WTC : la version officielle ne connaît pas l’heure exacte des impacts aériens… pourquoi ?
Déterminer à 1 seconde près l’heure exacte des impacts des avions contre le WTC et le Pentagone semble couler de source, vu les moyens techniques, les vidéos, etc… à disposition des scientifiques et du public. Pourtant, comme le montre cet article, il n’en est rien, et la version officielle contredit encore une fois les éléments les plus basiques concernant l’horaire précis des événements. En fait, c’est encore pire que ça. Comme l’avait déjà analysé le chercheur du CNRS André Rousseau, les signaux sismiques enregistrés ce jour-là montrent des "événements sismiques" se produisant plusieurs secondes AVANT l’impact des avions. Cela pourrait-il correspondre aux 118 témoignages d’explosions dont la Commission sur le 11/9 n’a jamais parlé dans son rapport ? Comment expliquer cela si l’on s’en tient à la thèse officielle ?
L’heure exacte de l’impact contre le Pentagone n’est pas connue…
WTC : la version officielle ne connaît pas l’heure exacte des impacts aériens… pourquoi ?
par Pierre GRESILLAUD, sur le Blog de Mediapart, le 2 septembre 2011
Question très simple : connaissons-nous l’heure exacte à la seconde près des impacts aériens ?
Le 11 Septembre 2001, trois avions ont impacté en moins d’une seconde de grands bâtiments américains.
Tout expert vous dirait qu’il n’y a aucun problème pour cela… les radars aériens, les enregistrements électriques, les vidéos surveillances, les compteurs divers de réseau d’eau, de gaz, de réseau informatique, les coupures des communications téléphoniques etc… sont là. C’est un jeu d’enfant pour un tel événement aux multiples conséquences. Un jeu d’enfant !
Et bien non… il n’y a pas de datation officielle précise ! Etonnant non !
Aucun des grands noms scientifiques qui soutiennent la thèse officielle ne semble être gêné par cette faille insolite de l’enquête !
10 ans après les événements, malgré des millions de dollars versés pour les enquêtes, les victimes ne sauront pas à quelle heure précise chacun des avions a impacté sa tour (WTC1, WTC2 et le Pentagone). Pour certains des rescapés de cet enfer, la survie a joué à une seconde près… mais pour les enquêteurs officiels et pour tous ceux qui cautionnent leur travail depuis 2001… l’heure précise de ces événements à moins d’une seconde près n’importe pas, pire, elle dérange !
Les rapports officiels comme celui du NIST arrivent au mieux à des imprécisions de 10 sec entre différentes datations (radars, vidéos). Pour le Pentagone, on en est encore à la minute. Pour l’écrasement du Boeing à Shanksville en Pennsylavnie, il existe deux versions horaires espacées de plusieurs minutes.
Etrange non…!?
Faute d’avoir toutes les données techniques précitées qui apparemment ne semblent pas intéresser ces experts officiels américains, il existe heureusement une série qui a réussi à échapper à la censure générale et aux mises au secret défense : les enregistrements sismiques civils.
Et heureusement pour nous, les sismologues américains du LDEO (Lamont-Doherty Earth Observatory) dépendant de l’Université de Columbia sont parvenus à un travail minimal (Rapport LDEO 9-11) permettant d’avoir des datations à 1 sec près pour les deux impacts aux WTC.
Ces datations sismiques sont incompatibles avec celles des radars aériens et sont antérieures de plus de 9 sec !
Les rapports officiels du NIST et de la Commission d’enquête ont été incapables de l’expliquer. Plus fort encore… en 2005, le NIST a même mentionné, sans la montrer dans aucune publication, une fausse déclaration du LDEO décalant arbitrairement ses datations sismiques en augmentant les imprécisions sismiques pour faire coïncider les marges sur les dates vidéo des impacts avec les datations sismologiques. Cette arnaque du NIST est heureusement toujours démentie par les informations sismiques du Site internet du LDEO qui confirme toujours des datations incompatibles avec le NIST.
En fait, chaque impact d’avion a été précédé plusieurs secondes avant par un événement sismique qui n’a aucun lien direct avec ces impacts. Le chercheur du CNRS André Rousseau a confirmé et détaillé en mars 2010 toutes ces découvertes gardées sous silence par les autorités américaines (Article André Rousseau)
Bizarrement, c’est l’impact de l’avion dans le Pentagone, ayant pourtant le meilleur couplage au sol qui a eu les effets sismiques les plus faibles. Les auteurs du rapport du LDEO le confirment dans le document de Kim Won-Young du LDEO 911Pentagon.pdf
La base de données WTC-AZF permet d’accéder à une jolie collection de sismogrammes du 11 Septembre 2001 dont une série issue de sismographes privés du New Jersey (EBNJ et HPNJ) ayant repéré les périodes des effondrements des tours
Tout est là pour identifier des événements générant des effets sismiques importants quelques secondes avant les impacts d’avions. Bien entendu, de tels effets sismiques n’ont pu être engendrés que par des phénomènes impulsionnels puissants au niveau du sol et des sous-sols des bâtiments. La thèse des explosions contrôlées a une de ces meilleures preuves dans ces traçages sismiques précurseurs.
On pourrait même exiger l’ensemble des sismogrammes militaires de sismographes encore plus près du WTC que la station civile de Palisades située à 34 km (PAL)…. tiens, aucun officiel ne l’a fait ! D’autres sismogrammes privés circulent encore et seraient exploitables. Et pour les effondrements des tours, on a le même type de signaux sismiques et toujours quelques secondes avant l’impact final des chutes.
Tout peut être caractérisé à la seconde près… avec les données électriques on peut obtenir les datations de début des impacts au 1/100ème de sec près.
Feindre d’ignorer tout cela c’est protéger les vrais coupables et participer à une stratégie honteuse d’aveuglement qui dure depuis 10 ans. C’est aussi mépriser les familles de victimes désireuses de comprendre.
Les médias institutionnels français n’ont rien fait depuis 10 ans pour exiger des autorités américaines beaucoup plus de sérieux. Pire… ils laissent croire que seuls des artistes comme JM Bigard et M Kassowitz participent aux controverses alors que la toile internet déborde d’informations en souffrance et attend une vraie enquête, digne de la soi-disant plus puissante démocratie du monde.
10 ans d’omerta pour 1 seconde de vérité… est-ce vraiment inévitable ?
Pierre GRESILLAUD
En lien avec cet article :
- 118 témoins d’explosions parmi les pompiers et secouristes du 11/9 | paru dans le Journal of 9/11 Studies 47 August 2006/Volume 2
- Des signaux sismiques révèlent l’utilisation d’explosifs au WTC le 11/9, selon le géophysicien André Rousseau (mise à jour de la précédente publication) | site Web ReOpen911, 31 mai 2010
- La démolition des trois tours du WTC démontrée par une analyse des ondes sismiques | par André Rousseau, ReOpenNews, mars 2010
- Signaux sismiques le 11/9 : réponses d’André Rousseau aux critiques de son 1er article | site Web ReOpen911, 12 avril 2010
- Analyse Media 911 | janvier 2009 (site disparu depuis)
- Karen S. Johnson : Pour appuyer mes déclarations concernant les questions relatives au 11/9 | par Karen S. Johnson pour le East Valley Tribune, le lundi 5 mai 2008, repris par Prison Planet
Au sujet des appels téléphoniques prétenduements passés par les passagers lors des attaques, est-ce qu’il existe une liste qui montrerait la date de réservation des passagers pour ce vol (quand ils ont été donc sur de prendre ce vol) qui permettrais de voir si ceux qui ont passés des coups de fils étaient par exemple ceux qui avaient réservés le plus longtemps à l’avance ?
Barbara Honegger nous dit qu’une immense explosion a eu lieu suivit d’une moins grosse entre 9h31 et 9h32.
Ce qui est six minutes plutôt que le 9h38 de la commission.
Les horloges du Pentagone se sont arrêtées là,comme sur la photo plus haut ainsi que la montre d’April Gallop.
Pentagon Attack Papers
http://www.youtube.com/watch?v=aTm6OQrtEBA
excellent article !
Si on est à la fois Truthers Reopen et abonné Médiapart on peut aussi aller mettre un commentaire sur le blog de Pierre Grésillaud.
Je viens de le faire.
Quel malentendu ! Je vous livre le prochain compte-rendu du NIST en avant-première :
En fait, il faut considérer que la masse émotionnelle des individus a provoqué une distorsion « multi-cérébralo-pécuniaire » de l’espace-temps au niveau galactique, ce qui a engendré plusieurs effets cumulés et indésirables :
- La gravité, les lois de Newton et de la conservation de l’énergie n’ont pas pu être respectées ce jour-là, ce qui a causé la pulvérisation du béton WTC 1&2 en plein air, avant même qu’il n’ait touché le sol. En effet, ce béton qui « savait » qu’il allait être impacté au sol, a préféré se volatiliser « par avance ». Des chercheurs français ont d’ailleurs récemment mis en évidence ce phénomène avec des neutrinos qui allaient « plus vite que la lumière ». En effet dans ce nouvel espace inter-sidérant, les effets précèdent les causes.
- Les conversations téléphoniques à partir d’avions ont subi l’effet « star bulshit effect », qui comme on le sait permet d’augmenter considérablement la portée des ondes des téléphones mobiles.
- Les effondrements n’ont pas pu être synchronisés parfaitement à cause de la distorsion intergalactique supramatricielle mégabushienne, laquelle a provoqué une compression temporelle qui a décalé tous les enregistreurs militaires et civils à proximité des WTC.
- Cette même cause a impacté également nos chasseurs militaires, qui ont lutté en vain pendant de longues heures pour tâcher de franchir cette porte spatio-temporelle.
- Nous avons également pu constater une augmentation très forte de l’attraction terrestre au niveau du WTC7, laquelle a pu provoquer une effondrement à la vitesse de la chute libre sur 8 étages, après qu’une « météorite planéto-tangente plasmatique », invisible à l’œil nu, ait d’un seul coup retiré les 47 piliers du bâtiment dans la même milliseconde
- La meilleure preuve de cette « météorite planéto-tangente plasmatique », est que justement nous vous annonçons très fièrement aujourd’hui que nous avons retrouvé des composés de nanothermite, inconnus sur notre planète jusqu’alors, jusque dans les poussières du WTC 1 & 2.
- Nous avons notamment pu mettre en lumière tous ces phénomènes grâce à l’extraordinaire opacité de notre système militaire, qui a examiné toutes les vidéos autour du Pentagone afin de calculer très précisément les effets « war-risk-capital » de notre pays.
- Sachez, bonnes gens, que si quoi que ce soit pourrait encore vous sembler confus sur ces questions, nous pourrons de toute façon toujours tout vous expliquer dans les moindres détails, et qu’aucun chef rédacteur d’organisme de presse, ni même homme politique n’osera jamais vous dire le contraire, car bien sûr vos questions n’existent pas.
L’heure d’impact contre le Pentagone n’est pas connue, malgré tous les enregistrements minutés du crash par des caméras de surveillance (de l’armée, et privées) qui ont été confisqués !
Ouarf ! :-D
Face à ça remarquons les discrètes glissades de tous nos journalistes, devant la masse de questions dérangeantes soulevées par les incohérences et bévues de la VO, aussi notoires qu’insoutenables.
L’imprécision la plus révélatrice concerne peut-être le vol 93, pour lequel l’heure de l’impact a été avancée de 3 minutes, de 10h06 à 10h03. Afin d’éliminer les 3 dernières minutes d’enregistrement de la boite noire, dont les bruits sont plutôt ceux d’un avion abattu en vol et non ceux d’un écrasement au sol ?
Après avoir retiré les enregistrements minutés des 86 caméras de surveillance du Pentagone, « ils » n’ont pas été capables de trouver l’heure exacte de l’impact. Jusqu’où va l’incompétence, et ceux qui y croient…
ET MINCE ALORS !…
Les gars qui ont réquisitionné tous ces enregistrements n’ont pas pensé aux enregistrements sismiques ! Nul doute que pour les prochaines guerres « contre le terrorisme », il y aura des agents devant ces laboratoires dans les 2 minutes, pour aller chercher tous ces enregistrements avant duplication, pour des « raisons de sécurité nationale ».
Alors je suggère que dorénavant tous les futurs enregistrements sismiques soient enregistrés simultanément sur plusieurs sites privés, également « pour des raisons de sécurité nationale ».