11-Septembre : Barbara Olson a-t-elle passé le moindre appel depuis le Vol 77 du Pentagone ?
Les appels téléphoniques des passagers depuis les vols détournés le 11/9 constituent une des pierres angulaires du récit officiel. C’est au travers de ces appels que le monde entier a appris que des pirates armés de cutters avaient pris possession de quatre avions le 11 septembre 2001 en menaçant ou en tuant les équipages et les passagers. Celui passé par la célèbre présentatrice de CNN, Barbara Olson, à son mari qui était adjoint du Procureur général des Etats-Unis, en constitue la pièce maitresse, du fait même de la notoriété aux USA de ces deux personnages. Mais, tout comme le FBI lui-même l’avait conclu en 2006 lors du procès Moussaoui, l’existence réelle de ces communications téléphoniques est fortement sujette à caution. S’appuyant sur les informations provenant directement de la base de données d’AT&T et mises en ligne par le site scribd.com, la chercheuse Elisabeth Woodworth reprend ici méthodiquement les traces électroniques de ces appels, et démontre que Barbara Olson n’a pas téléphoné à son mari depuis le vol 77 avant que l’appareil n’aille s’écraser (selon la thèse officielle) contre le Pentagone le 11 septembre 2001.
Le célébrissime couple outre-Atlantique,Ted et Barbara Olson
Ce que révèlent les registres téléphoniques originaux à propos des appels depuis le Vol 77 : Barbara Olson a-t-elle passé le moindre appel ?
Par Elizabeth Woodworth, sur Coto Report, le 7 septembre 2011
Traduction STTC / GV pour ReOpenNews
Résumé : Cet essai présente de nouveaux éléments de preuve qui viennent contredire encore davantage le récit communément admis du détournement du vol 77 par des hommes armés de couteaux [en plastique] et de cutters. L’histoire des appels téléphoniques entre la présentatrice de CNN Barbara Olson et son mari, Theodore Olson, alors adjoint du Procureur général des États-Unis, a fait le tour du monde le 11 septembre 2001, après l’interview par CNN de M. Olson.
Cet article examine en détail les données « brutes » des registres téléphoniques, et confirme les travaux du Dr. David Ray Griffin[1], lequel avait avancé que la seule tentative d’appel de Barbara Olson, qui n’aboutit pas et dura « 0 » seconde, ne lui avait pas permis de raconter à son mari l’histoire des pirates de l’air.
Cet article présente également de nouvelles informations suggérant que la technologie numérique de l’époque était capable d’acheminer les appels qui semblent avoir émané du Vol 77, depuis le sol jusqu’à l’avion et dans l’autre sens.
* * *
Des détails instructifs sont apparus récemment sous la forme de données brutes (ou "primaires") venant de Claircom (AT&T Wireless) pour les vols 11 et 77.[2]
Ces registres, s’ils sont authentiques, mettent à mal la crédibilité des appels téléphoniques rapportés dans les médias comme ayant été passés entre l’adjoint du procureur général des USA, et sa célèbre épouse et présentatrice à CNN, Barbara Olson, qui était censée être à bord du Vol 77.
Avant toute chose, précisons que ces appels téléphoniques supposés d’Olson sont de la plus haute importance.
Les implications de l’interprétation officielle des données « primaires » concernant le Vol 77
Le récit que Ted Olson a fait des appels reçus de sa femme Barbara depuis le Vol 77 a créé deux concepts fondamentaux.
Tout d’abord, l’interview de Ted Olson par CNN dans laquelle il décrit les appels téléphoniques de sa femme, a fait le tour du monde ce jour-là.[3] Cela a immédiatement donné naissance à des images dramatiques mettant en scène deux personnages connus dont le sort tragique a été pris comme parole d’évangile par un monde totalement centré sur la télévision. Tout comme les images dramatiques et inoubliables de l’effondrement des Tours Jumelles, celles diffusées sur les ondes de ces deux personnalités phares, des gens extrêmement connus et considérés pratiquement comme des « amis » par les gens, furent imprimés de manière indélébile dans l’inconscient des Américains.
Ensuite, l’appel téléphonique de Barbara constitue l’unique témoignage provenant de l’ensemble des vols, et indiquant que les pirates de l’air étaient armés de cutters, ce qui eut les conséquences suivantes :
Puisque contrairement aux pistolets, aux couteaux en métal et aux bombes, les cutters et les couteaux en plastique étaient légalement autorisés pour les passagers le 11 septembre 2001, l’affirmation selon laquelle [les pirates] ont utilisé de tels objets pour s’emparer des avions et détruire le World Trade Center est une fiction utile. Non seulement cela a permis de dédouaner les compagnies aériennes, les aéroports et leurs systèmes de sécurité de leur responsabilité centrale vis-à-vis des victimes du World Trade Center, mais cela a protégé l’Administration Bush en détournant l’attention du fait que la sécurité dans trois aéroports fédéraux fut dangereusement laxiste. »[4]
Comme le fait remarquer Rowland Morgan, « Je pense que les appels d’Olson étaient tellement importants qu’ils devaient [absolument] avoir lieu. »[5]
Les données « brutes » sont-elles authentiques ?
Les données proviennent de la diffusion d’un document gouvernemental[6] mis en ligne par le site d’information Sribd (www.scribd.com). [Ces données] n’ont pas souvent été mentionnées dans la littérature sur le 11/9, et constituent par conséquent une nouveauté pour beaucoup.
Cela se présente sous la forme d’un fax imprimé provenant d’une base de données d’AT&T, réceptionné par un bureau du Département de la Justice le 13 septembre 2001. Le fax fut par la suite transmis par l’assistant du procureur général des États-Unis au Conseil de la Commission sur le 11/9.
Je vais considérer le document imprimé provenant de la base de données d’AT&T comme authentique, et ce, pour les raisons suivantes :
- Il a l’aspect, le format, les polices de caractères et les numéros de page typiques des fax de l’époque ;[7]
- La page imprimée a été examinée par un ancien concepteur du système Claircom, qui a écrit (lettre du 25 mars 2011) que « les éléments des données d’enregistrement de l’appel figurant sur ce fax sont compatibles avec mes souvenirs de ce qu’étaient les registres d’appels de Clearcom et la façon dont Clearcom établissait ces listes d’appels dans leurs rapports. »[8]
- Il décompose les appels en segments enregistrés difficiles à analyser par l’homme, ce qui est assez typique des bases de données de l’époque, d’après un ancien professionnel de Telco IT, David Brown.[9]
- Si la page imprimée de la base de données est une pure construction, on ne comprend pas bien sa raison d’être, puisqu’il est bien loin de prouver que plus d’un appel a été passé.
Notez bien que même si je prends pour authentique cette page imprimée de la base de données, il est possible qu’elle ait été modifiée, comme nous allons le voir bientôt.
Quels appels étaient possibles depuis le système Clairom ?
Dans des circonstances normales, le système était conçu pour utiliser des cartes de crédit. Ces appels ont été répertoriés dans la catégorie « Insérer & numéroter » (Call Type = Swipe & Dial)
Toutefois, après examen des registres, le responsable informatique qui a conçu le système a fait le commentaire suivant : « Il semblerait que certains correspondants aient passé leurs appels en utilisant leurs cartes de crédit. D’autres ont émis l’équivalent des appels d’urgence (911 calls) »[10]
Des commentaires rédigés en face de l’enregistrement 4 (voir ci-dessous) montrent qu’il était possible de contacter un opérateur humain du réseau OSPS (Operator Services Position Station), sans qu’aucun numéro de carte de crédit n’apparaisse dans les champs correspondants de l’enregistrement.
Les commentaires indiquent également que des appels en PCV (Collect calls) étaient possibles.
Manifestement, il était possible de court-circuiter la lecture de la carte de crédit de cette manière, en utilisant le mode d’appel "Numéroter & Numéroter" (Call Type = Dial & Dial)
Que montrent les registres primaires d’AT&T ?
Un examen attentif de ces enregistrements [de la base de données] montre qu’ils ont, sans aucun doute possible, constitué la source principale de la présentation graphique donnée par le FBI au procès de Zacharias Moussaoui des appels passés depuis les téléphones équipant les dossiers de sièges des vols 11 et 77 [11], comme montré par les pièces du procès public[12].
Notez que les fuseaux horaires des données primaires reflètent la position des différentes stations au sol, alors que les représentations graphiques présupposent toujours le fuseau horaire Eastern Time Zone, c’est-à-dire Eastern Daylight Time en septembre.
Plusieurs personnes dotées d’une expérience dans les domaines technologiques[13] ont examiné les données brutes et conviennent que chaque enregistrement représente l’une des étapes électroniques d’un appel téléphonique ; il s’ensuit que plusieurs enregistrements sont nécessaires pour suivre l’acheminement d’un appel complet [14].
Ces enregistrements ont été imprimés sous forme de champs groupés. Chaque groupe, représentant un même appel, dispose d’un code d’appel commun "CSC Call ID" [15] et d’un horaire identique de début d’appel.
Les éléments présentés durant le procès public de Moussaoui identifient les demandeurs et les destinataires de seulement trois appels en provenance du vol 77. Deux d’entre eux auraient émané de l’hôtesse de l’air Renee May et un appel « infructueux » d’une durée de « 0 seconde » aurait été prétendument passé par Barbara Olson pour son mari Ted Olson, adjoint du Procureur général des États-Unis. Un seul appel aurait eu une durée significative – un appel de 158 secondes de Renee May à ses parents.
Quatre autres appels d’une certaine durée ont été rapportés comme des appels reliés à des « numéros inconnus »[16]. Le Département de la Justice en tira la conclusion improbable que non seulement la seule passagère à avoir pu placer un appel était la commentatrice bien connue de CNN Barbara Olson, mais qu’en fait, elle avait également passé ces quatre appels inconnus à destination du bureau de son éminent mari [17].
Toutefois, les données brutes de Claircom montrent une irrégularité étrange et unique dans les appels numérotés 4 à 7 sur le rapport faxé du vol 77.
Les enregistrements 4 à 7 représentent un appel qui a débuté à 07:15:34 (09:15:34 Eastern Time) et a duré 102 secondes [18]. Cet appel a reçu une attention particulière, des commentaires explicatifs dactylographiés ayant été rajoutés dans l’enregistrement [19] pour montrer que le client a appelé un opérateur humain AT&T (Operator Services Position Station, ou OSPS) et que l’heure n’est pas enregistrée en raison de la facturation OSPS.
Étant donné que le client a tapé "0", comme ce mode de numérotation l’impliquait, il n’y pas eu de caractère de fin de numérotation "#" (signifiant l’absence de destinataire) à l’exception du "0". L’appel a ensuite été redirigé vers l’opérateur AT&T et le réseau (Domain) a été modifié en OSPS.
Cet appel de 102 secondes, qui devait être facturé par l’opérateur AT&T n’a pas pu être retracé vers un destinataire listé dans le rapport de données primaires, et il n’y a pas de numéro de carte de crédit mentionné dessus, d’où il s’ensuit que l’appel, comme mentionné plus tard sur le document graphique montré lors du procès public, a été jugé avoir été fait à un « numéro inconnu » [20].
Toutefois, si nous consultons la suite de la liste des données primaires, aux enregistrements 8 et 9, nous constatons la présence d’un appel, à 07:18:58 (09:18:58), qui a lui aussi été attribué à Barbara Olson. A nouveau, l’appel a été émis avec un « 0 » (pour Opérateur) dans l’enregistrement 8,
mais dans ce cas, l’appel (d’une durée de « 0 » seconde) a fait l’objet d’une déconnexion de la partie appelante (voir enregistrement 9) avant d’atteindre l’opérateur du réseau OSPS. Et pourtant, il est censé avoir d’une certaine manière atteint un destinataire final, comme on peut le voir dans l’enregistrement 9, et ce numéro supposé apparaît avoir été rédigé sous une boite blanche vide :
Sur l’enregistrement graphique correspondant, rendu public [lors du procès] Moussaoui (voir ci-dessous), l’appel correspondant à cet horaire indique le préfixe 202 qui est celui de Washington DC [ Ndt : DC ou District of Columbia, s’agissant de la capitale, située sur la côte est, et non pas l’État de Washington situé sur la côte ouest] ainsi que les trois premiers chiffres d’un numéro partiellement censuré, alors même que cet appel est censé avoir été « sans succès » (unconnected) [21]. Si un appel n’a pas abouti, le numéro du correspondant serait-il enregistré ? Si ce n’est pas le cas, alors cela présente une contradiction.
En outre, pourquoi ce numéro appartenant à l’adjoint du Procureur général des États-Unis, qui est un numéro public, aurait-il été censuré dans le document graphique du procès Moussaoui ?
Enfin, pourquoi une main anonyme a-t-elle tapé « Vie privée 11/9 » juste à côté de l’enregistrement 9, dans une police de caractère différente de celle de l’impression par l’ordinateur ?
Ces contradictions, ajoutées aux enregistrements de données primaires pour les appels 4-7 ci-dessus, comportant l’information selon laquelle un appel effectué par un opérateur humain ne devait pas indiquer de trace horaire ni de numéro de destinataire, pourraient suggérer que le numéro visible sur la ligne correspondant à l’appel d’Olson ne serait pas véritablement présent, et que le numéro partiellement visible sur la pièce du procès Moussaoui, qui était basée sur les données primaires, a été rajouté artificiellement.
Si nous portons notre attention sur les trois autres appels passés à des « numéros inconnus » depuis le vol 77 et figurant sur l’enregistrement graphique, nous en voyons un à 09:20:15 d’une durée de 274 secondes ; un à 09:25:48 de 159 secondes et un autre à 09:30:56 de 260 secondes [22].
Sur les rapports de données primaires, l’appel de 07:20:15 (09:20:15), représenté par les enregistrements numérotés manuellement de 10 à 15, a lui aussi été passé auprès d’un opérateur humain et ne montre aucun numéro de destinataire ou de trace horaire. A contrario, le bureau de l’opérateur AT&T a retenu ces informations en vue d’une facturation ultérieure, comme noté pour les appels 4 à 7.
De manière similaire, l’appel de 07:25:48 – ou 09:25:48 EDT – (enregistrements numérotés manuellement 16-19) a lui aussi été passé auprès d’un opérateur et ne montre aucun destinataire.
Et le troisième appel, 07:30:56 – ou 09:30:56 EDT – (lignes numérotées manuellement 20-23) a également été passé auprès d’un opérateur et n’indique aucun destinataire.
Ces trois appels effectués par opérateur présentent une trame identique à celle des appels libellés manuellement 4-7, qui comportaient les explications dactylographiées sur leurs lignes. Et pourtant, le seul appel identifié, l’appel « Olson » (enregistrements 8 et 9), montre la même trame que les appels 4-7 qui ne comportent aucun enregistrement de données horaires ni de données de facturation de carte de crédit.
Si le numéro 202-514-XXX indiqué sur la pièce graphique du procès Moussaoui a reçu un appel à ce moment-là, quelle preuve a-t-on qu’il provenait de Barbara Olson à bord du vol 77 ?
La seule conclusion vraisemblable est que l’appel « d’Olson » au numéro « censuré » (qui fut passé à travers un opérateur) d’une durée de « 0 » seconde et n’indiquant aucune trace horaire, faisait partie des appels passés à des numéros inconnus, et qu’il n’y a aucun moyen de le relier de manière certaine à Barbara Olson.
De même, on ne peut que constater qu’il n’y a aucune raison de croire que Barbara Olson a effectué l’un quelconque de ces trois appels vers des numéros non identifiés. Ces appels sont supposés avoir été passés à l’aide de combinés téléphoniques différents (i.e., CSC Call ID numbers) de celui utilisé lors de l’appel qui lui a été attribué dans les pièces à conviction du procès Moussaoui.
Le dernier « appel à un numéro inconnu » que la Commission du 11/9 a attribué à Barbara Olson a eu lieu de 09:30:56 à 09:35:16, heure à laquelle l’enregistrement primaire indique une « rupture de l’appel par la partie appelante ».
Toutefois, d’après le rapport du NTSB (National Transportation Safety Board - Conseil national de la sécurité des transports) sur le vol 77, à 9:34 lorsque l’avion était à 2000 mètres [d’altitude] et à 5 km à l’ouest-sud-ouest du Pentagone, il commença un virage à droite en descente et entama une spirale en piqué avant de s’écraser contre le Pentagone à 09:37:45 [23].
Pourtant, aucune mention n’a été faite par Ted Olson ou son équipe de ce changement de cap spectaculaire, qui se serait produit pendant une minute pleine au cours de l’appel prétendu de Barbara [24].
Quels autres enregistrements téléphoniques auraient pu être consultés ?
Le Département de la Justice a prétendu avoir fouillé absolument partout pour retrouver la trace des appels téléphoniques provenant des vols du 11-Septembre. Les résultats présentés dans le rapport de 2004, « Exposé du Département de la Justice sur les appels téléphoniques et cellulaires du vol 77 » ont été tirés d’une étude exhaustive des registres téléphoniques et des entretiens conduits avec les membres des familles des passagers et des équipages [25].
Nous devons donc nous poser la question suivante : si les appels du vol 77 ont fait l’objet de recherches tellement approfondies par le DOJ, pourquoi le gouvernement n’a-t-il pas présenté tous les détails des « appels non identifiés» qui auraient pu être obtenus grâce à l’opérateur AT&T ?
Or si les appels étaient en PCV, comme la possibilité en est mentionnée sur les notes dactylographiées (« des appels auraient pu être passés en PCV ou à l’aide de cartes de crédit »), pourquoi n’a-t-on pas vérifié si ces appels apparaissaient sur le compte de l’adjoint au Procureur général des États-Unis ?
Cette faillite inexplicable à rendre des comptes sur des aspects aussi évidents de l’enquête suggère fortement une tentative pour étouffer l’affaire.
D’autres preuves ont été présentées à l’appui de cette possibilité [26]. En fait, pour couvrir les appels discutables en provenance de Barbara Olson listés dans les registres primaires des appels téléphoniques et les rendre compatibles avec l’affirmation de son mari disant qu’elle l’avait appelée, il a suffi de censurer par un rectangle blanc le numéro apparemment inexistant correspondant à l’appel d’une durée de « 0 seconde ».
Ces enregistrements de données primaires (voir plus haut) ne présentent aucune preuve que Barbara Olson a passé un quelconque appel au bureau de l’adjoint du Procureur général des Etats-Unis – et aucune autre vérification d’enregistrements téléphoniques n’a par ailleurs été proposée en provenance d’autres sources.
Tant que le gouvernement ne présentera pas les registres (qui sont habituellement conservés de manière systématique), tout porte à croire que les appels reçus par le bureau de Ted Olson provenaient d’ailleurs.
D’où ces appels pouvaient-ils provenir ?
Trois personnes du bureau de l’adjoint au Procureur général et deux opérateurs d’AT&T ont rapporté avoir été impliqués dans les appels d’Olson depuis le vol 77 [27].
Les parents de Renee May ont rapporté avoir reçu un appel téléphonique de la part de leur fille [28].
Comment est-il possible de concilier ces informations avec l’absence d’enregistrements téléphoniques les justifiant ?
Peut-être devrions-nous revoir complètement notre manière d’aborder le problème. Le fait que ces appels ont été reçus ne signifie pas obligatoirement que ces appels furent émis du vol 77.
Tout comme une étude diffusée récemment à montré que plus d’une douzaine d’avions avaient transmis de manière involontaire le code de détournement (7500) au matin du 11/9 [29], il est apparu qu’en 2001, « il était théoriquement possible d’acheminer un appel [AT&T] d’un endroit donné, à travers une station au sol vers un avion, et de là, à nouveau vers une autre station au sol [30].
Si cela était réalisable, alors la transmission d’imitations (voice morphing) [31] des voix lors des deux appels de Barbara Olson, et lors de l’appel de Renee May, et leur acheminement depuis le sol vers le vol 77 et retour ne seraient pas impossibles.
Cela pourrait expliquer pourquoi les informations de facturation n’étaient pas disponibles.
Qu’en est-il des appels qui sont disponibles à l’écoute ?
Il n’y a que deux appels pour lesquels des enregistrements audio ont été rendus publics : les quatre premières minutes de l’appel de Betty Ong [32] depuis le vol 11, d’une durée totale de 27 minutes, et le message vocal de CeeCee Lyles en provenance du vol 93, d’une durée de 45 secondes.
Concernant le message vocal de CeeCee Lyles en provenance du vol 93 :
L’hôtesse de l’air CeeCee Lyles est censée avoir laissé un message vocal à 09:47:57 à l’attention de son mari Lorne Lyles à leur domicile.[33]
Bien que les registres téléphoniques primaires pour le vol United Airlines 93, qui utilisait le système de communication aéronautique GTE, soient disponibles [34], ils sont bien plus difficiles à interpréter que les enregistrements Claircom, et l’appel est plus difficile à vérifier ici. Toutefois, la transcription du procès Moussaoui [35] indique la présence de cet appel présumé, ainsi qu’un appel depuis un téléphone cellulaire [36].
L’enregistrement de messagerie vocale d’une durée de 45 secondes a été rendu public et peut être consulté sur le site internet du procès Moussaoui [37]. L’appel est d’une qualité étonnante et le choix des mots paraît bien peu naturel compte tenu des circonstances, lorsque CeeCee dit à son mari, « S’il te plait, dis à mes enfants que je les aime énormément » (Please tell my children that I love them very much)
Cependant, selon un reportage diffusé fin octobre 2001 :
« Après avoir convaincu d’une voix douce le policier régulateur Lorne Lyle de s’engager dans les Forces armées en 1997, elle l’épousa trois ans plus tard et considéra ses fils, Justin et Jordan comme les siens [38]. »
CeeCee avait elle-même deux enfants, et il paraît très étrange, alors même qu’elle l’appelait « Bébé » à tout instant, qu’elle utilise ce vocabulaire formel pour désigner spécifiquement ses propres enfants – au lieu de dire « dis aux enfants » – alors qu’elle était convaincue de lui parler pour la dernière fois.
Il existe d’autres raisons de penser que cet appel téléphonique a été simulé, comme le permis de conduire de CeeCee Lyles émis par l’État de Floride, soi-disant trouvé sur le site du crash du vol 93 et qui est apparemment falsifié. Ce permis de conduire était un duplicata émis en 1997 sous son nom d’épouse de Lyles. Mais à cette époque, trois ans avant qu’elle n’épouse Lyles en 2000 [39], elle était toujours mariée à son second mari. Que ce « duplicata » de permis de conduire ait été retrouvé est en lui même fortement discutable si l’on considère le rapport d’un pompier bénévole sur le site, qui rapporte avoir vu « des débris partout, des pièces de métal, de papier, de l’isolant, des câblages et j’ai regardé tout autour, et… personne, et je me suis demandé, ‘mais où sont les passagers ?’ » [40].
Pour résumer, si des gens ont travaillé à simuler des appels pour les vols du 11-Septembre, certaines de ces simulations ont pu être préparées à l’avance. Les contrefacteurs connaissant les trajets effectués régulièrement par le personnel de cabine auraient pu facilement capter des échantillons de voix pour les équipages habituels sur les quatre trajets et préparer des appels non interactifs pour chacun d’entre eux. Puis, au matin du 11/9, ils auraient pu sélectionner et utiliser les appels préparés pour les personnels ayant été programmés pour les vols du jour. Si les appels recevaient une réponse, ils pouvaient raccrocher ; s’il n’y avait pas de réponse, le message pouvait être déposé dans la boite vocale.
L’appel de CeeCee Lyles, qui présente un aspect scénarisé et irréel [41] correspondrait à la description d’un appel préparé de cette manière.
L’appel de Betty Ong du vol 11 :
L’appel de Ong a été effectué à 08:18:47 EDT vers un bureau de réservation et de ventes d’American Airlines à Cary, [État de] Caroline du Nord où, plutôt que d’être transféré à son secteur de vol à l’aéroport de Logan (qui est l’endroit où son amie et collègue Amy Seeney a appelé), son appel a été maintenu pendant 27 minutes par des personnes non formées à faire face aux situations d’urgence, jusqu’à 08:45:47, 53 secondes avant que le vol 11 s’écrase à 08:46:40.
En outre, l’appel de Ong qui, de tous les appels téléphoniques du 11/9 est le plus long et comporte le plus d’informations, a été effectué vers un bureau qui ne pouvait pas connaître ou reconnaître la voix de Betty Ong.
L’enregistrement audio d’une durée de 4 minutes est très discutable [42], en ce sens que :
- Ong commence par dire qu’elle est sur le vol 12, et non le 11 ;
- L’appel est décousu et confus – comme s’il était non-interactif à certains endroits – lorsque Ong fournit des « réponses » sans relation avec la question posée, par exemple :
Sadler : « Madame, quel siège occupez-vous ? »
Ong : « Nous venons juste de quitter Boston, nous sommes en vol »
- Ong néglige de fournir son numéro de siège jusqu’à ce que la question lui soit posée une quatrième fois. Elle dit : « on ne peut pas respirer en classe affaires », celle-ci étant située à l’avant [de l’appareil], alors qu’elle dit qu’elle est assise sur son strapontin [siège de structure réservé à l’équipage] à l’arrière de l’avion.
- Ong est inexplicablement calme alors qu’elle rend compte de multiples agressions au couteau ou à l’aide de gaz lacrymogènes (Mace).
- Ong demande qui a été poignardé à quelqu’un qui revient de la classe affaires. Une voix non identifiée à l’arrière-plan annonce d’un ton presque enjoué « Je ne sais pas, mais Karen et Bobbie ont été poignardés ».
- Ong se réfère aux intrus par « eux » mais ne les décrit jamais, ou n’est jamais invitée à les décrire, et déclare qu’ « ils » sont dans le cockpit (apparemment tous les cinq, avec les pilotes. Trois photos d’un cockpit de Boeing 767 rendent cette affirmation grotesque).[43]
- Bien que Ong a rapporté plus tard que les passagers de première classe et de classe affaires avaient été déplacés en classe touriste, pas un seul d’entre eux ne semblait savoir quoique ce soit à propos des pirates de l’air ;
- Ong a annoncé que le gaz lacrymogène aurait dû affaiblir les pirates de l’air aussi bien que l’équipage et les passagers ;
- On n’entend pas les passagers en arrière-plan, bien qu’ils aient été attaqués à coups de couteaux et de gaz lacrymogènes, et pas un seul des 76 passagers ne semble avoir passé un appel téléphonique, bien que les téléphones de siège aient été disponibles sur les Boeing 767 d’AA en 2001.[44]
Le pilote et le copilote ont tous deux omis de composer le code de détournement alors que les intrus étaient censés être en train de fracturer la porte verrouillée du cockpit.
Les anomalies listées ci-dessus suggèrent fortement un appel contrefait passé à ce bureau de réservation d’American Airlines par quelqu’un utilisant un échantillon de la voix de Betty Ong. La plus grande partie de l’enregistrement se déroule de manière interactive et s’est donc probablement déroulée en temps réel, mais il peut ne pas avoir eu pour origine, numériquement, le vol 11.
Comment les anomalies des appels de Ong et de Lyles impactent-elles les « appels » Olson
À la lumière des séquences [de conversation] non interactives décelées durant les appels de Ong et Lyle, un réexamen du témoignage de Lori Lynn Keyton, la secrétaire qui a transféré l’appel « hystérique » de Barbara Olson à son mari (alors que Ted a déclaré que « Barbara ne semblait pas paniquée[45] ») apparait justifié. Keyton, affolée par l’hystérie de Barbara, l’a interrompue et a immédiatement transféré l’appel[46]. Il n’y a, à l’évidence, pas eu d’échange, de conversation. Ce fut à sens unique.
Ainsi donc, les appels de Barbara Olson à des destinataires autres que Ted Olson n’avaient pas besoin d’être interactifs, et ils ont pu être simulés à n’importe quel moment avant le 11/9, à l’aide d’échantillons vocaux aisément disponibles de la célèbre présentatrice de CNN, et acheminés par la suite depuis le sol vers le système Claircom du vol 77 au moment opportun.
Conclusion
En l’état, toute la question des appels téléphoniques en provenance des vols condamnés est tellement pleine de contradictions et d’impossibilités qu’il est temps de réagir et de commencer à se demander comment la technologie numérique, probablement issue du milieu militaire ou des services secrets, a pu être utilisée pour bouleverser notre perception de ce qui est réellement arrivé ce matin-là.
Elisabeth Woodworth
Notes de l’auteur :
- David Ray Griffin. “Ted Olson’s Report of Phone Calls from Barbara Olson on 9/11: Three Official Denials,” Global Research, 2 avril 2008, http://www.globalresearch.ca/index.php?context=va&aid=8514
- Le 13 septembre 2001, à 09h40, AT&T a faxé les données primaires des appels téléphoniques passés depuis les vols AA 11 et AA77 à un bureau du Département de la Justice. Ces registres ont été transmis par l’assistant du Procureur général William E. Moschella à Dan Marcus, L’avocat général de la Commission nationale sur les attaques terroristes, le 26 avril 2004. Les pages faxées contenant ces registres peuvent être lues à http://www.scribd.com/doc/13499791/T7-B13-Flight-11-Calls-Fdr-Response-From-DOJ-to-Doc-Req-14-Calls-From-AA-11-and-77-and-UA-175-and-93-ATT-Wireless-UA-And-GTE-Airphone-Call-Record
- Tim O’Brien, sur CNN : « La femme de l’adjoint du Procureur général l’a averti du détournement de son avion, » 12 septembre 2001. Mis en ligne à 2 :06 EDT, http://replay.waybackmachine.org/20090206072250, et http://archives.cnn.com/2001/US/09/11/pentagon.olson/. Le reportage de CNN à propos de cette interview est disponible sur http://www.youtube.com/watch?v=n6f8oUiBQas
- Edward J. Epstein. « Fictoid #9 : couteaux en plastic et cutters », http://www.edwardjayepstein.com/nether_fictoid9.htm
- Mail envoyé à Elisabeth Woodworth, 16 avril 2011
- Voir note plus bas
- J’ai moi-même travaillé dans un service gouvernemental en 2001 où il y avait un fax extrêmement utilisé. Les pages qu’il imprimait étaient marquées des lignes écrites tout petit tout en haut, toutes identiques et typiques de ce genre de fax, et contenant le numéro de téléphone de l’envoyeur, exactement comme pour les pages dont il est question ici. Et ces documents faxés, tout comme celui-ci, commençaient toujours à la page 2, puisque la page 1 était celle de l’en-tête.
- Cette personne a été assez aimable pour dialoguer avec moi par email, mais étant donné qu’elle travailler encore dans le domaine de l’IT (Infrastrcuture Technologies), elle préfère rester anonyme dans une discussion publique.
- M. David William Brown, retraité du Northern Alberta Institute of Technology et auteur du livre “An Introduction to Object-Oriented Analysis: Objects and UML in Plain English”, 2e Édition, Wiley 2001, http://ca.wiley.com/WileyCDA/WileyTitle/productCd-0471371378.html
- Ex-concepteur de systèmes chez Claircom, lettre du 25 mars 2011
- Les données primaires pour les vol UA 93 et UA 175 figuraient dans la base de données du système d’appels mobiles GTE, et ont été consultés par la Commission sur le 11/9 et par le FBI. Leur format est beaucoup plus ardu à interpréter, et par conséquent je ne m’y suis pas essayée. Les données sont disponibles ici : « T7-B13-Flight GTE Phone Records », http://www.scribd.com/doc/26103892/T7-B13-Flight-GTE-Phone-Records-Fdr-Entire-Contents-788
- USA contre Zacarias Moussaoui, preuve numéro P200054, http://www.vaed.uscourts.gov/notablecases/moussaoui/exhibits/prosecution/flights/P200054.html. Ces documents peuvent être visionnés facilement dans le document ”Detailed Account of Phone Calls from September 11th Flights”, http://911research.wtc7.net/planes/evidence/calldetail.html
- Je remercie vivement David Brown, Rowland Morgan et l’ancien concepteur de système chez Claircom qui a vérifié l’authenticité des registres, mais a souhaité rester anonyme. Rowland Morgan, né à Brighton (GB), diplômé de Cambridge, a écrit deux livres sur le 11-Septembre : Rowland Morgan et Ian Henshall: “Flight 93 Revealed: What Really Happened on the 9/11 Let’s Roll Flight?” Carroll & Graf, 2006; et “9/11 Revealed: The Unanswered Questions,” Carroll & Graf, 2005. Morgan est un ancien éditorialiste hebdomadaire du Guardian et The Independent.
- Par exemple, dans les registres faxés, pour chaque appel, les champs du numéro CSC et de l’heure de début (Start time) de chaque segment seront identiques, mais leurs champs « Type d’événement » (Event Types) seront différents. Ces types d’événements contiendront des actions comme “Handoff Started”, “Handoff Completed”, et “Air Party Disconnect”. La « durée » (duration) de l’appel n’apparait pas avant le que n’apparaisse le segment « disconnect ». Ainsi, chaque enregistrement de cette base de données correspond à une transmission électronique au sein d’un appel téléphonique, http://www.scribd.com/doc/13499791/T7-B13-Flight-11-Calls-Fdr-Response-From-DOJ-to-Doc-Req-14-Calls-From-AA-11-and-77-and-UA-175-and-93-ATT-Wireless-UA-And-GTE-Airphone-Call-Record
- L’ancien concepteur de systèmes chez Claircom a écrit le 25 mars 2011 dans un email : « Je pense que la localisation de l’appel dans l’avion pourrait être contenue dans les codes de l’appelant (call ID ) GS/GSC. »
- USA contre Zacarias Moussaoui, preuve numéro P200054, http://911research.wtc7.net/planes/evidence/docs/exhibit/UnknownCallerAA77.png
- Département US de la Justice. Mémo pour les archives. « Briefing on cell and phone calls from Flight 77 », 20 mai 2004, http://www.scribd.com/doc/18886083/T7-B12-Flight-93-Calls-General-Fdr-52004-DOJ-Briefing-on-Cell-and-Phone-Calls-From-AA-77-408
- Les 102 secondes n’apparaissent que dans l’enregistrement 7, quand l’appel a subi une «déconnexion de la partie appelante ».
- Un examen minutieux des commentaires rajoutés montre qu’ils ont été insérés dans le système de base de données informatique qui contenait les enregistrements. Notez par exemple les lettres et l’espacement identiques des mots « Time » dans « Start Time », dans l’enregistrement pour cet appel, et « Time is not tracked » dans le commentaire.
- http://911research.wtc7.net/planes/evidence/docs/exhibit/UnknownCallerAA77.png
- http://911research.wtc7.net/planes/evidence/docs/exhibit/BarbaraOlson.png
- http://911research.wtc7.net/planes/evidence/docs/exhibit/UnknownCallerAA77.png
- National Transportation Safety Board. Flight Path Study: American Airlines Flight 77 (Conseil national de la sécurité des transports. Étude du profil de vol). 19 février 2002. http://www.gwu.edu/~nsarchiv/NSAEBB/NSAEBB196/doc02.pdf.
- En fait, c’est l’opposé qui semble être exact. M. Olson a raconté au FBI, le 11 septembre 2001, qu’ "elle n’a pas évoqué quoique ce soit à propos d’un crash". FBI. FD-302, Entrevue avec Theodore Olsen (re: : phone call from hijacked flight, appel téléphonique en provenance d’un vol détourné) http://intelfiles.egoplex.com/2001-09-11-FBI-FD302-theodore-olsen.pdf.
- D’après le résumé ci-dessous de la procédure gouvernementale, il semble très étrange que les enquêteurs, qui sont allés très loin pour identifier les destinataires des appels en provenance du vol 77, auraient échoué à obtenir d’AT&T Wireless (qui n’a pas été achetée par Cingular Wireless avant le 26 octobre 2004) les destinataires de quatre longs appels acheminés à travers un opérateur (OSPS) en provenance de ce vol. Les informations à propos des appels du vol 77 déclarées par le Département de la Justice proviennent d’une "étude de tous les enregistrements téléphoniques pour le vol, un examen des enregistrements de téléphones cellulaires de chacun des passagers à bord du 11/9 [sic] en possession de téléphones cellulaires, et des entretiens avec ceux qui ont reçu les appels en provenance du vol, ainsi qu’avec les membres des familles des autres passagers et de l’équipage. Ce travail a été conduit à l’appui de l’affaire du Département de la Justice US contre Zacharias Moussaoui. http://www.scribd.com/doc/18886083/T7-B12-Flight-93-Calls-General-Fdr-52004-DOJ-Briefing-on-Cell-and-Phone-Calls-From-AA-77-408
Une "étude exhaustive" des enregistrements téléphoniques en provenance du vol 93 a également fait l’objet d’un compte-rendu, dans un mémorandum parallèle d’information, une semaine plus tôt, à http://www.scribd.com/doc/19987615/Mfr-Nara-t7-Doj-Doj-Briefing-on-Ua93-Calls-51304-00217 - Rowland Morgan. “ Barbara Olson’s call from Flight 77 never happened (Il n’y a jamais eu d’appel de Barbara Olson en provenance du vol 77),” 2 décembre 2004, disponible à http://portland.indymedia.org/en/2004/12/305124.shtml
- Le FBI a interrogé la secrétaire Lori Lynn Keyton, http://intelfiles.egoplex.com/2001-09-14-FBI-FD302-lori-lynn-keyton.pdf. Il a également interrogé Olson en personne et Helen Voss, à http://www.scribd.com/doc/15072623/T1A-B33-Four-Flights-Phone-Calls-and-Other-Data-Fdr-Entire-Contents-FBI-302s-843. Les entretiens avec les opérateurs d’AT&T Theresa Gonzalez et Mercy Lorenzo, signalant tous les deux des appels téléphoniques d’urgence, sont aussi inclus dans ce long dossier du FBI qui contient les entretiens sur les appels téléphoniques de tous les vols.
- Ibid., http://www.scribd.com/doc/15072623/T1A-B33-Four-Flights-Phone-Calls-and-Other-Data-Fdr-Entire-Contents-FBI-302s-843
- Shoestring, “11-Septembre : Nombre impressionnant de « faux détournements d’avion » ce matin-là”, 10 avril 2011, http://shoestring911.blogspot.com/2011/04/many-false-hijackings-of-911.html (traduit en français par ReOpenNews http://www.reopen911.info/News/?p=26823). Il n’est apparemment pas difficile de pirater les fréquences militaires, le code de détournement aurait pu être transmis d’une autre source. Notez ce commentaire, RogueKnight12866 du 23 juillet 2010 à 19:17 : "Pour en terminer, j’aimerais aussi [mentionner les fréquences] 500 KHz and 2182 KHz, qui sont des fréquences d’urgence internationales dans la bande moyenne pour les avions et les navires dans les eaux internationales. Si vous avez des ennuis, je pense que les règles sont bonnes à jeter par la fenêtre. Je ferai n’importe quoi pour que mes passagers survivent, même si cela je devais pour cela briser toutes les règles et même si je devais pour ce faire pirater les fréquences radio des militaires." Ref. http://www.rfcommunity.org/radio/private-jet-pilot-on-cb-radio-channel-19/
- Un ancien concepteur système de Claircom, lettre du mercredi 10 mars 2010 à Rowland Morgan.
- La technique de synthèse/recomposition de voix (Voice morphing) était parfaitement connue en 2001. Elle ne demande qu’un bon échantillon de la voix d’un locuteur, lequel aurait été parfaitement disponible pour la commentatrice de CNN Barbara Olson. Voir étude du Département d’Ingénierie de l’Université de Cambridge, 2002-2004, à http://mi.eng.cam.ac.uk/~hy216/VoiceMorphingPrj.html. Dès 1999 la simulation vocale a été développée par le Laboratoire National de Los Alamos au Nouveau-Mexique, qui se définit lui-même comme "la première institution nationale de recherche sur la sécurité". Voir http://www.lanl.gov/about.shtml. L’efficacité de sa technologie de simulation vocale a été décrite par William M. Arkin, “Lorsque Voir et Entendre n’est pas Croire,” Washington Post, 1er février 1999, http://www.public-action.com/911/voice-simulation/. Des dispositifs de changement de la voix à usage de téléphonie sont disponibles sur le marché grand public depuis longtemps avant le 11/9.
- États-Unis contre Zacarias Moussaoui, pièce à conviction P200054 http://www.vaed.uscourts.gov/notablecases/moussaoui/exhibits/prosecution/flights/P200054.html. Il est plus facile d’y accéder à : “Betty Ong’s 9/11 call from Flight 11 (l’appel de Betty Ong depuis le vol 11 le 11/9),” http://www.youtube.com/watch?v=icfkIH3j-nk
- Cet appel peut être entendu dans les enregistrements du procès Moussaoui, mais il est bien mieux accessible à “F93 Attendant CeeCee Lyles Leaves a Message For Her Husband, (L’hôtesse du vol 93 CeeCee Lyles laisse un message pour son mari)” http://www.youtube.com/watch?v=fUrxsrTKHN4
- Les “T7 B13 GTE Phone Records (enregistrement téléphonique GTE T7 B13)” sont disponibles à http://www.scribd.com/doc/26103892/T7-B13-Flight-GTE-Phone-Records-Fdr-Entire-Contents-788.
- États-Unis contre Zacarias Moussaoui, pièce à conviction P200054 http://www.vaed.uscourts.gov/notablecases/moussaoui/exhibits/prosecution/flights/P200054.html. Il est plus facile d’y accéder à : http://911research.wtc7.net/planes/evidence/docs/exhibit/CeeCeeLyles.png
- L’appel sur téléphone cellulaire aurait commencé à 9:58:00, mais aucune durée n’a été reportée sur le document graphique du procès. Le marri de CeeCee, Lorne Lyles, a été pourtant interrogé à propos de l’appel (“Flight Attendant Called Husband from Flight 93, (L’hôtesse de l’air a appelé son marri depuis le vol 93)” http://www.youtube.com/watch?v=TBjgV1plf2M), ce qu’il a vérifié comme étant un appel de téléphone cellulaire qui a eu lieu juste avant 10 heures. Il est étrange que les enquêteurs qui ont effectué des recherches intensives à propos des appels du vol 93 n’aient pas mentionné sa durée, même de manière approximative.
- États-Unis contre Zacarias Moussaoui, pièce à conviction P200054 http://www.vaed.uscourts.gov/notablecases/moussaoui/exhibits/prosecution/flights/P200054.html. Il est plus facile d’y accéder à : http://www.youtube.com/watch?v=fUrxsrTKHN4
- “Flight crew: CeeCee Lyles, (Membre d’équipage : CeeCee Lyles)” Post-Gazette.com, 28 octobre 2001, http://www.pittsburgpost-gazette.com/headlines/20011028flt93lylesbiop8.asp
- Le résumé suivant qui concerne le « duplicata » du permis de conduire de Lyles trouvé sur le site du crash a été trouvé sur un site internet britannique : “ Affaire États-Unis contre Zacarias Moussaoui, la pièce à conviction # P200069 est la photographie du permis de conduire de CeeCee Lyles revendiqué comme ayant été trouvé sur le site supposé du crash du vol 93 à Somerset County, Pennsylvanie. L’examen du permis de conduire de CeeCee Ross Lyles montre qu’il porte la date du 02/12/1997. Toutefois, CeeCee L Ross NE PORTAIT PAS le nom de Lyles en 1997. L’examen de son certificat de mariage avec Lorne Von Lyles émis à Hillsborough County, Floride, mentionne le 01/05/2000 comme date du mariage. Un examen des listes de mariage du conté de St. Lucie indique que CeeCee Ross avait épousé Ademil Danilo Castrillo le 14/08/1994, le divorce ayant été prononcé le 23/04/1999.” http://www.coffinman.co.uk/911_evidence_tampering.htm
Des photos du permis de conduire et du certificat de mariage sont disponibles à http://letsrollforums.com/ceecee-lyles-t17044p3.html - Édition spéciale du 5ème anniversaire, “Remembering 9/11, (Se souvenir du 11/9)” 2006. Interview en direct sur CNN de Rich King, pompier volontaire de Shanksville. Voir “flight 93 eyewitness admits not seeing dead bodies, (Un témoin oculaire du vol 93 admet n‘avoir vu aucun corps)” http://www.youtube.com/watch?v=5fU-FyKAL9A
- Suivant le commentaire d’un observateur, “Cela fait positivement vibrer mon sixième sens d’ancien détective. Il y a quelque chose d’anormal… la diction sonne étrangement … faux.” http://letsrollforums.com/ceecee-lyles-t17044p2.html
- États-Unis contre Zacarias Moussaoui, pièce à conviction P200054 http://www.vaed.uscourts.gov/notablecases/moussaoui/exhibits/prosecution/flights/P200054.html. Il est plus facile d’y accéder à : “Betty Ong’s 9/11 call from Flight 11 (l’appel de Betty Ong depuis le vol 11 le 11/9),” http://www.youtube.com/watch?v=icfkIH3j-nk
- 1) http://www.marthastewardess.com/wp-content/uploads/2010/06/Boeing_767_cockpit.jpg
2) http://www.airliners.net/photo/0247951/ et
3) http://www.airliners.net/photo/Aeroflot—Russian/Boeing-767-306-ER/1884048/&sid=3a8d4f407e134d38ced98c49c61a4712 - Je suis très redevable pour beaucoup de ces points à Rowland Morgan, qui a fourni des analyses astucieuses et des recherches approfondies pour de nombreux appels téléphoniques du 11/9. Son e-book, “The 9/11 Phone-Call Evidence (Les évidences des appels téléphoniques du 11/9)” ©2010, est disponible à http://www.radiodujour.com/pdf/voices-book.pdf
- http://intelfiles.egoplex.com/2001-09-11-FBI-FD302-theodore-olsen.pdf
- Pour citer l’interview de Keyton par le FBI le 14 septembre 2001: “Barbara Olsen [sic] a été mise en communication et semblait hystérique. Barbara Olsen a dit, ‘Pouvez-vous dire à Ted …’ Keyton l’a coupée et dit, ‘Je vais vous le passer.’” Lors du deuxième appel, la même coupure intervint : “Barbara Olsen dit, ‘C’est Barbara.’ Keyton répondit, ‘Il est au téléphone avec le Centre de Commandement, Je vais vous mettre en relation.’ http://intelfiles.egoplex.com/2001-09-14-FBI-FD302-lori-lynn-keyton.pdf
Traduction STTC / GV pour ReOpenNews
En lien avec cet article :
- Disponible en France : Le dernier livre de David Ray Griffin « Un autre regard sur le 11-Septembre » | présentation de l’ouvrage de David Ray Griffin, ReOpenNews, 31 août 2011
- Le témoignage d’Olson sur les appels téléphoniques de Barbara Olson le 11 septembre : Trois Démentis Officiels | par David Ray Griffin, le 1 avril 2008 publié sur http://www.globalresearch.ca
- Un nouveau regard sur le 11 Septembre | transcript de la conférence de David Ray Griffin à Paris, ReOpenNews, avril 2009
- 11-Septembre : Au moins un document falsifié retrouvé dans le ‘trou de Shanksville’ | par Massimo Mazzucco, Luogocomune.net, le 10 août 2011
Et en anglais :
- Critique of David Ray Griffin regarding Calls from 9-11 Planes | par Paul Zarembka, sur IHTP, le 4 oct. 2011
- A Response to Paul Zarembka about Phone Calls from the 9/11 Planes | par David Ray Griffin, sur IHTP, le 25 oct. 2011
Livres :
Je suis un lecteur de Reopen depuis plus de 7 ans, et lis (comme beaucoup) les incroyables révélations qui nous sont QUOTIDIENNEMENT si généreusement livrées. Et je tiens ici à faire ici une très simple déclaration :
AUCUN article de presse sur le 9/11 n’a JAMAIS été aussi précis, détaillé, argumenté, fouillé, et étayé que le plus petit des articles disponibles sur ce site (et il doit y en avoir des milliers…)
Si l’on ne considère que la FORME des débats et non pas le FOND, on est bien obligé de déduire que les arguments les plus étayés sont à priori les plus crédibles, par rapport à ceux qui répondent de façon trop globale, fuyante, périphérique, détournée, imprécise, décalée, voire totalement fausse.
Alors qui a raison ? Ceux qui épluchent tous les jours avec autant de précision des éléments s’appuyant toujours sur des éléments réellement factuels, ou bien ceux qui très nonchalamment rétorquent : « Mais enfin tout cela n’est pas plausible ! »
Une chose est sûre :
Si j’étais journaliste, ne serait-ce que sur la forme, j’aurai honte pour ma profession. (Et sur le fond, encore pire…)
Qui sait ce qui découlera de ces révélations comme lorsque le géant d’assurance LLoyds a perdu son procès contre l’Arabie saoudite pour des raisons inconnues,la poursuivant pour avoir financer le présumé responsable des attentats du 11 septembre 2001,Al Qaeda,
http://whowhatwhy.com/2011/11/10/saudi-911-alert-here%E2%80%99s-that-missing-lloyd%E2%80%99s-lawsuit/
je suis un anti-vo convaincu (partisan de l’inside job et non du laisser faire) ,
Cependant, cette histoire le chiffonne :
car :
- soit cette personne était vraiment dans l avion et donc elle aurait été sacrifiée par son mari ? (mais comme je ne pense pas que le vol 77 s est crashé sur le Pentagone ….. je n y crois pas trop)
- soit tout est bidon, et elle n était pas dans l avion…. mais alors, où se trouve t elle maintenant ? on lui a refait une nouvelle tête ? une nouvelle identité ? on lui a mis une balle dans la tête avec l accord (ou non) de son mari ?
bref, ca me laisse dubitatif cette histoire…..
@ Pete_Bondurant,
Cet aspect des attentats laisse en effet un trou effrayant dans les recherches menées jusqu’à présent.
On peut s’interroger sur la mise en avant de personnalités pour justifier la réalité de la V.O. alors que la présence d’autres passagers provoque des interrogations quand à leur place dans le dispositif (militaires notamment). Tout cela donne un goût étrange et impalpable.
Qui ment et pourquoi?
Qui étaient et que faisaient les autres passagers dans ces avions?
Nous savons qu’un Etat, qui plus est, un Etat dans l’Etat est capable de tout pour se maintenir, même s’il est dérangeant et effrayant de l’évoquer, surtout dans une pseudo-démocratie, ce qui ajoute au malaise et permet in fine, à la V.O. de prévaloir. Tant que suffisamment de gens croieront au monde crée autour d’eux, aucune remise en cause n’est possible.
On parlait d’avions qui s’étaient posés sur des bases militaires ou aéroports qui pourraient être les avions détournés par les autorités lors des attentats du 11/9, mais as t on des nouvelles informations sur ce que les passagers sont devenus ?
Et je repose ma question autrement, y a t il une timeline des dates d’achats et/ou de réservation des billets par les passages pour les vols impliqués lors du 11/9 ?
Personnellement, je pense que les avions qui se sont crashés étaient des drones et que les enregistrements prétendus des passages sur leur portables sont en fait le résultat fait avec une machine après qu’on ai espionné leur vrai voix et leur habitudes (comme dire pour je ne sais plus qui à sa mère, « allo, c’est NOM PRENOM »), quelqu’un qui l’espionnait aura noté sans problème cette caractéristique facilement remarquable pour donner un air plus vrai ensuite à l’appel trafiqué (le 11/9 était une démonstration technologique des dernières nouvelles technologies comme les drones (avions) ou les enregistrements des passagers sur leurs portables), quand aux passagers des vrais avions, il faut peut être se demander comment ont ils été assassinés, certains en vols, peut être d’autres ou tous une fois débarqués à terre par les militaires en charge de l’opération.
Développement très intéressant sur les blogs américains entre Barbara Olson et la nouvelle femme de Ted, Lady Evelyn Booth. Ted a choisi une épouse qui ressemble ÉNORMÉMENT à sa défunte femme. Bien que Lady a investit beaucoup plus dans la chirurgie plastique.
En plus elle a la même profession, comme ça elle ne dira pas trop de conneries en parlant boulot.
Je ne savais pas par exemple qu’on pouvait descendre la lèvre supérieur pour éviter le sourire de cheval.
Je vous la fait courte, mais faites une petite recherche, beaucoup de choses sont très troublantes (comme dirait Bigard) avec ces deux femmes.
Plus ça va, et plus je me dis que le 911 a tout d’une production d’hollywood.
barbara olson n’est jamais morte dans le vol 77 contre le pentagone
le vol 77 et le NRO sont lié la simulation était préparé à l’avance le pentagone a juste servit de site de crash pour la simulation
le responsable de la gestion des compte du pentagone est un élément clé de l’affaire y’a son nom dans le PNAC d’aillleur
Merci JoeBlow.
J’ai montré les photos de Barbara Olson et Evelyn Booth
à un chirurgien expert sans lui dire qu’il s’agissait du 11 Septembre.
Je lui ai demandé si Evelyn se déduisait de Barbara par chirurgie plastique.
Sa réponse est: « j’ ‘ai l’impression que oui ».
../..
Un point majeur d’achoppement de la théorie « inside job » concerne la question : mais où sont passés les victimes des avions ?! On sait que la majorité des passagers du « vol crashé du pentagone », étaient des militaires, et donc pouvaient participer d’un « complot » … mais s’il ne sont pas morts où sont-ils s’ils ne sont pas morts dans ce crash !? Admettons qu’ils sont vivants, alors aucun n’a le droit de parler, cela pourrait être le cas s’ils continuent leurs vies auprès de leurs proches, la question … les proches de ces militaires sont ils remariés ‘rapidement’ ?! Qu’est devenu leur vie depuis ce drame, etc. ? Et effectivement les 2 photos indiquées ci-dessus ont de quoi être très ressemblantes (sourcils, pommettes,les proportions du visages qui sont conserves les unes sur les autres, etc.) Alors ?
Neurone – La vérité vaincra…
Merci à l’équipe re-open pour ce très bon article encore une fois …
Comme si la question « Mais où donc se cachent les passagers des vols? » à elle seule tenait tout le 911…
Entre programme de protection de témoin, qui arrivent à refaire complétement la tête à une personne que même sa propre mère ne le reconnaitrait pas si on les présentait, qui arrivent à créer de toute pièce une nouvelle identité avec papiers, photos et tout le reste..
On oublie trop souvent qu’on est à l’ère de l’informatique, ou tout n’est qu’informatique, donc bidouillable.
La question de Roblin est pertinente: Quid de timeline des réservations de billets ?
J\’ai bien pris l\’avion une bonne quarantaine de fois et que ce soit pour des voyages professionnels, privés ou pendant mon service militaire (dans ce dernier cas, je n\’avais qu\’un billet aller puisqu\’on me jetait par la porte en plein ciel), il y avait une traçabilité complète. Traçabilité faite selon la raison du déplacement: au niveau de l\’entreprise ou à l\’agence de voyage + compte bancaire et même dans le cas de militaires, au niveau de rapports de vol.
Toutes les compagnies aériennes sont tenues de conserver la liste des passagers. Dans la mesure ou seules deux d\’entre elles ont été concernées, on peut imaginer que les listes aient été \ »crées de toute pièce\ » et qu\’il y ait certaines personnes fictives. C\’est quand même prendre un risque pour les falsificateurs dans un pays ou la religion est trés présente et possède ses propres registres (l\’équivalent du registre d\’état civil).
Les banques sont également astreintes à conserver les mouvements bancaires.
Donc, à moins d\’avoir un minimum de compagnies aériennes (c\’est le cas), un minimum de banques, d\’agences de tourisme et de pratiquants d\’une même église (points à vérifier par une enquête), il parait difficile d\’impliquer beaucoup de banques, d\’agence, de familles etc… Cela ferait beaucoup de monde à tenir au silence.
Curieusement la commission d\’enquête n\’a jamais chercher à établir la corrélation entre les fichiers des différents intervenants (banques, agences, état civil et religieux, famille, etc …).
A défaut des résultats d\’une enquête objective je propose une hypothèse: A l\’exception possible de certains VIP refaisant surface avec une nouvelle identité pour réépouser leur mari, les autres passagers auraient disparu définitivement de la planête. Donc si l\’hypothèse Barbara Olson est devenue Evelyn Booth, cela veut dire que les autres passagers auraient été assassinés.
Il existe une possibilité d\’étayer l\’hypothèse Barbara=Evelyn: c\’est un simple échantillon ADN entre Barbara (ADN retrouvé au pentagone) et Evelyn (c\’est sans douleur, un peu de salive suffit).
Coté transformation visage, je vous laisse voir les différentes photos de feu Mickael Jackson pour comprendre ce que peut faire la chirurgie esthétique.
Reste deux choses: Que la nouvelle madame Olson autorise un prélèvement de son ADN et qu\’une commission d\’enquête en tienne compte.
J\’ai noté, et c\’est troublant, l\’omniprésence de Lady Evelyn sur Facebook, tweeter et autres. Il y a même un site ou on explique pourquoi son père l\’a prénommé Evelyn et pas Eva comme le souhaitait sa mère. Des détails qui paraissent vouloir renforcer l\’existence d\’Evelyn comme si elle n\’avait pas existée et qu\’il fallait lui donner une autenticité.
Comme l\’indique Joeblow (lire ci-dessus), il y a beaucoup de similitudes entre ces deux femmes: même métier, toutes deux atorney dans le même district, visages proches. Fait troublant, Evelyn est enregistrée comme attorney (avocat) en 2000, et personne ne l\’a vu plaider quoique ce soit. Autre fait troublant, personne ne l\’ a vu dans une chaine télé avant son mariage avec M Olson. En fait personne ne l\’a vu avant son mariage.
Je serai curieux de consulter le rapport d\’analyse ADN entre Evelyn et son prétendu père, celui qui a modifié son prénom. Je devine la réponse de la CIA: la maman a fauté avec le facteur.
Si Miss Evelyn refuse un prélèvement ADN, vous avez par déduction la bonne réponse.
Dans le projet de fausses attaques contre un avion civil par Cuba, au temps de la baie des cochons, il me semble me rappeler qu’il était prévu que les passagers fictifs seraient tous des agents de la CIA. Ce qui facilite énormément la supercherie, secret oblige. Comme les militaires sont caractérisés par une infirmité chronique en ce qui concerne l’imagination, on peut supposer que le même scénario a été retenu. Et donc on peut compter sur ces figurants pour ne rien dire, sauf remords tardifs, peut-être….
Mais c’est vrai qu’on n’a guère le choix: ou bien les passagers ont été assassinés, ou bien ils sont tenus au secret, et ils ont été débarqués quelque part. Un jour ou l’autre, l’un deux, sentant sa mort prochaine, finira par se raconter. Surtout si, comme c’est le cas actuellement, la farce tourne au vinaigre. Quand le bateau coule, les rats quittent toujours le navire.
Si quelqu’un peut me confirmer la chose, il me semble qu’au Pentagone, dans cet avion pulvérisé, non seulement on a retrouvé les ADN, mais encore on a pu décrire le pilote avec ses coups de cutter dans le dos, avec restitution des restes aux familles. Sauf que l’ADN est entièrement détruit à 115°C.
Je cite Wikipedia, la bible des gobe-mouches, et c’est au chapitre théorie du complot:
« Enfin on a pu formellement identifier par leur ADN la quasi-totalité des passagers, ainsi que des hôtesses de l’air et les pilotes. Des effets personnels des passagers, identifiés par les familles des victimes, ont également été trouvés à l’intérieur du bâtiment. »
http://fr.wikipedia.org/wiki/Vol_77_American_Airlines
Vestige d’un temps où internet n’existait que peu, et où on pouvait raconter n’importe quoi au bon peuple, avec l’assurance qu’il avalerait tout ce qu’on lui raconterait.
Prenez la peine de regarder la liste des passagers, sur le lien Wikipedia.
Rien ne vous frappe? Presque toutes ces personnes, surtout dans la liste des « autres passagers », pourraient bien avoir de près ou de loin un lien avec l’administration de par leur profession. Il serait intéressant de savoir s’ils n’appartiennent pas aussi de près plus que de loin à la CIA. Rappelons que la CIA emploierait quelque 200 000 personnes dans le monde, y compris des entrepreneurs privés.
J’ai voyagé pas mal aux USA, et j’ai vu, sur les lignes intérieures, une proportion bien plus considérable de touristes parmi les passagers, avec des nationalités très bigarrées. Ici, il semble n’y avoir pratiquement que des VIP.
De plus, 58 passagers pour un avion qui peut en contenir de 178 à 239 me parait étonnamment peu, de quoi ruiner une compagnie.
J’ai le souvenir, moi, d’avions pleins à craquer, pour chacun de mes vols, une vingtaine en tout.
Dernier additif, promis! à ajouter à mon message, merci.
Et est-ce que ces 5 « bronzés », terroristes supposés, ne faisaient pas étonnamment tâche au milieu de tous ces VIP?
comme l’avis d’une autre personne, où sont ces gens ?
S’ils ont fait parti d’un programme, de quelle sorte fût ce programme ? élimination ? nouvelle vie ? Si il y a nouvelle vie, où ?
S’il y a une enquête sur les appels, cela ne pourrait s’arrêter qu’à cela, il devrait y avoir une enquête aussi sur l’état des gens portés disparu, mort ou pas.