11 Septembre : ils ont la grosse tête !
A l’occasion du 8ème anniversaire des événements du 11 Septembre, Joel S. Hirschhorn fait un point sans concession de la situation et examine les raisons pour lesquelles –en dépit de ses pas de géant pour tenter de démystifier l’arnaque du gouvernement américain- le mouvement pour la vérité sur le 11 Septembre n’est pas parvenu jusqu’à présent à atteindre son principal objectif : l’ouverture d’une nouvelle enquête officielle sur le 11 Septembre.
Des preuves à caractère scientifique infirment la version officielle
11 Septembre : ils ont la grosse tête !
Alors que nous approchons du 8ème anniversaire du 11 Septembre, nous sommes face à un paradoxe. Dans les années post 11 Septembre, le nombre de preuves permettant de réfuter la version officielle du gouvernement a considérablement augmenté. Et le nombre de professionnels très respectés et titrés qui mettent en doute la version officielle a augmenté de la même façon. Pourtant, à l’immense déception du mouvement international pour la vérité sur le 11 Septembre, le fait est qu’il n’y a pas de demandes largement diffusées et répandues, pour une nouvelle enquête officielle approuvée par le gouvernement. Le mouvement pour la vérité sur le 11 Septembre est le prototype même d’un mouvement marginalisé, de ceux qui ne disparaissent jamais bien qu’ils ne parviennent pas à des résultats vraiment significatifs, ce qui dans ce cas signifierait remplacer des mensonges officiels, par la vérité officielle. Qu’est ce qui a bien pu aller de travers ?
Tout comme la définition de l’insanité, la marque de fabrique des mouvements retranchés mais marginalisés est qu’ils continuent de poursuivre exactement la même stratégie et les mêmes tactiques qui ne sont pas parvenues à produire des résultats tangibles. Ils se bercent d’illusions, expriment une pensée sur la défensive, et agissent comme si le monde au sens large devait un jour ou l’autre finalement se réveiller, voir la lumière, et embrasser la vérité. Les années, et bientôt les décennies, passent, mais ce statu-quo « Don Quichottesque » demeure incrusté, comme coulé dans un discours intellectuel bétonné. Il n’y a pas de tumeur au cerveau sur laquelle rejeter la faute. Ni d’hypnose en masse de véritables convaincus à prouver. Il n’y a qu’un monumental désintérêt au sein de la culture dominante, de la classe politique, et du grand public bien plus impliqué dans d’autres causes, problèmes et mouvements.
Au mieux, le mouvement pour la vérité sur le 11 Septembre attire une maigre attention du public lorsqu’il est tourné en ridicule et diffamé, désigné comme le modèle de l’insanité persistante des « conspirationnistes ».
Ne vous méprenez pas ! J’ai conclu il y a quelques années, après avoir exploité mes compétences professionnelles en matière de sciences de l’ingénierie et des matériaux pour étudier les preuves, que la version officielle du gouvernement est un mensonge. En tant qu’ancien professeur d’ingénierie à part entière, je crois fermement que des éléments du gouvernement américain furent impliqués comme contributeurs (et pas seulement facilitateurs) de la tragédie du 11 Septembre, mais cela n’élimine pas nécessairement le rôle des terroristes publiquement rendus responsables des événements. La science, la logique, les faits attestés, et ma pensée critique m’ont amené à ce constat.
Qui devrions-nous désigner comme coupables pour l’échec du mouvement pour la vérité sur le 11 Septembre à redresser la mémoire de l’Histoire et, mieux encore, à identifier ceux qui, au sein du gouvernement, transformèrent le 11 Septembre en excuse pour partir en guerre, afin de les accuser, de les poursuivre, et de les punir pour leurs actes criminels ?
Il est trop facile de faire porter la responsabilité aux medias grand public et à la classe politique pour avoir refusé d’exiger et de mener une enquête véritablement explicite, crédible, indépendante, scientifique et technique. Le Président Obama, avec sa conviction tenace de regarder en avant, et non en arrière, est le parfait exemple d’un état d’esprit national qui évite la quête pénible de la vérité et de la justice qui seraient susceptibles de produire encore plus de désillusions publiques face au gouvernement, et qui alimenteraient la conviction que la démocratie américaine est au mieux faible, au pire une illusion.
Les mouvements marginalisés sont toujours en concurrence pour capter l’attention du public. Il y a toujours des questions nationales innombrables et des problèmes qui alimentent de nouveaux mouvements et distraient le public. Il y en a eu beaucoup depuis le 11 Septembre, et pas des moindres, comme la dernière campagne présidentielle suivie de la difficile récession économique, et à présent les attaques de l’aile droite contre la réforme du système de santé. Le mouvement pour la vérité sur le 11 Septembre est l’illustration d’un échec total à concurrencer avec succès ces autres événements et mouvements.
Cela peut s’expliquer de plusieurs manières. Le mouvement pour la vérité n’a pas été capable de tirer suffisamment profit pour le public, de sa mise en doute de la version officielle du gouvernement et de la poursuite d’une nouvelle enquête. Que pourrait y gagner l’américain moyen ? Est-ce qu’une preuve irréfutable de l’implication du gouvernement le ferait se sentir mieux, plus en sécurité, plus patriote ? Apparemment non. En fait, c’est exactement l’inverse. Par sa nature même, la question du 11 septembre menace beaucoup de certitudes, pour qui tente de découvrir la vérité : encore moins de confiance dans le système politique américain, les membres du gouvernement, et les fonctionnaires. Encore plus de raisons de méditer sur les pertes incroyables en vies humaines et en richesse nationale qu’implique la poursuite de la guerre en Irak [et en Afghanistan, NdlR]. En d’autres termes, révéler la vérité sur le 11 Septembre offre le spectre d’une gigantesque « gueule de bois » nationale. Inversement, cela montrerait au monde entier l’intégrité qui existe au sein de la démocratie américaine.
La seconde explication de cet échec est que le mouvement pour la vérité lui-même en est en grande partie responsable. Il est plein d’activistes intéressés, egocentriques, accros (souvent davantage motivés par la promotion de leurs théories fétiches) incapables de poursuivre des stratégies destinées à faire face et à dépasser des réalités épouvantables et provocantes. Le mouvement pour la vérité est devenu un artisanat source de revenus et de sens pour beaucoup d’individus et de groupes qui noient les activistes engagés dans un bric à brac de sites interminables, de discussions publiques, de vidéos et de livres. Ils prêchent le plus souvent des convaincus. Les applaudissements remplacent les résultats tangibles. En particulier, cela inclut la croyance simpliste qu’en révélant des faits et des preuves techniques, scientifiques et d’ingénierie, le public et la classe politique seront bien obligés de voir la lumière. C’est la nuit qui a prévalu.
On trouve des preuves de cela dans les vues sur le mouvement pour la vérité exprimées il y a quelques jours par Ben Cohen dans le « Huffington Post » : « J’ai fait quelques recherches sur le sujet, mais je me suis arrêté assez vite lorsque je me suis rendu compte que : (1) Toute alternative au compte rendu officiel est tellement absurde qu’elle ne peut tout simplement pas être vraie ; (2) Aucun journal scientifique réputé n’a jamais pris au sérieux la « science » des conspirationnistes ; (3) Les preuves en faveur de la version officielle sont accablantes, alors que les Chercheurs de Vérité n’ont pas encore produit la moindre trace de preuve concrète selon laquelle des membres du gouvernement américain ont planifié les attentats à New-York et à Washington ». De façon similaire, dans le London Times, James Bone a écrit récemment qu’un « épouvantable assortiment de théoriciens de la conspiration insiste sur le fait que les attentats du 11 Septembre contre les Etats-Unis furent un coup monté de l’intérieur. Il est facile de se moquer de cette bande de hippies délurés sur le retour, d’anarchistes et d’antisémites ». Les chercheurs de vérité se retrouvent toujours face au sommet d’une colline très abrupte pour aller livrer bataille.
Un mensonge habituel sur le mouvement pour la vérité est de dire qu’il n’y a jamais eu d’articles scientifiques le soutenant, dans des journaux à comité de lecture. Mais ceux qui s’opposent au mouvement pour la vérité trouvent et trouveront toujours des façons d’attaquer toute preuve scientifique quelle qu’elle soit, qui sera produite et publiée. Pour que le mouvement réussisse, il lui faudra plus que de la bonne science et des faits.
A part le fait que le mouvement contient bien trop d’authentiques cinglés (peut-être pour essayer de le subvertir), un problème plus important réside dans ce qui lui a manqué : une stratégie politique efficace. Hormis promouvoir des résultats scientifiques et des porte-parole plus crédibles, il n’a rien accompli pour faire d’une nouvelle enquête sur le 11 Septembre une question visible au cours de la dernière campagne présidentielle [souvenez-vous : depuis la France, l’initiative de ReOpen911 sur le site http://www.change.org/ideas qui fit très vite tache d’huile fut censurée par ses administrateurs, NdlR]. Il n’a rien fait d’efficace pour mettre la pression sur un nouveau Congrès contrôlé par les Démocrates afin qu’il examine la possibilité légale d’autoriser et de financer une nouvelle enquête crédible.
A son crédit, « Architects and Engineers for 9/11 Truth » a bien une pétition destinée au Congrès, qui demande une nouvelle enquête, mais avec moins de 5000 signataires. L’effort de la pétition en cours à New-York City est louable, avec un peu moins de 75000 signataires, mais il faut une action nationale. En étant pragmatiques, ces deux efforts manquent d’envergure, comparés à d’autres campagnes tournées vers l’action politique. Pour obtenir à la fois l’attention des medias, et un soutien politique, le mouvement a besoin de cent fois plus de membres de soutien informés, désireux de faire bien plus que signer une pétition [situation vécue par ReOpen911 qui appelle régulièrement aux vocations dans toutes les spécialités de l’activisme militant, NdlR].
Le dixième anniversaire du 11 Septembre arrivera vite. L’opportunité qui se présente est de faire du 11 Septembre une question-clé de la campagne présidentielle de 2012. Ceux qui se bercent le moins d’illusions et qui ne sont pas sur la défensive au sein du mouvement pour la vérité devraient repenser profondément et sérieusement à ce qui a besoin de changer pour accomplir l’objectif principal : obtenir une enquête officielle qui contraigne la plupart des gens et l’Histoire à accepter les faits, aussi pénibles soient-ils, y compris la possibilité qu’elle ne trouve aucune preuve tangible de l’implication du gouvernement.
par Joel Hirschhorn [1], pour mwcnews.net le 11 aout 2009. Traduit par Buerider pour ReOpenNews
[1] Ancien haut fonctionnaire du Congrès américain et de l’association des gouverneurs, professeur à plein temps à l’Université du Wisconsin, à Madison, et patron d’une société de conseil en environnement. A ce jour écrivain et journaliste en matière de politique, de gouvernance et d’économie, membre d’AA911truth.org. Son dernier livre s’intitule Delusional Democracy – Fixing the Republic Without Overthrowing the Government. (L’illusion de la démocratie, truquer la République sans renverser le gouvernement).
la quête de la vérité est une démarche personnelle, voir une religion. Pourquoi partir en croisade ? il n’y a pas plus sourd que celui qui ne veut pas entendre. Trouver la vérité n’est en rien difficile en comparaisons de son acceptation. Moi je suis convaincu et cela me suffit pour vivre en connaissance de cause. Convaincre les autres qui finissent par me répondre « et quand bien même qu’il en soit ainsi, je ne veux pas vivre avec cette idée là ». l’acceptation est la phase final au deuil du mythe. Il faudra d’abord en passer par le déni puis la colère et enfin la tristesse, pour enfin accepter la mort du mythe. Le dernier point est notre besoin primitif de faire parti du groupe dominant. La raison du plus fort est souvent la meilleur. La quête de la vérité n’est pas morte. Je suis fier de faire parti de ceux qui doutent et qui veulent savoir. Cela conditionne ma vie et celle de mon entourage. et c’est déjà pas mal !
C’est bien beau cet article, il dit beaucoup de vérités mais il oublie une chose essentielle ce donneur de leçon :
Que propose t’il de faire?
C’est bien beau de critiquer mais j’ai attendu en vain la fin de l’article pour voir ses éventuelles propositions pour donner de l’ampleur au mouvement.
Il dit que nous ne sommes pas assez, que propose t’il pour augmenter ce nombre?
Foutaises!
A part le premier paragraphe qui dresse un constat amer mais nécessaire, le reste de l’article regorge d’auto-flagellation et de reproches stériles.
Il propose quoi le monsieur? Que 0,001% de la population va renverser le pouvoir des médias+des politiques+des financiers?
N’importe quoi!
On peut toujours dire « il aurait fallu faire ceci ou cela », oui, peut-être, surement. Et après? Que propose-t-il? Un raid sur la Maison-Blanche?
Dieu sait que je suis critique envers les chercheurs de vérité, mais là çà dépasse tout! En gros, nous sommes une bande de tarés illuminés incapables. Super! On avance…
Ce monsieur devrait plutôt faire le constat qu’on n’infléchit pas le cours des choses avec des belles pensées et des moulins, puisqu’il fait référence à Don Quichotte.
Que malheureusement, la nature humaine et l’inertie de l’Histoire humaine font que bien peu de choses positives ont des chances d’aboutir. Il vaudrait mieux le savoir dès le départ afin d’éviter ce genre de prose.
Bien sûr, règle immuable, tôt ou tard, tout finit très mal à cause de cette indifférence générale et ce mépris officiel. C’est ainsi qu’apparaissent les guerres.
L’Homme n’apprend rien de ses erreurs. Mais le fait d’essayer lui permet, en partie seulement, de se racheter une dignité. Ce devoir l’honore.
Au bout du compte, au pied du mur, l’alternative s’imposera d’elle-même: l’abandon ou la poursuite du combat par la force.
L’un et l’autre sont détestables, mais le réel est ainsi fait.
Huit ans après, c’est le constat qui s’impose.
Après tout le travail accompli, du recul est plus que jamais nécessaire.
Il est légitime de s’interroger et d’imaginer une suite à l’histoire, une chute (finale) à ce scénario monstrueux .
Cet article met l’accent sur le côté désespérant de la quête d’une interprétation correcte des attentats du 911. Il exagère en affirmant que ce mouvement est essentiellement représenté par des illuminés, et ce n’est pas très agréable d’entendre un jugement aussi abrupt quand on connaît la qualité de la plupart des commentaires des truthers, notamment sur le site reopen911: beaucoup plus sérieux et beaucoup moins « illuminé » que tout ce qu’on entend sur les grands medias par les journalistes qui ont la chance d’habiter dans la télévision et dans les grands quotidiens, mais il est vrai, que le temps passant, on se pose obligatoirement des questions sur la question de la stratégie. Cela va beaucoup trop lentement. pour la première fois dans l’histoire de l’humanité, le grand public dispose gratuitement d’une somme de données qui commencent à être monumentale, et cependant, huit ans après, le mur semble toujours aussi haut et impénétrable. C’est évidemment rageant en premier lieu pour ceux qui sont « aux aguets » de « la » révélation qui fera basculer le mouvement de pensée dans l’autre sens, et qui passent des centaines d’heures à éplucher interviews, documentaires, bouquins, etc… dans l’indifférence ou dans l’opprobre (au risque pour certains de flouer leur carrière)
En même temps, me semble-t-il, les raisons d’être optimistes demeurent: les preuves nouvelles continuent de s’accumuler. Les nouveaux convaincus sont plus nombreux que ceux qui se renient après s’être rendu à l’évidence.
Peut-être au Japon, la mise en place d’une commission d’enquête officielle permettra-t-elle d’accélérer les choses.
Un petit coup de pouce serait bienvenu! Il est pénible à la longue de voir la lumière tout en étant regardé par la majorité comme une taupe désorientée
surtout que le type prend comme preuve de l’echec du mouvement pour la verité sa non reconnaissance par les medias et la classe politique comme si tout ce beau monde n’avait rien a se reprocher et n’etait pas concerné par les accusations du mouvement . contester la vo des attentats du 11 9 c’est remettre tout le systeme en question tous les pouvoirs , les institutions les valeurs et la morale de nos societes les buts economiques donc il faut etre naif ou malicieux pour reprocher le manque de resultats a a tous ceux qui agissent en faveur d’une nouvelle enquete sur ces attentats fabriqués
Le constat décevant est partagé par tous et il est tentant de boire le reste des paroles comme du petit lait une fois clamé haut et fort ce que nous sommes nombreux à ressentir. Toutefois, il est assez flagrant que le monsieur se goure dans les grandes lignes. Je cite :
« Les mouvements marginalisés sont toujours en concurrence pour capter l’attention du public. Il y a toujours des questions nationales innombrables et des problèmes qui alimentent de nouveaux mouvements et distraient le public. Il y en a eu beaucoup depuis le 11 Septembre, et pas des moindres, comme la dernière campagne présidentielle suivie de la difficile récession économique, et à présent les attaques de l’aile droite contre la réforme du système de santé. »
Petite différence : ces trois évènements ont été couvert par la presse et constitue non pas des sujets d’enquêtes mais une actualité à couvrir. Au demeurant, on peut contester que la crise économique soit mieux couverte que le 11 septembre tant au final le public s’y retrouve pareillement floué.
Il aurait donc fallu comparer à du comparable, par exemple aux accusations erronées des WDM de Saddam. On voit tout de suite que de nouveau c’est un ramassis de mensonge qui a été livré à l’opinion. Certain journalistes ont bien, un peu plus librement que pour le 11 septembre, fait un travail d’enquête à ce sujet. Sans conséquence sensible… Alors ?
La plateforme politique n’est pas une option, parceque dans nos systèmes une plateforme politique n’a de force que si elle se soumet aux veritables puissances politiques, qui sont dans les grandes lignes ceux qui sont assis sur les grandes pompes à fric (energie, banques, armement) et ont comme occupation principale d’en profiter un maximum.
Diffuser l’information, c’est déjà plus une voie. Contrairement à ce que dit le monsieur, les documentaires produits sont loins de ne toucher que des convertis. D’ailleurs la plupart d’entre nous n’ont pas toujours été des convertis.
Ceci dit, puisque la partie fautive apparait de plus en plus clairement violente et autoritaire, je crains que ça ne définisse les termes des solutions à venir.
au dela du sempiternel « On fait quoi alors ? », cet article pointe vers les lacunes du mouvement dans le bon sens: comment discourir sur le 11 septembre en l’état de la cause ? comment continuer de maintenir la pression et sur qui ?
je pense aux aspects juridiques et financiers par exemple. il faudra nourrir le débat de ces points de vue. synthétiser les donnes disponibles sur ces sujets, encore traités de manière disparate:
Juridique: quelle valeur ont nos indices, nos informations, nos faisceaux de présomptions.. pourquoi à ce jour, cette valeur est officiellement égale à zéro ? et comment la revaloriser ? quelle st concrêtement, la ou les démarches viables pour porter une nouvelle enquête? la NYCCAN est-elle la seule solution? Le monde s’est doté d’armes de protection massives à La haye, à Bruxelles etc… mais les peuples ne suivent pas encore… comment débloquer cette situation? et vesr qui pointer le doigt, non pas accusateur, mais désignateur, pour les modalités pratiques d’une réouverture… et comment attirer l’attention du plus grand nombre, sur ces personnes « impliquables » ?
Financier: une liste impressionnante de faits préoccupants, mais aucun bouquin de synthèse alors que Madoff rempli les librairies. lier immobilier, transferts de fonds, coffres des douanes vides, aregnt évanoui du pentagone, CONVAR, les déllits d’initiés etc. nécessite de nouveaux efforts…
Ces angles d’attaque doivent être révisés. et ne sont sans doute pas les seuls.
Et oui il y a des solutions dans les lignes de l’article: militer aux côtés des autres causes, notamment AFGHANISTAN et DESARMEMENT NUCLEAIRE, préciser à minima les implications politiques pour chacun… montrer ce faisant que le mouvement n’est pas une cybermachine obsessionnelle…
bref, pour ces raisons, j’ai traduit cet article salutaire aussi.