Assassinat de Ben Laden : Un an après, les doutes ont disparu des grands médias, et pourtant…
Comme ce fut le cas pour le traitement du 11-Septembre par les grands médias, après quelques tergiversations initiales dues aux contradictions évidentes entre les faits, les témoignages et les versions successives relatées par les autorités US, et en l’absence de toute preuve de ce que ces dernières avancent, il ne reste plus grand chose, un an après les événements, des doutes et questionnements apparus dans la presse francophone au sujet de l’opération "Geronimo" qui a assassiné Oussama Ben Laden l’an dernier.
Pour mémoire, voici un échantillon des articles significatifs parus dans la presse ou sur le Web depuis un an à propos de l’opération commando menée par les troupes Navy Seals envoyées au Pakistan par Barack Obama.
"Ben Laden, storytelling et démocratie – une enquête ReOpen911"
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3 mai 2011 Oussama Ben Fantomas et les chasseurs de « complotistes »
Comme l’écrivait l’auteur italien Roberto Quaglia, "Le monde d’aujourd’hui se divise en deux catégories : les Confiants et les Désenchantés", et avec la mort de Ben Laden, la ligne de démarcation pourrait bien se déplacer et nombre de lecteurs ou auditeurs incrédules venir renforcer les rangs de ceux qui s’accordent ce droit au doute tout en refusant le qualificatif de "complotiste". Cela explique sans aucun doute la violence de la réaction médiatique, qu’analyse ici le journaliste d’Oumma.com Hicham Hamza. Lisez l’article d’Hicham Hamza sur Oumma.com
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4 mai 2011
Après une première phase de congratulations et de soulagement généralisé suite à la mort de Ben Laden, quelques médias commencent à émettre des doutes sur cette étrange opération commando et son véritable déroulement, ainsi que sur l’ensemble de la version officielle. Les exemples se multiplient : RMC.fr dénonçait dans son éditorial d’hier "un manque criant de preuves du décès", L’Express (!) titre sur "le scénario fluctuant de l’assaut contre Ben Laden", ou encore Le Figaro parle de "Questions autour de la mort de Ben Laden", et Le Parisien s’interroge sur les "zones d’ombre" entourant la mort et l’inhumation en pleine mer du corps de l’ex-ennemi public numéro un, article que nous reprenons ici.
Lisez l’article de Frédéreic Gershel, Alix Bouilhaguet et Emmanuel Derville paru dans Le Parisien : « Les zones d’ombre d’une opération éclair »
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Le scénario fluctuant de la mort de Ben Laden Les responsables américains se contredisent et ne divulguent pas toutes les données qui permettraient de comprendre les circonstances de la mort de Ben Laden. Retour sur les éléments qui troublent encore l’affaire. La 1re version du scénario américain Le 1er mai, aux alentours de minuit heure locale, "une petite équipe américaine", composée de membres des Navy Seals (acronyme de Sea, Air, and Land: "Mer, air et terre"), forces spéciales de la marine américaine, s’embarque à bord de deux d’hélicoptères, (trois selon des habitants du voisinage cités par l’agence Reuters). (Lire "Comment les Etats-Unis ont tué Ben Laden"). L’un des hélicoptères a des ennuis mécaniques, le commando le détruit. Les combats sont violents à l’intérieur du complexe. [...] Lisez la suite de l’article paru dans L’Express
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7 mai 2011
Torturés entre la réalité des doutes sur façon dont les USA affirment avoir mis fin aux jours de Ben Laden, et la nécessité de garder le cap et de "chasser les conspirationnistes" qui s’égarent dans d’inutiles et dangereuses théories du complot, les médias fournissent une occasion de plus aux citoyens de se tourner vers l’Internet et vers ce qui reste d’espace de liberté sur les sites alternatifs qui n’ont pas de liens avec le pouvoir. Voici une dissertation très complète de Taiké Eilée parue sur AgoraVox, qui revendique le droit au questionnement comme partie intégrante du statut de citoyen, n’en déplaise aux élites. Lisez l’article de Tailké Eilee paru sur AgoraVox.fr
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Le scénario est mauvais et Mélenchon s’en amuse Gageons que le jour où la vérité sur le 11-Septembre deviendra un enjeu politique en France, Jean-Luc Mélenchon(*) ne sera pas le dernier à s’en saisir. Pour l’instant, il nous livre simplement un billet d’humeur sur ce scénario incroyablement bâclé de la mort de Ben Laden que nous ont livré les autorités américaines. Une histoire à dormir debout, mais qui va dans le sens du retrait des troupes d’Afghanistan, combat pour lequel Mélenchon s’est depuis longtemps avancé en terrain découvert. Alors, semble-t-il dire, qu’importe le scénario, pourvu que le retrait progresse ! [...] Lisez la suite de ce billet d’humeur de Mélenchon sur son Blog
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11 mai 2011
Selon plusieurs médias américains, le cadavre d’Oussama ben Laden, tué dimanche par un commando de GI’s au Pakistan, a été inhumé en mer « selon le rituel musulman ». Certains soulignent un manque de preuves du décès… Lisez l’article paru sur RMC.fr
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Mort de Ben Laden : nous avons déjà vu le film La culture cinématographique "hollywoodienne" aurait-elle le pouvoir de conditionner le peuple américain (et pas seulement lui) à accepter ce mauvais scénario de série B américaine que constitue le récit mal ficelé de l’assassinat de Ben Laden le 1er mai au Pakistan ? C’est l’idée que défend le professeur en Arts & Nouveaux Médias Jean-Noel Lafargue sur le site Owni.fr. M. Lafargue relève notamment certains détails de séries ou de films bien connus (24 Heures, Mission impossible, etc…) ou encore de jeux-vidéo, qui rappellent furieusement ce que nous racontent les autorités US aujourd’hui. Comme le dit l’auteur, avec cet épisode de la mort de Ben Laden, "la frontière qui sépare la fiction de la réalité me semble bien fine, l’une servant souvent à justifier l’autre, et réciproquement." Lisez l’article de Jean-Noël Lafargue paru sur owni.fr
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29 mai 2011
Des invraisemblances de l’opération commando US contre Ben Laden au Pakistan, à celles qui persistent sur le 11-Septembre à l’approche du 10e anniversaire, du silence assourdissant des médias au sujet des innombrables questions toujours en suspens au sujet de la version officielle des attentats, à la peur que génère chez les journalistes des grands médias la possibilité de donner crédit à ceux qui remettent en cause ces récits officiels, l’ex-Secrétaire au Trésor américain Paul Craig Roberts s’insurge une nouvelle fois contre le risque que courent nos sociétés comme hypnotisées, qui semblent si indifférentes face aux manipulations ou aux récupérations probables des printemps arabes par les services secrets occidentaux, mais aussi et surtout face aux signes alarmants d’un possible 3e conflit mondial. Car comme l’explique ici Paul Craig Roberts, si les récentes mises en garde de la Chine concernant toute nouvelle incursion des USA au Pakistan se révèlent fondées, il serait grand temps que nos gouvernants et nos "élites intellectuelles" arrêtent de participer à ces dissimulations d’informations et prennent vraiment conscience du danger que tout cela représente. Lisez l’article de Paul Craig Roberts paru sur informationClearingHouse
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12 août 2011
Le grand reporter, ex-rédacteur en chef du Wall Street Journal et adjoint au Trésor US Paul Craig Roberts revient sur la vidéo stupéfiante d’un témoignage accablant pour la version américaine de l’expédition du 1er mai dernier au Pakistan pour tuer Ben Laden. Un voisin a tout vu depuis le toit et raconte à la journaliste pakistanaise médusée ce dont il a été témoin : un hélicoptère a bien atterri pour récupérer les soldats et les personnes qui se trouvaient dans la maison (le compound) mais l’engin a explosé au décollage et personne n’a survécu. Aucun autre appareil ne s’est posé ce soir-là, les deux autres hélicoptères sont repartis sans jamais toucher terre. Lui et 200 autres personnes du voisinage se sont précipités sur place après l’explosion et ont vu les morceaux de corps. Lisez l’article de Paul Craig Roberts paru sur IntrepidReport : « Un reportage de la TV pakistanaise contredit la version US de la mort de Ben Laden »
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8 janvier 2012
Le trophée de guerre que représente la tête d’Oussama Ben Laden pour le futur candidat démocrate Barack Obama semble être un argument précieux au vu des commentaires faits récemment par l’un de ses conseillers en stratégie électorale, David Axelrod. On comprend mieux pourquoi cette opération commando de mai dernier au scénario variable et plutôt surréaliste n’a jamais été sérieusement remise en cause par les grands médias et a pu rentrer dans l’histoire sans coup férir, et malgré toutes ses invraisemblances, tout comme la version officielle du 11-Septembre. L’enjeu est énorme et toute remise en cause publique atteindrait le système en son coeur. Lisez l’article paru dans le HuffingtonPost (version US) : « David Axelrod à propos de l’assassinat d’Oussama Ben Laden : "Je ne suis pas sûr que Mitt Romney aurait pris cette décision" »
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15 mars 2012
Il n’y a rien de vraiment étonnant à ce que les militaires US ou les services secrets refusent de communiquer les informations, les emails, les rapports ou tout document relatif à l’attaque du complexe d’Abbottabad au Pakistan en mai dernier. Quel besoin d’ailleurs, puisque les grands médias occidentaux ont désormais adopté la version officielle qui voit dans cette demeure la dernière résidence d’Oussama Ben Laden ? Mais ce qui peut surprendre, ce sont les termes utilisés par le Pentagone pour expliquer son refus de donner suite aux demandes d’Associated Press déposées au titre de la loi américaine sur la liberté de l’information (FOIA). En effet, les excuses invoquées apparaissent sous la forme de phrases comme "nous ne retrouvons pas tel document…", "nous n’avons pas pu remettre la main sur…", "nous ne savons pas…" comme si personne n’avait gardé la trace de cette mission commando qui reste l’un des hauts faits d’arme de Barack Obama. Un profil bas assez inhabituel et pathétique pour le ministère de la Défense US qui gère pourtant le plus gigantesque budget militaire de tous les temps. Lisez l’article de Richard Lardner pour Associated Press : « Le Pentagone affirme n’avoir aucun dossier sur la mort de Ben Laden et la CIA n’a pas répondu à la demande d’ouverture d’un dossier »
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1er mai 2012
Alors que l’Amérique s’apprête à commémorer le premier anniversaire de l’exécution de l’ancien ennemi public N°1, les hostilités commencent entre les deux candidats à la présidentielle. Face à un Romney novice en matière militaire, Obama endosse le rôle du commandant en chef et va jouer à fond la “carte Ben Laden”. Ironie de l’histoire, l’ennemi emblématique des États-Unis jouera bien malgré lui un rôle d’arbitre dans les élections américaines. Un an après son exécution sommaire, dans une villa cossue d’Abbottabad au Pakistan, l’ancien leader d’Al-Qaïda est devenu un faire-valoir pour la réélection du président démocrate. Après un premier mandat décevant et le changement promis à l’époque du “Yes We Can” qui n’est jamais arrivé, Barack Obama a besoin de susciter un nouvel élan d’ici novembre. En pleine campagne, l’occupant de la Maison Blanche a décidé d’exploiter ses moindres victoires. Et quoi de mieux pour marquer des points auprès des électeurs que d’incarner le président qui a offert à l’Amérique l’exécution tant attendue d’Oussama Ben Laden. [...] Lisez la suite de l’article paru sur LeSoir.be
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En tout cas, au vu de l’émission sur Ben Laden diffusée sur France 3 le lundi 30/4, aucun doute sur le surréalisme entourant la mort du terroriste le plus recherché de la planète. Les autorités américaines auraient dicté les faits, on n’aurait pas entendu autre chose…
Le pire est l’article du 12 aout 2011: le machiavélisme sans égal de ceux qui tirent les ficelles, ils sont des criminels sadiques sans âmes.
Le témoignage de ce pakistanais montre qu’un commando de navy seals a été sacrifié, je suis sur que les 3 hélicos avaient pour consigne de ne pas communiquer, , que la maison de ce vieillard a été choisi parce qu’il ressemblait vaguement a lui. Que l’hélicoptère une fois ben laden capturé, a été saboté et détruit par un groupe très secret infiltré au sein du corps US.
Ils éliminent sans état d’ames, les mêmes qui sont déclarés craschés quelques mois plus tard et comme par hasard c’était en partie ceux de l’operation ben laden.
Ils vont donner deux fausses versions:
1-Aux militaires américains plus ou moins impliqués en disant que l’hélico a explosé et qu’on en parle pas à l’opinion publique en présentant cela comme réussi, vous connaissez, benladen capturé et tué en fait on sait pas trop comment et qu’avec des images de synthèse ou de cinéma puis inhumé en mer.
Pour les militaires patriotes on leur dira top secret, on a eu un probleme avec l’hélico , il s’est crashé avec ben laden dedans, on le dira pas pour ternir l’image des navy seal mais ben laden est bien mort dedans, l’adn le prouve. adn que personne ne verra.
2-Puis la version que vous connaissez tous donné à l’opinion mondiale.
Enfin le pauvre bougre interviewé, je suis prêt a parier qu’il est mort dans un accident, lui et d’autres éventuels témoins direct.
Bref ces gens qui font ça et qui réussissent a garder un tel secret, ma question auquel je n’ai jamais vu de réponses est : Comment ces gens peuvent garder un tel secret, comment aucun n’a fuité les vraies versions ou sorti des images ou documents compromettant ?
Quel est le lien qui semble intangible qui les lient ? Quels code d’honneurs ont-ils entre eux pour garder le secret ou quel horrible serments les lient ?
Vidéos d’Alex jones sur la mort de ben laden:
http://archive.org/details/alex_jones_ben_laden
Article intéressant sur un massacre qui pourrait encore être que la partie visible de l’iceberg :
http://www.alterinfo.net/Le-massacre-de-dix-sept-Afghans-et-la-diversion-d-Obama_a75519.html
Parallèle intéressant ! Il est dommage qu’avec le temps, le simplisme l’emporte et que les doutes tombent dans l’oubli. À moins que l’oubli soit la seule façon pour la version officielle de gagner ?
Je crois que nous avons à faire à une gagne qui ont tellement gagné en assurance en se sauvant ainsi avec le 11 septembre,que maintenant c’est par pure jouissance qu’ils inondent le monde de nouvelles invraisemblables comme l’inhumation en mer,la photo truquée avec un oeil manquant,que Ben Laden s’est servi d’une femme comme bouclier humain etc etc…
Ils sont crampés, imbus de pouvoir et convaincus qu’aucune justice ne pourra dorénavant leur mettre la main au collet.
We Fuck The World – Les Guignols
http://www.youtube.com/watch?v=i5AZHJfHz2s
La propension des médias à dénoncer à chaud certains faits jusqu’à, ultérieurement, se contredire pour servir tous une même version à l’unisson est la démonstration qu’il n’existe plus du tout d’objectivité ou représentativité de la presse.
Pour une parution qui veut avoir un modèle économique fiable il n’existe qu’une seule version possible, et c’est celle de la majorité. Que cette version soit un copié-collé du Pentagone ou pas, n’est plus la question. Pour survivre, une parution se doit de respecter un consensus idéologique formé par la masse de tous les autres médias. Les quelques aspérités qui surgissent ça et là « à chaud » sont très vite lissées, gommées, effacées, pour rentrer dans un moule uniforme d’information auto-censurée par la masse des médias elle-même. Ainsi la réalité s’auto-façonne, dans un système dans lequel les moindres contradictions s’effacent toutes seules, de façon à ne régurgiter qu’une seule et même version, qui n’est validée que par elle-même et son système d’auto-validation tournant en boucles infinies.
Et il est du rôle des truthers de ne se fier qu’aux tous premiers échos de la vérité, les seuls à même de laisser apparaître la réalité dans sa nature réelle et indiscutable.
Le combat de la vérité sur le 9/11 ne s’éteindra qui si la mémoire de l’internet, intégrant toutes ses précieuses sources originelles, pouvait être effacée. A bon entendeur…
Pour replacer ces aventures dans leur contexte géo-philosophique, un superbe texte
Splendeur et misère d’un épouvantail : « l’islamisme » Par Bruno Guigue | le 27. avril 2012
dont voici des extraits :
(…) Mais l’essentiel, pour le discours dominant, demeure de faire en sorte que l’arbre du religieux cache la forêt du politique. Appliqué au phénomène terroriste, le procédé cumule deux avantages : il permet d’incriminer directement la religion musulmane tout en exonérant la politique occidentale de sa responsabilité dans la genèse du jihadisme. La doctrine du choc des civilisations perpétue de la sorte sa pernicieuse onde de choc en imposant une lecture essentialiste des conflits qui déchirent le monde. Il lui suffit de les rapporter à une causalité diabolique qui coïncide comme par enchantement avec un islamisme que l’on se garde bien de définir.
(…)
Afin de masquer les véritables enjeux de la question irakienne (l’appât pétrolier et l’antisionisme baasiste) on inventa cette monumentale supercherie consistant à présenter la guerre contre Saddam comme une opération préventive contre le jihadisme. Ironie de l’histoire, l’invasion étrangère a fourni aux affidés d’Al-Qaida un nouveau théâtre d’opérations, tout en plongeant le pays dans un chaos dont les partis chiites proches de l’Iran sont sortis victorieux. En un raccourci saisissant, le New York Timesrésuma l’aventure irakienne : « L’Amérique a dépensé 200 milliards de dollars pour installer une théocratie ».
(…)
C’est à croire, en définitive, que l’Occident a inconsciemment calqué son attitude sur celle de son appendice israélien, dont le comportement typique est celui du voleur qui hurle à l’assassin.
A lire sur http://oumma.com/12570/splendeur-misere-dun-epouvantail-lislamisme
j’ai un ami d’origine algérienne qui m’a dit, lors d’une conversation sur le 11 septembre, que lorsqu’il a entendu parler de la mort d’Oussama, de son élimination par les américains il a bien « rigolé », à l’époque. Pour les algériens, d’après lui, Ben laden serait mort il y a un peu plus de 8 ans à cause de ses problèmes de santé! Un collègue de travail qui lui est marocain, m’a dit exactement la même chose alors que je lui parlais du site ReOpen et du 11 septembre. Je lui ai demandé sont avis sur la mort de Ben Laden, sans rien lui dire de plus. Il a esquissé un sourire et m’a dit: » il est mort depuis bientôt 10 ans, il était malade, mais ça, tout le monde le sait! Al Qaïda aussi n’existe plus depuis longtemps… » puis il continu et rajoute: » Sais tu ce que veut dire al qaïda en arabe? » je lui dit non et il me répond: » ça veut dire, Camp de base. drole de nom pour une organisation terroriste! « . il se pose les mêmes questions que nous et je trouve ça encourageant.