attentats qui dépasse de loin le pouvoir du président américain.Cette partie est traitée de façon originale.
David Hooper 2014 “Anatomy of a Great Deception”
http://www.youtube.com/watch?v=0YZ1NPjfJqI
La dissimulation continue pour les 10 ans du rapport d’enquête sur le 11-septembre
Il y a quand même des signes que des infos s’apprêtent à sortir pour préparer l’opinion publique,car on nous donne bien ce qu’ils veulent qu’on sache n’est-ce pas?
Évidemment il y a eu ces sorties de quelques membres du congrès à qui on avait accordé le »privilège » de lire les 28 pages du rapport de 2002 censuré,qui nous laissaient entendre qu’une ou des puissances étrangères avaient participé dans les attentats du 11 septembre 2001 et que les Américains risquaient de ne plus voir ces »alliés » de la même façon après.
Puis début novembre 2014,je trouvais en ligne ce documentaire plus élaboré des attentats contre le navire américain,le USS Liberty.On y a placé des extraits audio de conversations venant d’être déclassifiées,pour qu’on sache clairement que ce ne fut pas une erreur d’identification du navire de la part d’Israël,mais qu’il savait exactement que ce navire était américain.Les agresseurs israéliens avaient réussi à bloquer toute communication du navire avec l’extérieur. Le couler,et éliminer tout survivant autour, leur auraient permis de faire passer ça sur le dos de l’Égypte pour entraîner le E.U. dans la guerre des 6 jours de 1967.Malheureusement pour Israël,le navire n’a pas coulé complètement.
La partie qui suit pour étouffer l’affaire à Washington sous Lyndon Johnson est de toute beauté et je n’en dis pas plus, mais il y a tellement de similitudes dans cette dissimulation comparativement à celle des attentats du 11 septembre 200, qu’on a l’impression de se retrouver en terrain connu.
Et même qu’un vétéran survivant déclare à la fin que si les E.U. laissaient passer çà(en 1967Israël pourrait récidiver à tout moment.
THE DAY ISRAEL ATTACKED AMERICA
http://www.dailymotion.com/video/x292hcj_the-day-israel-attacked-america_news?start=4
Puis aujourd’hui,le 16-11-2014, on laisse filer un document »secret » comme quoi les E.U. s’apprêteraient à imposer des sanctions à Israël face au non-respect des »accords » Israël-Palestine:
Israel may face EU sanctions for hampering 2-state solution – secret document http://rt.com/news/205963-israel-eu-sanctions-settlement/
C’est quand même des fuites intéressantes qui nous laissent entendre clairement que la lune de miel entre les E.U. et Israël n’est plus au beau fixe et cela nous aligne sur une piste.
En contrepartie,suite aux dernières élections de mi-mandat où les républicains ont repris le contrôle total de la Chambre et du Sénat,tout ça risque d’être jeté aux poubelles,ceux-ci reprendront le pouvoir et l’AIPAC aura à nouveau fait la démonstration de sa puissance sur la démocratie, à moins que…
La dissimulation continue pour les 10 ans du rapport d’enquête sur le 11-septembre
Sur C-Span,lors d’une conférence de presse de Georges W. Bush,le journaliste Ken Herman fait admettre à Bush-fils, que le gouvernement américain paie des journalistes pour publier des blocs de nouvelles préparés par le gouvernement américain servant à publier sa propagande et faire avancer ses agendas politiques.
»In this clip, Bush tells a reporter it has been a long standing federal government practice to pay journalists to run fake pre-packaged news stories, which server as government propaganda to further political agendas. »
Bush Admits To Planting Fake News Stories
http://www.youtube.com/watch?v=lyTRbApdfyU
911 Pre Packaged Fake News Planes Edited in
http://www.youtube.com/watch?v=_fUQxeYWO8c&feature=youtube_gdata
Le rapport sur la torture commise après le 11 septembre 2001 partout à travers le monde par la CIA est maintenant rendu public.
Y a-t-il un journaliste digne de ce nom qui va poser LA question:
M. le Président,qu’arrive-t-il des aveux de Khalid Cheikh Mohamed,présumé cerveau des attentats du 11 septembre 2001,que la CIA a soumis 183 fois au supplice de la noyade avant de s’autoproclamer responsable de tout?
Le rapport est limpide,et nous dit aujourd’hui que la torture n’a en aucun cas permis d’obtenir d’informations fiables .
Dans ce cas,M. le Président,avez-vous d’autres choix que de ré-ouvrir l’enquête sur les attentats du 11 septembre 2001 puisque de toute évidence et à la lumière des conclusions du rapport,les coupables courent toujours.