11 Septembre : le citoyen face aux experts

En tant que membre de ReOpen911 (le Mouvement français pour la vérité sur le 11 septembre), on me demande souvent pourquoi de simples citoyens se prétendent supérieurs aux experts. La question paraît contenir la réponse mais en réalité, il existe bel et bien un moyen d’être non pas “supérieur” aux experts, mais d’avancer, même en s’opposant à une majorité (supposée) d’experts. La solution consiste à examiner les arguments sur le plan logique.

Je dois préciser au préalable que j’écris en mon nom propre, puisque le Mouvement pour la vérité compte de nombreux experts et qu’en France, ReOpen911 (1) compte aussi des professionnels parmi ses membres (un professionnel de la démolition contrôlée, par exemple). En ce qui me concerne, je ne suis ni architecte, ni contrôleur aérien, etc.

Le simple citoyen, donc, peut-il se positionner dans le débat sur les attentats du 11 septembre 2001, malgré les importants désaccords existant entre les experts ?


Les Tours Jumelles possèdent un noyau constitué de 47 colossales poutres d’acier,
occupant au centre des tours un rectangle égal à 30% de la surface de l’étage.

Arguments faisant l’unanimité

Dans le cas le plus simple, nos contradicteurs sont d’accord avec nous. Cela arrive plus souvent qu’on ne le pense. Par exemple, l’architecte Christophe Hébert observe, comme nous, la ressemblance de l’effondrement de la tour nord avec la démolition à l’explosif prévue en fin de vie de la tour, puisque dans les deux cas l’effondrement est vertical et entraîné par le noyau (2) (3). Noter que Hébert n’est pas à proprement parler un contradicteur puisqu’il ne semblait pas connaître l’existence de la controverse lorsqu’il a écrit son article.

Arguments sans contradiction

Un autre cas simple est celui où nos arguments ne sont pas contredits. Sur un plan logique, je peux et je dois alors envisager qu’ils sont valides. Je ne peux exclure toutefois que nos contradicteurs ignorent l’existence de ces arguments ou qu’ils n’ont pas pris le temps de les étudier. Par exemple, notre affirmation selon laquelle, tour n° 7 du World Trade Center mis à part, aucun grand immeuble à structure acier n’a jamais cédé au feu n’est pas contredite.


Présentation du rapport sur la tour n° 7 par le NIST en août 2008, à gauche,
et extrait du diaporama de Richard Gage, à droite.

Arguments faisant polémique

Le troisième cas de figure, le plus difficile, est celui où nos arguments sont controversés. Si des affirmations scientifiques s’opposent, le simple citoyen que je suis ne peut pas trancher et doit conserver les deux affirmations. Par exemple, le NIST (l’organisme scientifique gouvernemental ayant conduit l’enquête la plus récente) affirme ne pas avoir trouvé de preuve que les Tours Jumelles ont été détruites par une démolition contrôlée (4) (ce qui contredit d’ailleurs l’observation de Hébert). De son côté, Richard Gage, un architecte du Mouvement pour la vérité, affirme au contraire que l’effondrement de la tour n° 7 du World Trade Center présente toutes les caractéristiques d’une démolition contrôlée et qu’il y a de nombreuses preuves de démolition contrôlée aussi pour les Tours Jumelles (5). Le néophyte que je suis ne peut que garder, dans un premier temps, ces deux affirmations contradictoires. Ce cas de figure est le plus embarrassant pour le citoyen.

À défaut de pouvoir résoudre les oppositions scientifiques, il n’est pas interdit pour le citoyen d’examiner si, d’un point de vue logique, les arguments de nos contradicteurs démontent effectivement les nôtres. Et ici nos contradicteurs commettent une grande variété d’erreurs.


  Panaches horizontaux pendant l’effondrement des tours (devant et sur le côté).

L’erreur la plus répandue consiste, pour nos contradicteurs, à émettre une autre interprétation du même fait en faisant comme si cela suffisait. Par exemple, le journaliste Stéphane Malterre, dans un documentaire diffusé sur Canal+ en avril dernier (6), affirme que les panaches de fumée horizontaux sortant des Tours Jumelles pendant leur effondrement (7) sont dus à l’air chassé par les planchers en train de tomber et fait comme si c’était la seule explication. Ce type d’erreur est vraiment très fréquent.

Un autre erreur répandue consiste, pour nos contradicteurs, à sélectionner nos arguments. Cela signifie que nos contradicteurs choisissent de répondre à certains arguments (parfois au moyen de l’autre interprétation) et d’en ignorer d’autres. Or, je cherche une thèse complète pour le 11 septembre, et non une thèse incomplète. Par exemple, les traces possibles d’explosifs observés par la FEMA (l’organisme scientifique gouvernemental ayant mené la première enquête) (8) et Barnett (9) sur les poutres en acier de la tour n° 7 sont embarrassantes, car inexplicables dans le cadre d’un incendie. En conséquence, nos contradicteurs les ignorent.

Une variante de la sélection des arguments est la sélection des faits. Par exemple, l’ingénieur en structure Geoff Rooke, lorsqu’il évoque les bâtiments abîmés par la chute les Tours Jumelles, les considère tous comme « détruits » (10). Il omet de signaler que tous ces bâtiments sont restés debout, sauf la tour n° 7, qui n’était pourtant pas la plus abîmée, loin de là (11). Il s’évite ainsi d’avoir à argumenter sur ce que nous considérons comme l’anomalie la plus criante de toute cette affaire.


  Antoine Vitkine sur le plateau de France 24 (sept. 2008)

Un autre raisonnement étrange chez nos contradicteurs est celui selon lequel le dernier qui parle a raison. De ce point de vue, il n’est plus nécessaire d’examiner l’argument, mais seulement sa date. Par exemple, l’auteur Antoine Vitkine, invité sur le plateau de France 24 en septembre dernier, nous reproche de continuer à parler du rapport de la FEMA alors que le rapport du NIST est sorti depuis (12).

Pour qu’un contre-argument soit retenu, encore faut-il qu’il ne déforme pas nos arguments. Par exemple, Phil Mole, auteur d’un article prétendant démonter nos arguments, nous prête d’affirmer tantôt que l’acier a fondu, et tantôt de donner pour les températures de l’acier des valeurs trop faibles pour le faire fondre (13). En fait, Mole mélange deux problèmes : d’une part la présence d’acier fondu, observée par des témoins (premier sujet), et d’autre part les températures atteintes par l’acier pendant l’incendie, sur lesquelles le Mouvement pour la vérité est plutôt d’accord avec le NIST, sauf envolées lyriques de ce dernier nécessaires à ses exercices de contorsion. Par ailleurs, vu les chiffres donnés, je crains que Mole ne mélange les températures de l’air et de l’acier. D’après le NIST, la température de l’acier n’a pas dépassé les 250 °C dans l’immense majorité des cas, et dans le cadre de l’incendie, nous sommes d’accord avec ce chiffre.


  Tour sud : juste avant l’effondrement, le bloc supérieur se penche.

Les arguments de nos contradicteurs peuvent aussi être tout simplement illogiques. Par exemple, Phil Mole explique de la façon suivante pourquoi la tour nord tombe droite alors que la tour sud penche sur le côté (une autre anomalie) (14) : la tour sud a été touchée dans un coin et plus bas (15). Ce à quoi on peut répondre que, d’une part, Mole confond le centre d’une face et le centre de la tour, car la tour nord, bien que frappée au centre d’une face, n’a pas été frappée au centre tout court, et d’autre part que les colonnes d’acier sont plus résistantes dans les étages inférieurs, de sorte que frapper plus bas revient à frapper un endroit plus solide (l’acier formant les colonnes du noyau a une épaisseur de 13 cm dans les fondations et décroît pour atteindre 1 cm au sommet (16)).

Autre type d’argument, les attaques sur les personnes, qui exploitent l’idée qu’un argument n’a pas le même poids selon la personne qui l’énonce. Par exemple, le blogueur Tristan Mendès-France, entendant démonter nos arguments, insiste sur le fait qu’ils viennent (selon lui) de l’extrême-droite antisémite (17) ou bien d’un scientifique qu’il considère comme discrédité (18).

Une variante des attaques sur les personnes sont les accusations diverses dont nous sommes l’objet. Nous serions anti-ceci, pro-cela… De façon amusante, ces accusations révèlent en réalité les attirances et les répulsions de leur auteur. Ainsi, une personne hostile à l’extrême-gauche nous placera à l’extrême-gauche, et de même avec l’extrême-droite. Un sympathisant d’Israël nous accusera d’antisionisme voire d’antisémitisme, tandis qu’une personne islamophobe nous accusera de soutenir l’islamisme radical. Par exemple, l’intellectuel Alexandre Adler, que l’extrême-gauche effraie visiblement, nous associe à la montée d’un « social fascisme » très à gauche (19), tandis que le journaliste euro-enthousiaste Jean Quatremer nous mélange, sans surprise, avec les… euro-sceptiques (20).

Nos contradicteurs recourent aussi à l’argument d’autorité. L’autorité peut changer d’avis, se rétracter, et ainsi de suite plusieurs fois : sa version est toujours la bonne. Par exemple, Nathalie Bastin de l’ESISC (un centre d’étude spécialisé dans le terrorisme) évoque dans un document différentes motivations possibles des chercheurs et des militants du Mouvement pour la vérité : la paranoïa, le refus de la réalité, l’anti-américanisme, etc. (21). L’éventualité que nous ayons raison n’est tout simplement pas envisagée puisque nous mettons en doute la version officielle.

Le glissement sémantique est utilisé par nos contradicteurs pour nous associer à ce que nous ne sommes pas. Par exemple, le professeur de philosophie Robert Redeker, dans un article du Monde resté célèbre, nous assimile aux révisionnistes de la Shoah (22) (23).

La confusion entre acteur et observateur entraîne certains contradicteurs à nous reprocher les informations que nous apportons, comme si nous avions une quelconque responsabilité dans leur concrétisation. Selon ces contradicteurs, nous avons des “opinions extrêmes” ou, typiquement, nous “alimentons l’antisémitisme”. Il va de soi qu’étudier un événement ne signifie pas qu’on y a participé, ni d’ailleurs qu’on l’approuve.


Journal de France 2 du 10 septembre 2008

À court d’arguments, nos contradicteurs nous assènent enfin la réalité telle qu’ils l’imaginent. Par exemple, dans un reportage diffusé en septembre dernier, France 2 invente pour Marion Cotillard et Jean-Marie Bigard des rétractations qui n’ont jamais existé (24) (Cotillard et Bigard ont au contraire confirmé leur position (25) (26)).

Le 11 septembre 2001

En pratique, j’ai pu observer depuis deux ans que l’opposition scientifique frontale est rare et porte sur des points secondaires, et pas sur nos affirmations principales. Par exemple, le fait que le NIST voie un incendie faire rage là où les photos montrent un feu éteint dans la tour n° 7 (27) est une opposition frontale sur un fait, mais reste secondaire car incendie ou pas incendie, ça ne fait pas disparaître les signes de démolition contrôlée. Les preuves de démolition contrôlée que nous avançons n’ont jamais été contredites. Par conséquent, nous maintenons nos affirmations :

  1. La démolition contrôlée est la meilleure hypothèse pour expliquer l’effondrement des trois tours du World Trade Center.
  2. De nombreuses anomalies suggèrent des complicités dans l’armée de l’air et les services de renseignement des États-Unis, et l’implication de pays alliés.
  3. Le rôle de l’équipe d’Al-Qaïda se limitait probablement à attirer l’attention sur elle.

Et nous attendons toujours une réfutation de nos arguments.

Conclusion

Comme nous le voyons, le citoyen néophyte, s’il n’est pas capable de résoudre les oppositions scientifiques, est tout de même capable d’évaluer les arguments sur le plan logique et de rejeter ce qui n’est pas logique. J’invite nos contradicteurs à vérifier, à l’avenir, que leurs arguments n’appartiennent pas à l’une des catégories ci-dessus car, bien que plusieurs d’entre elles aient une certaine efficacité sur l’opinion publique, et notamment les accusations, ces arguments sont invalides sur le plan logique et ne convaincront pas les militants de ReOpen911.

Par Yves Ducourneau, le 9 décembre 2008


Références :

(1) http://www.reopen911.info/reopen911.html

(2) « [...] l’aspect “propre”, vertical de l’effondrement, telle que l’avaient prévu les ingénieurs (dynamitage du noyau). » (http://www.cyberarchi.com/…article=4282)

(3) On observera, sur ces images de la tour nord, la verticalité de l’effondrement et l’antenne, posée sur le noyau, descendre une fraction de seconde avant le reste : http://video.google.com/…3839229

(4) « In summary, NIST found no corroborating evidence for alternative hypotheses suggesting that the WTC towers were brought down by controlled demolition using explosives planted prior to Sept. 11, 2001. » (http://wtc.nist.gov/…/faqs_8_2006.htm)

(5) Télécharger ici la traduction française du diaporama de Richard Gage, au format PDF (pages 85 et 271 notamment) : http://download.sfrs.fr/media-1/…/221004.pdf

(6) “Jeudi Investigation : Rumeur, intox : les nouvelles guerres de l’info”, réalisé par Stéphane Malterre, diffusé le 24 avril 2008 sur Canal+ ( http://forums.lesinsoumis.org/…f=27&p=3290 ).

(7) Images : http://yves.ducourneau.club.fr/…terale1.jpg et http://yves.ducourneau.club.fr/…terale2.jpg

(8) « D’énormes trous – certains plus larges qu’une pièce d’un dollar – laissent passer la lumière au travers d’une pièce d’acier qui était autrefois massive. Cette allure de fromage suisse a choqué tous les spécialistes du feu, qui s’attendaient à des déformations et des courbures – mais pas à des trous. » (http://yves.ducourneau.club.fr/119/jones2.html)

(9) « (…) l’érosion inattendue de l’acier trouvé dans cette poutrelle a justifié une étude sur les changements microstructuraux qui se sont produits dans cet acier. L’examen d’autres parties de cette poutrelle est en cours. ANALYSE – La rapide détérioration de l’acier a été le résultat d’un chauffage avec oxydation en combinaison avec une fusion inter-granulaire due à la présence de soufre. » (http://yves.ducourneau.club.fr/119/jones.html)

(10) « Les dégâts collatéraux : Mariotte Hôtel, World Trade Center No.3, South Plaza No.4, Douane des États-Unis – Bat 6, Winter Garden, Église grecque de Saint Nicolas, Bat 5 et 7, 90 West Street, Banken Trust Batiment, Batiment Verzin, World Financial Center – Batiment No.3. Tous ces bâtiments ont été détruits par l’effondrement des deux tours. » (http://download.sfrs.fr/media-1/…221004.pdf)

(11) Images de la tour n° 7 et d’autres bâtiments abîmés : http://yves.ducourneau.club.fr/119/wtc7.html

(12) “Le débat de France 24 : le mythe du complot”, diffusé le 11 septembre 2008 sur France 24, à 10’ : http://www.dailymotion.com/…-du-complot_news

(13) « Le 9/11 Truth Movement affirme ou sous-entend souvent que l’acier à dû fondre (…). Alors que leurs estimations de la température de l’incendie du WTC varient, la plupart d’entre eux sont d’accord pour dire que la température a probablement atteint 538 °C et peut-être dépassé les 982 °C. Des flammes de cette température seraient un peu en-dessous des près de 1537 °C nécessaires pour faire fondre l’acier (…). » (“Les théories conspirationnistes autour du 11 septembre”, par Phil Mole ; http://www.pseudo-sciences.org/…?article786)

(14) Effondrement de la tour sud : http://video.google.fr/…762708889

(15) « Les images [montrent que la tour Sud] a penché dans la direction du point d’impact avant de commencer à s’écrouler [...]. La différence entre les deux effondrements peut s’expliquer par la manière dont chaque avion a heurté les bâtiments. Le premier avion a touché la tour Nord entre les 94e et 98e étages et l’a heurtée de plein fouet, s’encastrant quasiment directement jusqu’au cœur du bâtiment. Le deuxième avion a heurté la tour Sud entre les 74e et 78e étages, mais s’est encastré de biais, endommageant gravement tout le coin nord-est du bâtiment. Comparée à la tour Nord, la tour Sud a subi des dommages qui étaient à la fois moins également répartis et nettement plus bas dans la structure, obligeant le point affaibli à supporter plus de poids [...]. » (Phil Mole)

(16) “Le procès du 11 septembre”, par Victor Thorn, page 26 (http://www.editionsdemilune.com/…mbre-p-3.html)

(17) « D’abord, il faut montrer (grâce au documentaire de Stéphane Malterre sur Canal+) en quoi certaines références conspirationnistes du mouvement reopen911-USA sur les attentats du 11 septembre proviennent directement des mouvances d’extrême-droite antisémites américaines [...]. » (http://blog.mendes-france.com/…vs-reopen/)

(18) « JP Petit est celui qui a relayé en France l’idée que le tsunami de 2004 était une expérimentation militaire américaine qui a mal tourné. Voilà le genre d’ “experts” auxquels les conspis accordent du crédit [...]. » (http://blog.mendes-france.com/…niste-lui-meme/)

(19) “Social fascisme”, Le Figaro du 4 octobre 2008 (http://www.lefigaro.fr/…-social-fascisme-.php)

(20) “Quand l’euroscepticisme mène au conspirationnisme”, le 24 septembre 2008 (http://bruxelles.blogs.liberation.fr/…les-eurosceptiq.html)

(21) “Le révisionnisme post 9/11”, par Nathalie Bastin de l’ESISC, le 13 décembre 2007, pages 5 et 7 (http://www.esisc.org/…/revisionnisme-333.pdf)

(22) “Marion Cotillard et les complots”, Le Monde du 30 mars 2008 (http://leblogdrzz.over-blog.com/…953.html)

(23) Voir la discussion sur Wikipédia : http://fr.wikipedia.org/wiki/révisionnisme

(24) Journal de France 2 du 10 septembre 2008, à 01’ : http://www.dailymotion.com/…-avec-nos_news

(25) “11 septembre 2001 : Marion Cotillard persiste et signe”, par Olivier Bonnet (http://www.plumedepresse.com/spip.php?article512)

(26) Voir Jean-Marie Bigard au Grand Journal de Canal+ le 17 octobre 2008, à 02’50” : http://www.youtube.com/watch?v=hs8eG6STob4

(27) « Cette partie de la simulation des incendies [par le NIST] contredit les propres preuves photographiques du NIST sur l’activité des feux au 11e étage. » (http://www.reopen911.info/…me-partie/)

47 Responses to “11 Septembre : le citoyen face aux experts”

  • MoKa

    Magnifique, merci.

  • twist86

    Un bon article bien documenté qui illustre parfaitement les différentes sortes de contestations auxquelles sont confrontés les membres du mouvement pour la vérité sur le 11 septembre.

  • yakay

    Quel autres commentaires laisser que celui-ci:

    une bonne grande baffe générale.

    Tous le monde doté d’un peu d’esprit, de réflexion et de logique devrait ne pouvoir être que réveillé ou au moins interpellé et peut-être commencé à trouver sa vraie place dans notre société..

    Bien sûr avec l’espoir qu’il éxiste encore sur terre des Hommes de bonnes volontés.

    Chapeau M. Spotless Mind, te lire quand j’étais membre était déjà plaisir.

  • Domino

    Quand la vérité est aussi laide, les gens préfèrent l’ignorer et
    se ranger du côté des menteurs.

    Tant pis pour eux.

  • lapige

    Oui, on peut résumer la situation actuelle à ceci:
    1/ un scientifique « approbateur » de la VO compte 2 X 2 = 5.
    Bon calcul !
    2/ un scientifique « conspirationniste » compte aussi 2 X 2 = 4.
    Zéro pointé !
    Pourquoi ? Parce qu’il ne sait pas compter ?
    Non, parce qu’il est … conspirationniste.
    Les tenants de la VO sont en dehors de toute rationalité.
    Mais … petit à petit, l’oiseau fait son nid.

  • samaouste

    Excellent , comme d’hab … Mais je ne sais pas pour vous, mais dans la vie de tous les jours, de moins en moins de gens argumentent ou savent le faire contre nos propres argument. En ce qui me concerne et dans mon cercle professionnel entre autre, les gens sont assez réceptifs à ce que je leur amène sur le sujet.
    Il faut dire que je possède de bonnes sources …:D :D

  • J’étais scéptique au début mais cet article est vraiment très bien. Bravo.

  • Hélas, si on ne se fiait qu’à la logique, un vent de quelques dizaines de km/h (une poignée pas plus) n’aurait JAMAIS pu faire s’effondrer le pont de Tacoma lourd de plusieurs dizaines de tonnes…

    Les ingénieurs et « experts » ont étudié ce cas, et depuis, plus aucun pont ne s’est effondré sous l’action du vent…

    Comme quoi, Il faut aussi se méfier de la logique… et faire parfois confiance aux « experts »…

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Tacoma_Narrows_Bridge

  • yakay: L’auteur de ce texte est « Yves Ducourneau » (voir fin de l’article), comme la majorité (tous?) des articles publiés sur « ReOpen911 News », cet article n’est pas de la main de Spotless Mind.
    Spotless Mind est la personne (responsable éditorial de ReOpen911 News) qui a publié cette article sur ce site.

  • Un point cependant qui m’agace, j’y pense en lisant certains commentaires. Les experts qui se sont prononcés sont dans leur immense majorité reopenistes – surtout si l’on ne compte aucun expert dépendant de l’administration, ce qui s’impose vu la question. Si l’on fait confiances aux experts, donc, on admet la démolition controlée.

  • Bravo,
    argumentation logique et rigoureuse digne d’un Noam Chomsky (même si ce dernier n’est pas convaincu de la thèse défendue ici).

  • Liberty

    Parmi nos contradicteurs dont l’essentiel est issu du millieu journalistique, il existe trois catégories d’individus :

    1) celles et ceux qui savent que presque tout ce qui nous a été raconté au sujet du 11/9 n’est qu’un vulgaire amalgame de mensonges et qui se taisent afin de ne pas être ennuyés dans leur milieu socio-professionnel et/ou familial . Parmi cette catégorie on peut y inclure certains journalistes et certaines catégories professionnelles qui auraient pû (ou qui peuvent encore) apporter leur pierre à la recherche de la vérité .

    2) les plus virulents : c’est à dire celles et ceux, qui de par leurs positions se permettent de répandre de l’intoxication ou plus simplement d’abonder dans des littératures allant de l’anti-américanisme à l’apologie du nazisme en pasant par l’anti-sémitisme et le pro-islamisme, et qui n’ont aucune compétence particulière pour évoquer le 11/9 sinon une soumission bien ancrée aux milieux politico-financiers et là je fais référence aux journaleux qui appartiennent à la presse écrite ou aux moyens télévisuels et dont la vertu s’avère être le dernier de leurs soucis . Aprés maintes observations on ne peut que constater que cette catégorie n’aborde jamais les problèmes de fond et a une singulière tendance à tourner trés largement autour du pot et à se manifester allégrement dans l’insulte ; leur conscience, si tant-est qu’ils en aient une, sera mise à mise à rude épreuve le jour où le pot aux roses sur le 11/9 sera cassé et ce jour là arrivera plus vite que prévu pour bon nombre de journalistes .

    3) les incultes (ignares) : dans cette catégorie assez banale on peut y ranger celles et ceux à qui  » il ne faut surtout pas leur raconter des histoires  » (au sujet du 11/9) et qui ne savent même pas que la tour WTC7 existait et encore moins qu’elle fût mise à mort aprés les propos de Larry Silverstein du 11/9 à 15 heures <> et par la volonté de Dieu, à 17 heures, la tour tomba en 6 secondes bien qu’elle n’ait souffert que d’incendies mineurs circonscrits . Parmi les ignares on peut allégrement y ajouter les  » bien-pensants  » qui se sentent comme empoisonnés ou incommodés dès lors que l’on évoque le 11/9 .

    Quoiqu’en pensent nos piètres contradicteurs, qui sont incapables d’ engager et de respecter une confrontation d’idées, le retour de manivelle qu’ils prendront tôt ou tard leur fera le plus grand bien . Les conneries qu’on a tant entendues sur le 11/9 ne nous amusent plus et ne peuvent intêresser que des bourricots .

  • sap

    Très bon article ! :)

  • moun

    Les guignols de l’info du 05/01/09 ont fait un clin d’oeil sur le 11 septembre. Un haut gradé, representé par un stallone, montre un croquis de l’attentat de new york en indiquant que Bush, representé par une marionnette stupide, en est l’auteur…
    vidéo : http://www.canalplus.fr/c-humour/pid1784-c-les-guignols.html

  • eolo2009

    @moorea34 : la notion d’expert m’a toujours interpelé !
    En fait, qui décerne cette qualité à quelqu’un et sur quels critères ?
    En général, c’est la reconnaissance de ses mérites par ses pairs !
    Qui eux-mêmes jugent les autres par l’idée qu’ils se font de leurs propres mérites et de leur propre expertise.. à juger les autres ! C’est le problème de la poule et de l’oeuf !
    Pour ce qui est du pont, il n’y a pas de logique à la base du problème, il n’y a qu’un problème de compétences et de connaissances pour l’étudier c’est à dire savoir poser et pouvoir poser les hypothèses de l’étude et des calculs. Il me semble qu’on l’a étudié sous l’angle de sa résistance statique (tenue de sa structure sous son propre poids et sous le poids des véhicules qu’il allait supporter) et qu’on n’a pas imaginé le problème de la résistance dynamique (alternance et variation des efforts extérieurs supportés à savoir le flux alterné et intermittent des véhicules de poids différents et à des vitesses variables et des éléments atmosphériques c’est à dire l’étude d’un système vibratoire et sa mise en résonance). A ce titre, les « experts » ne pouvaient que constater que la méthode d’étude des ponts suspendus généralement (cf. connaissances du moment) admise n’avait pas été appliquée au cas d’espèce…Ce n’est pas eux qui allaient définir durant ou à l’issue de leur expertise un nouvel état des connaissances.

  • yakay

    Merci pour la précision Sylvio,

    Et merci alors à Spotless mind de nous le faire partager.

  • Pole

    « Par exemple, l’architecte Christophe Hébert observe, comme nous, la ressemblance de l’effondrement de la tour nord avec la démolition à l’explosif prévue en fin de vie de la tour, puisque dans les deux cas l’effondrement est vertical et entraîné par le noyau (2) (3). »
    « Par exemple, le NIST (l’organisme scientifique gouvernemental ayant conduit l’enquête la plus récente) affirme ne pas avoir trouvé de preuve que les Tours Jumelles ont été détruites par une démolition contrôlée (4) (ce qui contredit d’ailleurs l’observation de Hébert). »
    Preuve différent de ressemblance.

    « De son côté, Richard Gage, un architecte du Mouvement pour la vérité, affirme au contraire que l’effondrement de la tour n° 7 du World Trade Center présente toutes les caractéristiques d’une démolition contrôlée et qu’il y a de nombreuses preuves de démolition contrôlée aussi pour les Tours Jumelles (5). »
    Sauf … la présence de thermate, non utilisée en démolition classique.

    « D’après le NIST, la température de l’acier n’a pas dépassé les 250 °C dans l’immense majorité des cas, et dans le cadre de l’incendie, nous sommes d’accord avec ce chiffre. »
    Le NIST a vraiment dit ça (ça m’étonne un peu) ? Où ?

    « Par exemple, Phil Mole explique de la façon suivante pourquoi la tour nord tombe droite alors que la tour sud penche sur le côté (une autre anomalie) (14) : la tour sud a été touchée dans un coin et plus bas (15). Ce à quoi on peut répondre que, d’une part, Mole confond le centre d’une face et le centre de la tour, car la tour nord, bien que frappée au centre d’une face, n’a pas été frappée au centre tout court, et d’autre part que les colonnes d’acier sont plus résistantes dans les étages inférieurs, de sorte que frapper plus bas revient à frapper un endroit plus solide (l’acier formant les colonnes du noyau a une épaisseur de 13 cm dans les fondations et décroît pour atteindre 1 cm au sommet (16)). »
    Sauf que l’on ne connaît rien aux quantités (du moins en lisant l’article). Entre un avion qui frappe au bas (10e étage) et en haut (dernier étage), les poutres peuvent avoir 1mm de plus, ce n’est pas ça qui change.
    Mais plus grave, la réponse n’a aucun rapport avec la question. A ce que je sache, frapper en haut ne fait s’écrouler droit et frapper en bas ne fait pas s’écrouler de travers… La réponse serait plutôt qu’il n’est pas étonnant que la tour penche, mais il l’est beaucoup plus qu’elle se remette droite comme une grande.

    « Marion Cotillard et Jean-Marie Bigard des rétractations qui n’ont jamais existé »
    Ils ne se sont pas rétractés sur leurs convictions, mais que le fait de le dire est une bonne chose.
    De plus, Bigard a confirmé après les bêtises de certains.

    Voilà, merci de corriger avant que ça fasse la une des débunkers : « Les conspirationnistes sont illogiques », « Les lézards n’ont plus de tête », etc.

    moorea34 : La résonance, c’est connue par tous ceux qui ont fait un peu de physique dans leur vie. Il ne s’agit pas de croire en les experts, mais de croire aux observations (par exemple celles sur la chute du WTC7 : voir http://forums.france2.fr/france2/complement_enquete/ailleurs-verite-sujet_2564_8.htm#bas ).

  • moorea34 de 12h57, je ne vois pas ce que vous démontrez.

  • But

    En ce qui concerne les contradicteurs que je cotoie tous les jours, je dirai qu ils sont tout simplement ignorants.

    Bcp d entre eux sont tres qualifiés, tres diplomés, mais en dehors de leur domaine d activité, ils sont totalement à la ramasse. Incapable de penser par eux-memes

    Leurs phrases préférées : « mais [untel] a dit que », « {untel] pense que’, etc……
    remplacé UNTEL par un journaliste, un BHL, etc…..

    Bref, ca me déglingue à chq fois. Etre aussi compétent dans un domaine (car certains sont vraiment des tronches dans leur domaine) et être aussi largué sur le reste, ca fait peur.

  • Moorea34, je viens de découvrir votre site et ai posté sur le forum de reopen sur réponse à vos arguments concernant la tour 7, ici : http://forum.reopen911.info/t12233-reponse-aux-arguments-de-moorea34.html
    Cordialement

  • Pole,

    une ressemblance est tout à fait une preuve (Petit Robert : « Preuve : ce qui sert à établir qu’une chose est vraie. »).
    Faire des charges coupantes en thermite ou en thermate ne change pas fondamentalement les choses.
    Source pour les 250°C : NIST, 2005, pp. 176-177 (cf. http://yves.ducourneau.club.fr/119/jones.html ).
    Sur Phil Mole : en effet, je n’ai pas la source indiquant la façon dont l’épaisseur décroît avec l’altitude. Pour le reste, vous avez raison et l’argument de Phil Mole est en effet encore plus confus que ce que j’en dis dans l’article.
    Cotillard et Bigard : ok.

    Merci pour votre commentaire.

  • SébastienM

    Eyh oui, nous sommes, vous êtes de dangereux citoyens subversifs et révisionistes puisque nous remettons en question l’Histoire officielle, autrement appelée « propagande ».

    Il faudra s’y faire, car il est illusoire de croire que le pouvoir médiatico-politique pliera devant quelques citoyens « parano-antisémites, antiaméricains, conspirationistes, qui veulent rien qu’à faire leurs intéressants parcequ’ils sont frustrés du zizi ».

    Voilà, grosso modo mais mot pour mot, la théorie officielle et le niveau de réflexion de l’humanoïde moyen au début du 3eme Millénaire. Bienvenue dans le monde réel.

    C’est pas gagné…

  • Alexandre

    Par-fait ! Très bon bon article.

    On avait bien besoin, effectivement, de prendre un peu de hauteur sur les réponses de mauvaises foi et biaisées qu’on nous sert souvent.

    Et, qu’ils en soient persuadés, on n’arrêtera pas de poser et reposer encore toutes ces « painfull questions », tant que l’on aura pas de VRAIE réponse.

    Toutes les stratégies d’évitement de nos contradicteurs ne servent vraiment à rien, on continue et on continuera encore et toujours à poser ces questions, tout simplement parce qu’elles sont inévitables.

    Et tous les dénigrements auxquels nous avons été victimes n’y changeront rien.

    On tient le cap pour 2009 !!!

  • Pole

    yvesduc : « Dans plus de 170 zones examinées sur 16 panneaux de colonnes périphériques, seules trois colonnes ont fourni la preuve que l’acier a atteint des températures supérieures à 250ºC… Seuls deux échantillons des colonnes du cœur avaient gardé suffisamment de peinture pour permettre cette analyse, et leurs températures n’ont pas atteint les 250°C… En utilisant l’analyse métallographique, le NIST a déterminé qu’il n’y avait aucune preuve que l’un des échantillons ait atteint des températures supérieures à 600°C. (NIST, 2005, pp. 176-177.) »
    Tu as du conclure que 3/170 (1.8%) de poutres qui ont eu plus de 250°C. Mais c’est faux, car d’abord, ils ont dû retrouver en grande majorité les panneaux décrochés du bas, les panneaux intérressants étants donc noyés dans tous les débris, quand ils ne sont pas pulvérisés… C’est un biais statistique, et on ne peut pas dire que seuls 1.8% des poutres ont été chauffées à plus de 250°C.
    Ensuite, je crois que les « panneaux », c’est la façade du bâtiment, et non les poutres.

    « Faire des charges coupantes en thermite ou en thermate ne change pas fondamentalement les choses. »
    Tout à fait, n’empêche que dans les 2 cas, ce n’est pas usellement utilisé dans les démolitions contrôlées. La présence d’une grande température pendant des mois et du fer fondu ne l’est pas non plus.

  • eolo2009

    Bonsoir,
    Simplement et sans vouloir sans plus de travail de ma part écrire une thèse ici, et en écho à 2 posts écrits sous la vidéo 911 Mysteries, il y a peut être motif à être plus analytique sur le modèle du collapse des Twin Towers !
    En bref, un second avion percute la seconde tour. Selon les lois de la physique et de l’inertie en particulier, son carburant est projeté et instantanément prend feu en avant du point d’impact et d’une façon très visible sur toutes les vidéos disponibles mobilisées à l’origine pour filmer l’évolution du premier impact sur la première tour, à l’extérieur de l’édifice. Une partie du kérosène, d’inflammabilité équivalente à l’essence, brule à l’intérieur et transmet a priori le feu au bâtiment. Celui-ci constitué d’une structure métallique, semble-t-il ignifugée par un flocage amiante, résiste au phénomène thermique un certain temps. Ce temps conventionnellement défini en France comme la stabilité au feu est d’environ 1/4 d’heure et permet l’évacuation des personnes du bâtiment par les ouvertures disposées réglementairement (nombre et section) à cet effet. L’action de la chaleur sur l’acier détruit progressivement sa résistance (mais il ne fond pas ! il devient malléable, plus tard sous l’effort il gardera la déformation en se refroidissant, c’est ce que pratique le forgeron ou le métalier) aux efforts que supporte la structure, en première analyse, son propre poids, celui des planchers supérieurs, habillages et charges diverses qu’eux mêmes supportent. La structure constituée de profilés laminés tend donc à se déformer progressivement : les profilés horizontaux fléchissent (sous les charges ou efforts verticaux, il y a flexion) et les profilés verticaux flambent (il y a flambage, terme de résistance des matériaux). Si le flux thermique n’est pas homogène (et pourquoi le serait-il ?), les déformations ne sont pas, dans l’espace, homogènes : la partie supérieure de la tour tombe donc progressivement plutôt d’un coté (celui où l’avion est coincé et le feu le plus intense) que de l’autre (cf. photo ci dessus et vidéo citée instant 35:50). Ceci dit, lors du contact plancher haut sur plancher bas, quelle vitesse atteint cette partie de la tour (limitée par le plafond de l’étage concerné) relativement au plancher du même étage ? A mon avis, une vitesse insuffisante pour pouvoir dire que la descente ou la chute de la partie supérieure entraine le collapse du reste selon un effet domino d’étage haut contre étage bas et cela d’une manière si parfaitement verticale que s’en est à ne plus faire montre du moindre esprit d’observation que de claironner que l’ensemble de la tour (ou des tours) est descendu de façon parfaitement et globalement verticale. Ma conclusion est donc qu’il y a deux séquences dans le collapse, une première, dirais-je normale, cachée dans la fumée des incendies et une seconde, au vu et au su de TOUT LE MONDE, confinant à la perfection, une perfection si intense qu’elle ébloui tout aussi intensément : n’ a-t-on pas déjà dit quelque part que plus c’est gros, plus ça passe ! Je m’interroge sur la validité du modèle CAO 3 D des vidéos qui empilent les étages comme des des CD autour d’un manche à balai : il n’y a pas de base de mécanique des solides à ce modèle. Pour preuve, les autres bâtiments du WTC ont, sur les vidéos, gardé une structure métallique relativement bien conservée qu’il a fallu après coup finir de détruire ! Mon avis sur cette affaire sort renforcé définitivement par le collapse du WTC 7. Silverstein le dit. Question simple : comment a-t-on pu préparer cela en si peu de temps et même, y avait-il motif à cette soi-disante mesure de sauvegarde ?
    Pour finir, je découvre ce site bien que l’affaire m’intrigue depuis des années, les articles sont un régal, le français c’est plus simple à lire que l’américain, et depuis ces évènements, d’autres se sont produits dans le vaste monde qui permettent leur mise en perspective, des hypothèses sont devenues des faits et des certitudes, continuez !

  • Cathy des airs

    @ Eole :
    Les mini-nukes ou bombes à fusion thermonucléaire « pure » (pouvant se réduire à de petites dimensions et se passer du processus préalable de fission, ainsi que de ses retombées radioactives durables) les mini-nukes, donc, ne sont pas non plus usuellement employées dans les démolitions contrôlées « classiques »… Et il y a pourtant fort à parier que c’est bien ce ce type d’armes, d’une avancée technologique majeure, qui a été utilisé – en complémentarité avec la thermite – sur les tours jumelles du WTC, le 11 Septembre.

    Jacques Dumont relève à ce sujet plusieurs indices allant dans ce sens, et notamment la nature  » extraordinairement  » fine et abondante de la pulvérisation de centaines de milliers de tonnes de béton dans l’atmosphère (d’aucuns comme Sofia Smallstorm, réalisatrice du film  » 9/11 Mysteries « , parlent de « nanoparticules » dispersées en aérosol, de nuages pyroclastiques et d’activité de décontamination prolongée sur le site du Ground Zéro).

    Jacques Dumont relève encore :
     » La Présence, à l’effondrement des 2 tours, de colonnes nuageuses verticales, dénotant l’action de gaz chauds, tels ceux rencontrés dans les cheminées qui caractérisent la physionomie des déflagrations thermonucléaires. »

    http://www.mondialisation.ca/index.php?context=va&aid=5130

    Et voici une video qui illustre cet article, en en reprenant les points essentiels :
    http://www.dailymotion.com/video/x2o7gi_une-mini-bombe-atomique-au-wtc_politics

  • eolo2009

    @Cathy des airs : je n’en suis pas encore à l’explication des moyens. Dans un premier temps, je me raccroche à ce que je sais de la mécanique, de la statique et de la dynamique et j’essaie de mettre le pb en équation…
    En ce qui concerne votre allusion aux mini-nukes qui reste une hypothèse, un détonateur d’engin nucléaire est, semble-t-il, déjà un extraordinaire moyen thermique ! L’aluminothermie aussi !

  • eolo2009

    @Cathy des airs : On peut se poser le pb de la contamination particulière de type radiocontamination qui ne semble pas à ma connaissance (mais je ne passe pas mon temps sur le coup !) avoir été envisagée dans la contamination générale (amiante et autres toxiques)…
    Les Boeing, si c’est bien eux, ont des contrepoids en uranium appauvri dans leur plan vertical pour équilibrer la gouverne. Ce matériau pyrophore se vaporise instantanément à la chaleur : ses effets sont « connus » dans l’accident du 747 d’El Al à Shipol Amsterdam. C’est le phénomène en cause dans le syndrome guerre du Golfe…A suivre…

  • Pole

    « Les mini-nukes ou bombes à fusion thermonucléaire “pure” »
    Aucun rapport.
    Les mini-nukes existent depuis longtemps. Les plus petites font l’équivalent de 10t de TNT et peuvent être lancées facilement (mortier).
    Les bombes à fusion thermonucléaire « pure » n’existent pas officiellement, officieusement, elles peuvent exister depuis 2003 (Z-machine + générateur à compression de flux). Problème : il faut bonne centaine de kg d’explosifs, ce qu’on aurait entendu dans les tours. Sans compter que l’explosion aurait tout simplement fait exploser l’immeuble, avec la partie haute qui s’envolerait.
    Bref, impossible !

  • Cathy des airs

    @ Eole :
    Dire que cette piste est impossible me semble un peu expéditif !
    Admettons que le terme de mini-nuke ne convienne pas en ce cas. Je me référais surtout au fait que ces bombes à fusion pure, comme l’explique Jacques Dumont, pourraient se limiter à de « petites tailles  » (mini bombes) et que pour ne pas être officielles, elles n’en étaient pas pour autant potentiellement « existantes » dès 2001 (que sait-on au juste des avancées secrètes réelles de l’armement US ?).
    Des explosions multiples ont précisément été perçues dans les tours et relevées par nombre de témoins, dont une notamment – très violente – au sous-sol, où une presse hydraulique de 45 tonnes s’est littéralement  » envolée  » selon les termes d’un ingénieur du WTC, Mike Pecoraro.
    ( ou vaporisée ? ce qui correspondrait aux effets d’un dispositif à « fusion »)
    Je ne trouve pas que la pulvérisation des tours ressemble à un effondrement mais bien plutôt à une explosion ou série d’explosions continues justement ( en pelure de banane) avec la partie haute qui semble précisément s’être « volatilisée » elle aussi, dès les premières secondes…
    Il y aussi les perturbations électromagnétiques intenses, compatibles avec un processus nucléaire, qui ont affecté des installations électriques proches pendant trois mois et qui expliqueraient notamment la combustion instantanée, mystérieuse, de plusieurs voitures autour du WTC, alors qu’elles n’avaient été touchées par aucun débris.
    Il y a le fait que les flaques de métal en fusion (dans les sous-sols) ont persisté pendant plus de trois mois et ce, malgré un arrosage continu…La thermate – à elle seule – se serait refroidie plus vite.
    Il y a les gigantesques nuages de poussière de béton, répartis sur un volume 5 fois supérieur à celui des tours, et qui indiquent un niveau de chaleur  » extrême  » sans comparaison avec celui des démolitions contrôlées (même avec thermite), sachant que les coulées pyroclastiques observées ce jour-là, sur New-York, n’apparaissent habituellement que dans deux cas ( si j’en crois certains scientifiques) : les explosions volcaniques et les déflagrations nucléaires.
    C’est d’ailleurs la raison principale pour laquelle – intuitivement et intellectuellement- dès le premier jour, je n’ai pu adhérer à la version officielle. Cette dernière me sembla en effet complètement aberrante, étriquée, et sans commune mesure avec le caractère extraordinaire, disproportionné, de ce que mes yeux voyaient…

  • Cathy des airs

    Errata : mon dernier message s’adressait à Pole (dont j’ai confondu le pseudo avec celui d’Eolo 2009 ) Maintes excuses.

  • C’est clair, il aurait mieux fallu utiliser des bombes pas connues aux USA : Je sais pas moi, genre les DIME au tungstène, à enveloppe en fibre de carbone indétectable aux rayons X à l’entrée du WTC ?
    Onde de choc : 4 à 10 mètres. Avec pulvérisation concentrée de particules coupantes. Poids 90 kilos pour la version 2006, peut-être plus petites en 2001). Toxique au final.

    http://www.ism-france.org/news/article.php?id=5624&type=analyse&lesujet=Armement%20isra%C3%A9lien

    Sinon, s’il y avait de l’Uranium appauvri dans les avions, alors c’était pas ceux qu’on nous avait dit, ou alors ceux qu’on nous avait dit mais avec des bombes en plus.

  • eolo

    Mes posts ne passent pas !
    Késako webmaster ?

  • eolo

    Peut être le lien cité ?

  • Pole

    « Admettons que le terme de mini-nuke ne convienne pas en ce cas. Je me référais surtout au fait que ces bombes à fusion pure, comme l’explique Jacques Dumont, pourraient se limiter à de “petites tailles ” (mini bombes) et que pour ne pas être officielles, elles n’en étaient pas pour autant potentiellement “existantes” dès 2001 (que sait-on au juste des avancées secrètes réelles de l’armement US ?). »
    Je ne connais aucune technologie autre que le Z-pinch et la bombe A pour monter suffisamment haut en température… Donc pour moi, impossible.
    Après, si tu me décris comment on pourrAIT faire, je veux bien douter. Mais pas avant.
    « Des explosions multiples ont précisément été perçues dans les tours et relevées par nombre de témoins, dont une notamment – très violente – au sous-sol, où une presse hydraulique de 45 tonnes s’est littéralement ” envolée ” selon les termes d’un ingénieur du WTC, Mike Pecoraro.
    ( ou vaporisée ? ce qui correspondrait aux effets d’un dispositif à “fusion”) »
    Si le but était de « vaporiser » les colonnes, pourquoi la tombe n’est pas tombé de 4 mètres avant l’effondrement final ? De manière générale, quel intérêt alors qu’il n’y en a pas besoin ?
    « Je ne trouve pas que la pulvérisation des tours ressemble à un effondrement mais bien plutôt à une explosion ou série d’explosions continues justement ( en pelure de banane) avec la partie haute qui semble précisément s’être “volatilisée” elle aussi, dès les premières secondes… »
    Elle ne peut pas se volatiliser. La conservation de l’énergie est pour l’instant inviolée, même dans les labos secrets américains.
    « Il y aussi les perturbations électromagnétiques intenses, compatibles avec un processus nucléaire, qui ont affecté des installations électriques proches pendant trois mois et qui expliqueraient notamment la combustion instantanée, mystérieuse, de plusieurs voitures autour du WTC, alors qu’elles n’avaient été touchées par aucun débris. »
    Bah moi je ne vois pas le rapport avec une explosion nucléaire. Il faut que l’explosion soit suffisamment basse ou très haute pour avoir ces effets. Effets qui auraient fait exploser tout matériel électrique à côté…
    « Il y a le fait que les flaques de métal en fusion (dans les sous-sols) ont persisté pendant plus de trois mois et ce, malgré un arrosage continu…La thermate – à elle seule – se serait refroidie plus vite.
    Il y a les gigantesques nuages de poussière de béton, répartis sur un volume 5 fois supérieur à celui des tours, et qui indiquent un niveau de chaleur ” extrême ” sans comparaison avec celui des démolitions contrôlées (même avec thermite), sachant que les coulées pyroclastiques observées ce jour-là, sur New-York, n’apparaissent habituellement que dans deux cas ( si j’en crois certains scientifiques) : les explosions volcaniques et les déflagrations nucléaires.  »
    Ce ne sont PAS des coulées pyroclastiques. Ca RESSEMBLE ! La température n’était pas de 300°C.
    Quand au reste, aucun calcul, aucun chiffre donc aucune preuve.

  • Pole de 13h12, il y a possibilité d’un biais statistique mais il n’y a pas de nombreuses traces de températures supérieures à 250 °C sur l’échantillon, pour autant.

    D’après un membre de ReOpen911 professionnel en démolition contrôlée à qui je demandais comment il s’y serait pris pour les Tours Jumelles, deux types d’explosifs auraient été utilisés (je rapporte comme je l’ai compris) : des charges coupantes sur les poutres (ne PAS utiliser d’explosifs classiques sur de l’acier) et des explosifs classiques pour casser les planchers en béton (en désordre pour éviter l’effet d’empilement). Il m’importe peu que les charges coupantes soient de tel ou tel type. D’accord sur le constat des autres anomalies, mais en rappelant qu’elles en sont aussi (des anomalies) dans la thèse du feu. Une idée comme ça : et si elles étaient dues aux charges des planchers ?

    eolo2009 de 23:48, bienvenue et bravo pour votre réflexion. En effet, il est difficilement imaginable qu’une démolition contrôlée, celle de la tour 7, ait été installée en quelques heures le 11 septembre, dans un immeuble en feu qui plus est…

  • eolo2009

    @yvesduc : toute cette affaire est passionnante mais je crois que la tendance est de trop rapidement surfer de théories en théories. Bien sûr, « on » ramasse ainsi un tas d’hypothèses brouillonnes mais s i »on » pose le problème particulier de la descente des TT uniquement sur la base du « Comment théoriquement un tel édifice peut (ou doit) s’écrouler ? « , « on » revient à la mécanique, statique et dynamique sans faire trop fumeux. « On » pense en termes de carcasse métallique, qui est en forme de poutre treillis verticale qui subit une perte de résistance relativement ponctuelle et se déforme sous son propre poids et « on » imagine avec nos connaissances qu’elle flambe (terme RdM). « On » imagine cette contrainte dans le cas de la Tour Eiffel qui respecte, semble-t-il, un principe de construction d’égale résistance au flambage. Intuitivement, « on » doit se dire que ce n’est pas cela qui s’est produit aux TT ! Ce qui est mis en défaut, qui faiblit, relativement aux lois de la mécanique, c’est l’âme, la fibre contrainte et résistante, en bref c’est la charpente de l’édifice, c’est donc le treillis métallique sous l’influence de l’échauffement par le feu. Dans cela, rien n’est symétrique, nickel au point de tomber suivant le vecteur gravité…Le noeud du pb me semble être ici ! « On » n’imagine pas une poutre treillis ramollie par le feu en son milieu s’empiler sur elle-même, non, si « on » applique un effort à son extrémité libre dans le sens de son axe, elle va flamber et se recourber, son extrémité libre tendant à rejoindre son extrémité encastrée dans le sol. Ce qu’on a vu n’est « naturellement » pas possible ! Il faut chercher sous l’apparence, la fumée et l’habillage des TT nous cachent la réalité technique (l’antenne pivote, on voit la partie supérieure sérieusement inclinée). Puis tout d’un coup, plus rien n’est « naturel », c’est l’effet domino. Bizarre cet effet !

  • Pole

    yvesduc : quoiqu’il en soit, la thermite n’est pas utilisée comme charge coupante dans l’industrie. Donc on ne peut pas dire que toutes les caractéristiques de l’effondrement des TT sont de la démolition contrôlée. Tout comme partir du haut, ce qui ne se fait qu’avec du vérinage.
    La démolition des TT est fort différente des autres démolitions : personnes dedans pendant l’installation et l’effondrement, faire tomber à partir du bon endroit, ne pas faire de bruits au début ni de flashes lumineux, et sûrement d’autres… C’est d’ailleurs pour ça que certains (des experts comme Mark Loizeaux) disent que c’est du fantasme, et autres bêtises.

  • Pole

    A pardon, la citation parlait du WTC7. Mais il me semble qu’on a trouvé du métal en fusion là-bas aussi. Ce qui n’est pas courant et n’est pas une caractéristique d’une démolition contrôlée !!

  • PeaceForce

    Excellent article, excellente synthèse qui résument ces pseudo-journalistes des médias traditionnelles qui lorsqu’ils osent s’aventurer sur ce sujet aussi fin que l’effondrement du WTC et plus particulièrement le WTC 7, je remarque qu’en fin de compte ils se ridiculisent eux-mêmes et ne fait que renforcer notre position.

    Mais le plus frappant reste le fait qu’ils sont de mauvaise foi, leur démagogie montre à quel point j’ai toutes les raisons du monde que l’évidence du Complot est là.

    Ils travaillent avec leur cynisme juste parce qu’ils refusent de voir le monde dans sa réalité.

    J’en ai vu des débats avec des « experts » de la VO, et tous ces discours pathétiques! Pas un seul, pas un ne m’a convaincu d’une iota de la VO. Ils ont beau dire tout leur baratin, c’est affolant le nombre d’arguments que je pouvais leur dire si j’étais en face!

    Leur seul porte de sorti en fin de compte est de nous insulter d’antisémite, de négationniste, etc… Enfin de choquer l’opinion publique et donc de sous-entendre à la masse des téléspectateurs que si ils osaient ne pas croire la thèse Officielle du 9/11, ils rentraient dans une certaine catégorie de personnes dangereuses…

    Mais leur stratégie ne marche pas et elle ne marchera pas! De plus en plus d’internautes, notre fer de lance, continuent chaque jour de nous rejoindre dans notre combat et notre refus de la VO.

    Ils sont pas capable de défendre humblement leur Version Officielle, cela montre bien qu’ils travaillent pour quelqu’un…

    Nous ne forçons personne! Nous invitons simplement tout humain a davantage de réflexion et de critique, et ce, malgré qu’il faut mettre à plat notre paradigme.

    Nous demandons juste de la lumière, la vraie, celle de la Raison, de lucidité et de rationalité.
    Nous posons de simples questions, nous attendons des réponses précises.

    De toute évidence, nous leur posons des problèmes et l’avenir, nous leur poserons concrètement.

    L’avenir, c’est la Révolution silencieuse qui mènera au changement.

    Continuez votre combat qui n’est que juste.

  • Cathy des airs

    D’après Pole :
    “Les mini-nukes ou bombes à fusion thermonucléaire “pure””
    Aucun rapport. »
    …………………………………………………………………………….
    D’après certains « experts » de Greenpeace, il semblerait pourtant qu’il y en ait UN (en tout cas, dans un avenir proche):
    http://209.85.129.132/search?q=cache:KEdX8KotKaYJ:www.greenpeace.org/france/campaigns/desarmement-nucleaire-old/lexique+mini+nuke+et+bombe+%C3%A0+hydrog%C3%A8ne+pure&hl=fr&ct=clnk&cd=2&gl=fr

    Je cite Green Peace :
     » Le Laser mégajoule et les futures mini-nukes françaises.
    En construction au Cesta, Centre d’études scientifiques et techniques d’Aquitaine situé au Barp, près de Bordeaux, il doit permettre de maîtriser l’allumage de la fusion. Il conduira à la conception d’une nouvelle génération de bombes dites « à fusion pure » et affranchies de l’amorce à fission (bombe A), indispensable dans les bombes actuelles.
    Les bombes thermonucléaires comportent deux inconvénients majeurs, relatifs à l’élément de la bombe A (uranium/plutonium) :

    – Elles sont extrêmement contaminatrices du fait de la production de quantités de produit de fission à durée de vie longue, lors de l’explosion.
    - La bombe A est difficile à miniaturiser, car la présence d’une importante quantité minimum d’uranium ou de plutonium est nécessaire (masse critique = 6 à 15 kg).

    La recherche s’oriente donc clairement vers la fabrication potentielle de bombes nucléaires offensives, utilisant le laser mégajoule à l’amorçage, et de plus faibles puissances : les « mini-nukes » comme les appellent les Américains. »
    …………………………………………………………………………………….
    J’ai trouvé d’autres « experts » qui reprennent et argumentent cette même idée d’un dispositif nucléaire (ultramoderne mais pas forcément connu), éventuellement placé dans les sous-sols du WTC, le 11/9 2001 :

    – un expert militaire finlandais qui préfère demeurer anonyme, pour des raisons de sécurité personnelle. (Ce qui peut se comprendre, vu la propension actuelle de certains témoins à disparaitre par accident ou par suicide) :

    http://www.serendipity.li/wot/finn/military.htm :
    http://www.serendipity.li/wot/finn/4/soldier4.htm
    (observations suggérant l’emploi de petites bombes à hydrogène)

    http://www.serendipity.li/wot/finn/5/soldier5.htm
    (Opinion d’un expert militaire sur les raisons de l’effondrement des tours)
    Comparées à d’autres photos d’essais nucléaires souterrains, les images du WTC illustrant cet article, présentent avec elles des similitudes impressionnantes…

    – le docteur Ed Ward, (à Foxfield, Delaware) qui a écrit plusieurs articles sur ce sujet, sur le site  » The price of Liberty  » et a été soutenu par le physicien William Deagle, chercheur dans de multiples domaines (cybernétique, biowar, opérations secrètes liées à la Défense US) :

    http://www.thepriceofliberty.org/06/09/25/ward.htm
    (Usage de bombes atomiques par le Gouvernement US, dans un cadre interne, au WTC.)
    L’auteur y affirme notamment que : » selon des documents déclassifiés en août 1958, Les Etats-Unis avaient développé des munitions atomiques appropriées aux travaux de démolition…et selon d’autres documents déclassifiés en mars 1976,les laboratoires d’armement s’intéressaient aux dispositifs MRR (à radiation résiduelle minimale), lesquels se développaient avec succès.
    http://www.thepriceofliberty.org/07/04/16/ward.htm
    (Preuves de l’usage de micro-nukes au WTC)
    L’auteur y souligne le taux élevé de tritium ( principal résidu de la fusion nucléaire, avec d’autres particules métalliques microscopiques) relevé dans les poussières du WTC (55 fois supérieur à la normale) ainsi que les nombreux dommages dus aux perturbations électromagnétiques ayant suivi la « pulvérisation » des tours (coupures des téléphones et nombreux autres matériels électriques, explosions ou incendies spontanés de voitures dans les parkings ou dans les rues adjacentes, sans compter quelques explosions à l’intérieur de bâtiments comme le WTC 5 et 6 (passées sous silence par presque tous les commentateurs actuels). Une secouriste ou EMT (technicienne médicale d’urgence) nommée Patricia Ondrovic, témoigne du « chaos » qu’elle a dû traverser tandis qu’elle fuyait loin de la tour sud qui dégringolait (voitures prenant feu, WTC 6 dont elle a vu le toit parcouru de flashs crépitants, avec détonations) :
    http://killtown.blogspot.com/2006/02/911-rescuer-saw-explosions-inside-wtc.html

    Le Dr Ed Ward résume ainsi son propos, centré sur la nécessaire « complémentarité » des moyens utilisés au WTC :

    « Thermate, explosives and thermonuclear devices are the only thing that explain all of the WTC debris.
    Why is Micro Nukes in the WTC being censored, hidden and scammed?
    For the very reasons it is so important. »
    ……………………………………………………………………………
    Impossible n’est pas français…Est-il davantage américain ?

  • Cathy des airs

    à l’équipe de Reopen 911 : pourquoi mon dernier message (n°41) datant du 16 janvier n’a-t-il pas été pubié ? est-ce à cause de sa longueur ou de son contenu ? Auquel cas, je me poserais des questions…
    Lorsque j’essaye de le renvoyer, une boite de dialogue me dit que c’est impossible car c’est un doublon (?)
    Bon, je vais refaire une troisième tentative.

  • Cathy des airs

    D’après Pole :
    “Les mini-nukes ou bombes à fusion thermonucléaire “pure””
    Aucun rapport. »

    D’après certains « experts » de Greenpeace, il semblerait pourtant qu’il y en ait UN (en tout cas, dans un avenir proche):
    http://209.85.129.132/search?q=cache:KEdX8KotKaYJ:www.greenpeace.org/france/campaigns/desarmement-nucleaire-old/lexique+mini+nuke+et+bombe+%C3%A0+hydrog%C3%A8ne+pure&hl=fr&ct=clnk&cd=2&gl=fr

    Je cite Green Peace :
     » Le Laser mégajoule et les futures mini-nukes françaises.
    En construction au Cesta, Centre d’études scientifiques et techniques d’Aquitaine situé au Barp, près de Bordeaux, il doit permettre de maîtriser l’allumage de la fusion. Il conduira à la conception d’une nouvelle génération de bombes dites « à fusion pure » et affranchies de l’amorce à fission (bombe A), indispensable dans les bombes actuelles.
    Les bombes thermonucléaires comportent deux inconvénients majeurs, relatifs à l’élément de la bombe A (uranium/plutonium) :
    – Elles sont extrêmement contaminatrices du fait de la production de quantités de produit de fission à durée de vie longue, lors de l’explosion.
    - La bombe A est difficile à miniaturiser, car la présence d’une importante quantité minimum d’uranium ou de plutonium est nécessaire (masse critique = 6 à 15 kg).
    La recherche s’oriente donc clairement vers la fabrication potentielle de bombes nucléaires offensives, utilisant le laser mégajoule à l’amorçage, et de plus faibles puissances : les « mini-nukes » comme les appellent les Américains. »

  • Cathy des airs

    J’ai trouvé d’autres « experts » qui reprennent et argumentent cette même idée d’un dispositif nucléaire (ultramoderne mais pas forcément connu), éventuellement placé dans les sous-sols du WTC, le 11/9 2001 :

    – un expert militaire finlandais qui préfère demeurer anonyme, pour des raisons de sécurité personnelle. (Ce qui peut se comprendre, vu la propension actuelle de certains témoins à disparaitre par accident ou par suicide) :

    http://www.serendipity.li/wot/finn/military.htm :
    http://www.serendipity.li/wot/finn/4/soldier4.htm
    (observations suggérant l’emploi de petites bombes à hydrogène)

    http://www.serendipity.li/wot/finn/5/soldier5.htm
    (Opinion d’un expert militaire sur les raisons de l’effondrement des tours)
    Comparées à d’autres photos d’essais nucléaires souterrains, les images du WTC illustrant cet article, présentent avec elles des similitudes impressionnantes…

    – le docteur Ed Ward, (à Foxfield, Delaware) qui a écrit plusieurs articles sur ce sujet, sur le site  » The price of Liberty  » et a été soutenu par le physicien William Deagle, chercheur dans de multiples domaines (cybernétique, biowar, opérations secrètes liées à la Défense US) :

    http://www.thepriceofliberty.org/06/09/25/ward.htm
    (Usage de bombes atomiques par le Gouvernement US, dans un cadre interne, au WTC.)

  • Cathy des airs

    L’auteur (Ed Ward )affirme notamment que : » selon des documents déclassifiés en août 1958, Les Etats-Unis avaient développé des munitions atomiques appropriées aux travaux de démolition…et selon d’autres documents déclassifiés en mars 1976,les laboratoires d’armement s’intéressaient aux dispositifs MRR (à radiation résiduelle minimale), lesquels se développaient avec succès.
    http://www.thepriceofliberty.org/07/04/16/ward.htm
    (Preuves de l’usage de micro-nukes au WTC)
    L’auteur y souligne le taux élevé de tritium ( principal résidu de la fusion nucléaire, avec d’autres particules métalliques microscopiques) relevé dans les poussières du WTC (55 fois supérieur à la normale) ainsi que les nombreux dommages dus aux perturbations électromagnétiques ayant suivi la « pulvérisation » des tours (coupures des téléphones et nombreux autres matériels électriques, explosions ou incendies spontanés de voitures dans les parkings ou dans les rues adjacentes, sans compter quelques explosions à l’intérieur de bâtiments comme le WTC 5 et 6 (passées sous silence par presque tous les commentateurs actuels). Une secouriste ou EMT (technicienne médicale d’urgence) nommée Patricia Ondrovic, témoigne du « chaos » qu’elle a dû traverser tandis qu’elle fuyait loin de la tour sud qui dégringolait (voitures prenant feu, WTC 6 dont elle a vu le toit parcouru de flashs crépitants, avec détonations) :
    http://killtown.blogspot.com/2006/02/911-rescuer-saw-explosions-inside-wtc.html

    Le Dr Ed Ward résume ainsi son propos, centré sur la nécessaire « complémentarité » des moyens utilisés au WTC :

    « Thermate, explosives and thermonuclear devices are the only thing that explain all of the WTC debris.
    Why is Micro Nukes in the WTC being censored, hidden and scammed?
    For the very reasons it is so important. »

    Impossible n’est pas français…Est-il davantage américain ?

  • Patrick Lafourcade

    Cathy des Airs, impossible n’est surtout pas américain… et je salue votre démarche de haut vol… intemporelle par essence et par anecdote… 22 mois se sont écoulés depuis votre post… voulez-vous jeter un oeil à mon post datant d’un jour ou deux à :

    http://www.reopen911.info/11-septembre/le-poids-de-l-opinion-scientifique-penche-desormais-du-cote-de-la-remise-en-cause-la-version-officielle-de-l-effondrement-des-trois-tours-du-wtc/#article

    Ganapatrak





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