Analyse Media 911

Analyse Media 911 est un site sur le 11 Septembre rédigé par un journaliste canadien. Il se veut « d’abord et avant tout une référence fiable et aisément accessible pour quiconque désire s’informer sur les nombreux points méconnus, anomalies et faits entourant les attaques terroristes du 11 septembre 2001« .Résultat d’une « recherche personnelle, basée sur deux années complètes d’analyse de sources médiatiques crédibles et vérifiables« , cet « ouvrage » constitue une très bonne synthèse des informations disponibles sur le sujet. Nous reproduisons ci-dessous un chapitre du site appelé « note personnelle de l’auteur » qui est un vibrant appel à la recherche de la Vérité.


Je me permettrai d’abord de partager avec vous une expérience personnelle dont la pertinence à cet ouvrage m’apparaît manifeste. À l’été 2002, suite à des études collégiales en journalisme puis en arts et lettres, j’ai saisi l’occasion enrichissante de remplacer un journaliste dans un quotidien local québécois pendant la période des vacances estivales. Étant assigné aux sujets les plus variés, j’eus l’opportunité privilégiée d’observer de première main le fonctionnement interne d’une salle de nouvelles.

Je me rappelle plus particulièrement l’anecdote que voici. Un jour, un collègue m’approcha, un communiqué de presse portant la mention ‘Pour parution immédiate’ à la main. Il désirait que j’écrive un bref article sur ce sujet. Ma réaction fut spontanée : je désirais confirmer les informations contenues dans le communiqué pour m’assurer de la validité de celles-ci. Du tac au tac, mon collègue rétorqua ‘Inutile de confirmer quoi que ce soit, ce communiqué provient du gouvernement. Tout ce que tu dois faire, c’est de reformuler légèrement ce qui s’y trouve.’ Étonné, j’avais alors obtempéré en songeant, ‘Tiens, c’est plus simple que je ne le croyais.’

Quoique la signification de cette expérience m’échappât sur le moment, j’en saisis finalement toute la portée en cours d’écriture de cette synthèse : les communiqués gouvernementaux jouissent d’une certaine forme de sauf-conduit leur évitant d’être soumis à une vérification préalable à leur publication. Résultat, les lecteurs de journaux – ainsi que les téléspectateurs et les auditeurs de radio, par extension – reçoivent à leur insu des informations qui ne sont pas toujours dûment vérifiées par les médias. Selon l’étendue de cette pratique, un puissant outil de désinformation peut potentiellement s’en dégager.

Parallèlement, la couverture médiatique des attentats du 11 septembre m’apparait tout aussi inédaquate de par le mutisme entretenu jusqu’ici envers le questionnement rationnel et justifié que devraient susciter les innombrables irrégularités entourant ces événements déterminants. En effet, d’un point de vue sociétaire, j’estime fondamental que la population puisse compter sur ses médias pour l’informer de telles anomalies. Mais apparemment, nous attendrons encore longtemps si nous continuons de miser uniquement sur ceux-ci. Voilà d’ailleurs l’une des raisons pour lesquelles j’ai désiré partager ces informations le plus objectivement possible.

Étant néanmoins conscient que mon opinion aura transpiré à maintes reprises de par la seule nature de cet ouvrage, je me permettrai ici de me prononcer sans aucun détour : je suis d’avis que la version officielle sur les attentats du 11 septembre est fausse.

Ceci dit, j’ai tenté tant bien que mal de n’imposer au lecteur aucune théorie alternative sur ces terribles événements. Je me suis plutôt efforcé d’exposer les faits et de les superposer à la version officielle. Libre à chacun par la suite de juger de la crédibilité et de la vraisemblance de celle-ci. D’une manière générale, je considère qu’une telle approche favorise le questionnement chez les individus. Et c’est précisément le but recherché par cet essai : faire réfléchir les gens.

Il existe après tout amplement de points d’échanges constructifs pour nous permettre de s’interroger sur la version officielle. Il suffit de penser aux plans d’attaque sur l’Irak et l’Afghanistan, ébauchés bien avant les attentats de septembre 2001. Il me vient également en tête le Building 7, cet édifice de 47 étages abritant différentes agences secrètes qui s’écroula sur lui-même sans avoir été frappé par un avion; ceci fut ensuite suivi d’un black-out médiatique presque total.

Considérons aussi le délai de 441 jours écoulé avant l’ouverture d’une enquête publique ‘indépendante’, mise sur pied par la Maison Blanche et constituée exclusivement de politiciens américains présentant presque tous des conflits d’intérêts, après que le président Bush se soit obstinément opposé à la création de celle-ci. Tenons également compte des nombreuses déclarations ridicules de cette même commission d’enquête, qui affirma entre autres qu’il était peu important de connaître l’origine de l’argent utilisé pour financer les attentats. Réalisons que plus du quart du rapport final de la commission est basé sur des interrogations de détenus ayant été torturés.

Souvenons-nous de plus que les tours du World Trade Center se sont écroulées sur elles-mêmes pratiquement à la vitesse d’une chute libre, sans que les étages inférieurs pourtant intacts n’aient offert de résistance notable. Prenons conscience que les incendies ne peuvent expliquer la présence d’acier fondu dans les décombres, plusieurs semaines après les événements. Gardons en tête l’existence d’importants pics d’activité sismique enregistrés au tout début de l’effondrement des tours, ceux-ci étant équivalents à plus de 20 fois l’amplitude des vagues sismiques provoquées par la chute subséquente des débris.

Tenons compte des dizaines de témoignages d’individus très crédibles, pourtant ignorés par la commission d’enquête, qui rapportèrent des explosions et des flashs au World Trade Center. Songeons ensuite au fait qu’une importante quantité d’or fut retrouvée dans un tunnel de livraison, près d’un camion et hors de ses voûtes, sans qu’aucun cadavre ne soit découvert à proximité. Et n’oublions pas que sur les huit boîtes noires normalement indestructibles, seulement trois furent retrouvées et utilisées, alors que divers passeports et cartes d’identité de présumés terroristes survécurent aux mêmes conditions.

Considérons aussi l’absence de congédiements et les nombreuses promotions qui suivirent les échecs de prévention des agences de renseignements, ainsi que la dérogation inhabituelle aux protocoles de défense aérienne malgré la pluie d’avertissements précédant les attaques. Souvenons-nous de tous ces exercices militaires suspects tenus au matin du 11 septembre, dont l’un simulait comme par hasard l’écrasement d’un avion contre un édifice gouvernemental tout près de Washington. Retenons de surcroît qu’aucun avion-chasseur n’était assigné ce matin-là à la base aérienne Andrews, chargée de protéger la capitale des États-Unis.

Gardons en mémoire que les dommages au Pentagone semblaient loin de correspondre à ceux qu’auraient dû laisser un Boeing, et qu’aucune image présentant clairement ce qui a réellement percuté l’édifice n’a encore été rendue publique. De plus, remarquons que le rapport de la commission d’enquête omettait de mentionner le témoignage du ministre américain des Transports, qui affirmait que le personnel au PEOC avait tenu un décompte de la distance entre le vol 77 et Washington jusqu’à ce que celui-ci s’écrase sur le Pentagone, le rapport officiel déclarant plutôt qu’aucun avertissement ne fut reçu à propos de ce vol. Réalisons également la complexité des manoeuvres exécutées par le soi-disant terroriste aux commandes du vol 77 deux semaines après que celui-ci ait été jugé inapte à piloter un Cessna.

Puis, songeons au fait que les investigations sur Oussama Ben Laden – et sur sa famille – furent bloquées par les administrations Bush et Clinton avant les attentats, alors même qu’il s’agissait de l’un des hommes les plus recherchés de la planète. Souvenons-nous que dans les jours suivant les attaques, plusieurs membres de sa parenté furent prestement évacués du pays par les services secrets américains, sans être d’abord interrogés et malgré l’interdiction de vol fédérale. N’oublions pas qu’Oussama Ben Laden travaillait au profit de la CIA lors de l’invasion soviétique de l’Afghanistan dans les années 80, et que sa famille a entretenu des liens étroits avec la famille Bush pendant des années. Rappelons-nous ensuite le manque de réaction du président américain lorsqu’il fut informé que les États-Unis étaient sous attaque.

Demandons-nous pourquoi plusieurs des présumés terroristes étaient toujours vivants après le 11 septembre, le FBI continuant malgré tout de les désigner en tant que coupables. Gardons en mémoire que plusieurs d’entre eux avaient été identifiés par les services de renseignements américains plus d’un an avant les attentats, et que deux de ceux-ci ont même habité avec un agent du FBI.
Retenons par ailleurs que des débris du vol 93 ont été retrouvés jusqu’à huit milles à la ronde alors qu’aucune trace de l’avion lui-même n’a subsisté sur le site d’écrasement. Souvenons-nous que des témoins ont entendu un missile à Shanksville ce matin-là, et que d’autres ont rapporté avoir aperçu des flammes dans le ciel.

Soulignons de plus l’absence de dénouement, plus de six ans plus tard, dans les investigations sur les mouvements d’actions boursières inhabituels et sur les millions de dollars brusquement acheminés à travers les ordinateurs du World Trade Center au moment précis des attaques. N’oublions pas toutes ces preuves détruites, notamment les dossiers d’Able Danger sur les terroristes, les énormes piles de documents à l’ambassade d’Arabie Saoudite, la cassette de déclarations des contrôleurs aériens, ainsi que l’acier du World Trade Center qui fut recyclé avec empressement sans être analysé.

Constatons maintenant l’illogisme de la relation entre les États-Unis et le Pakistan suite aux attentats malgré l’implication de l’ISI dans le financement des attaques. Gardons en mémoire qu’un certain général pakistanais, chef des services des renseignements, a effectué un transfert de 100 000$ vers Mohammed Atta, tête dirigeante des terroristes, et déjeunait ensuite avec les dirigeants des comités de renseignements américains à Washington pendant que les avions percutaient les tours. Sans oublier que le frère d’Oussama Ben Laden se trouvait, de son côté, en compagnie de George H.W. Bush au même moment.

Mais en fait, la première raison de questionner la version officielle réside probablement dans l’ensemble de son inconsistance. Voilà ce qui m’empêche personnellement de lui accorder la moindre crédibilité. La narration d’une telle histoire, saturée d’autant de coïncidences et enchevêtrée de contradictions majeures, frise à mon avis le ridicule et révèle l’improbabilité des événements tels que décrits par le gouvernement.

Et le plus triste, ultimement, est cette utilisation abusive par nos dirigeants de la menace terroriste pour éroder peu à peu nos libertés civiles. Je m’aperçois que les peuples, naïfs ou mal informés, consentent aveuglément à l’abandon de leurs droits et libertés. Je constate que tout au cours de l’histoire, des individus en position de pouvoir ont cherché à dominer le monde. Pourquoi serait-ce différent de nos jours?

Ce qui me rassure toutefois, c’est qu’à chaque occasion par le passé, les peuples réussirent à puiser suffisamment de courage et d’énergie pour combattre et vaincre la tyrannie de leur époque. Aujourd’hui, ce même combat semble nous revenir. D’ailleurs, je ne m’étonne guère qu’après tant d’années de complaisance et de luxe relatifs en Occident, antithèses certaines de la misère et de la pauvreté du reste du monde, nous nous retrouvions aux prises avec une telle situation. La richesse et le confort pourraient-ils nous avoir collectivement engourdis à ce point ?

Dans cet ordre d’idées, je m’interroge désormais à savoir quelle sera votre propre réaction, vous qui venez d’être exposés à toutes ces informations. Ceux qui estiment comme moi que la version officielle du 11 septembre est fausse pourront certes se dire qu’il s’agit d’une situation au-delà de leur contrôle, en tant que simple individu de la masse, et qu’ils ne peuvent rien y changer. Ceci ne reviendrait-il toutefois pas à une soumission silencieuse?

Exprimer son désaccord envers la version officielle peut pourtant se manifester sous diverses formes, sans nécessairement monter aux armes ou le crier sur les toits, réactions que je désapprouverais d’ailleurs. Mais un simple commentaire bien placé lors d’une discussion appropriée, par exemple, recommandant poliment à un autre de s’informer à ce propos constitue déjà un pas vers l’anéantissement du mythe populaire. Et c’est sur chacun de ces pas, si petits soient-ils, que nous devons nous rabattre pour parvenir à ébranler les fondations vulnérables et erronées de la guerre contre la terreur.

Car cette guerre regrettable recèle un effet dévastateur sur la psyché collective globale, nous encourageant entre autres de manière insidieuse à se méfier des étrangers d’allégeance islamique tout particulièrement, ainsi qu’à entretenir une crainte qu’en tout temps, une menace latente plane sur notre planète. ‘Et si les terroristes se dotaient d’une bombe nucléaire ?’, s’inquiète-t-on plus ou moins consciemment. ‘Sacrifions vite nos droits pour plus de sécurité !’, scande alors le peuple sans déceler la moindre machination.

J’entends encore certains leaders politiques canadiens déclarer que la population ne craint pas suffisamment la menace terroriste. Bien entendu, en instaurant tranquillement la peur au sein de la nation, le gouvernement fait germer en nous un sentiment appelé à éclore sous forme d’un besoin de protection. Ce besoin de protection justifie ensuite des lois plus strictes, plus puissantes, entraînant la perte de droits et libertés civils – prétendument dans le but d’établir des mesures de contrôle plus efficaces pour contrer ce même terrorisme – et aboutit finalement en des pouvoirs accrus vers une société totalitaire.

Je serai honnête : de tristes pensées me traversent parfois l’esprit. Après tous les efforts de nos ancêtres et prédécesseurs, pourrions-nous faire partie de la génération qui échouera finalement à contrer les plans de domination globale de certains élitistes avides de pouvoir? Face à une éventualité aussi sombre qu’angoissante, je préfère m’armer d’optimisme malgré qu’il m’apparaisse plus qu’urgent de réagir collectivement. En effet, l’heure n’est plus à la l’individualisme quasi dogmatique pour la société occidentale.

Et tout bien considéré, le rôle des individus qui se sentent interpellés par la cause du 11 septembre s’avère relativement simple : lorsque l’opportunité se présente, il suffit de sensibiliser les gens en mentionnant la nécessité d’une nouvelle enquête internationale, réellement indépendante cette fois-ci, et de s’opposer à la perte de nos droits et libertés civils sous le prétexte d’une guerre contre la terreur. Et ceux qui désireraient pousser leur implication plus loin peuvent également considérer de contacter leurs médias locaux, leur faire parvenir de la documentation crédible sur le sujet et les questionner de manière civilisée sur le mutisme dont ils font preuve.

À ce titre, je soumettais en août 2007 une version préliminaire du présent ouvrage à Louis-Éric Allard, directeur de l’information du quotidien La Tribune, à Sherbrooke (Québec), dans le but d’obtenir ses commentaires sur le sujet. Étrangement, M. Allard évita ensuite pendant plus de deux mois mes nombreux appels et ne fit suite à aucun message. En novembre de la même année, je me résignai finalement à discuter avec sa secrétaire personnelle, qui me répéta alors obstinément qu’elle me retournerait le document, sans toutefois accepter de répondre à mes questions. Malgré mon insistance, elle refusa à cinq reprises de seulement m’indiquer si quelqu’un avait feuilleté le document. Je suis d’avis que devant une pression plus soutenue de la part du public, les médias ne pourraient réagir ainsi indéfiniment.

C’est pourquoi je me permets cet appel du coeur : trouvons au fond de nous le courage et la force d’exposer de quelle manière nos gouvernements nous manipulent en prétextant la lutte contre la terreur. Les gouvernements québécois et canadien doivent cesser de perpétuer la stratégie de domination globale des Américains. Ne nous leurrons pas : notre gouvernement est parfaitement au courant des informations contenues dans cet ouvrage. Seulement, il est plus que probable que le statu quo perdurera jusqu’à ce que la population exige un changement.

Contrairement aux époques où les hommes n’avaient d’autres choix que de livrer des batailles meurtrières aux armées des tyrans qui les menaçaient, il nous est maintenant beaucoup plus aisé de fracasser, par le pouvoir du savoir et sans la moindre effusion de sang, l’illusion créée par les véritables terroristes, ceux qui cherchent à embrouiller nos esprits.

Réalisons que de toute évidence, une partie de la solution réside dans la solidarité des peuples de la Terre plutôt que dans la division de ceux-ci, division précisément recherchée par les artisans de la guerre contre la terreur. Diviser pour régner… Une technique pourtant vieille comme le monde !

J’exhorte enfin chaque personne qui partage les mêmes convictions que moi au sujet du 11 septembre à réagir de façon civilisée et réfléchie envers cette situation délicate. Soyons conscients que propager nos vues d’une manière radicale ou inappropriée risquerait malheureusement d’entraîner certaines conséquences indésirables.

Je préconise personnellement une attitude positive et pacifique en tout temps. Il m’apparaît sage et bien avisé de chercher à vivre plus que jamais en harmonie avec soi-même et son environnement, au coeur de la tempête tout particulièrement. Car quiconque parvient à une telle maîtrise de soi dans ce contexte convoitera alors la liberté véritable, destinée à tous.

D.C. sur Analyse Media 911

13 Responses to “Analyse Media 911”

  • charmord

    Rien à jeter.
    Remarquable

  • fine ghadi bia khouya

    Moi aussi (concernant particulièrement le dernier paragraphe) je suis un fervent partisant de GHANDI. Je suis sincère. Mais, parait-il , le rève crée la réalité !

  • greg

    Un bien bel essai. Clair et résonné.

  • Liberty

    R.A.S. c’est tout .

  • samaouste

    S’ils décidaient de couper l’internet par exemple, que feriez vous hein?

  • SébastienM

    C’est joli mais un peu naïf.
    Les choses ne se passent pas comme on les imagine.

  • parousnik

    a samaouste

    Les pigeons voyageurs…

  • Le site tout entier ( http://analysemedia911.blogspot.com/ ) est remarquable. Que dire sinon « bravo » ! Un travail comme on aurait aimé en voir dans les journaux…

  • Phoebus

    Ces « Notes personnelles » ne sont que le dernier chapitre d’un travail de synthèse considérable (l’équivalent d’un livre de plus de 300 pages) consultable sur son site, qui reprend l’ensemble du dossier 11-Septembre. Tout y est, et illustré de nombreuses photos. L’ensemble de ce dossiert peut même être téléchargé en Word si on en fait la demande par mail. Je recommande à tous ce travail vraiment remarquable, que son auteur invite d’ailleurs tout le monde à diffuser partout.
    La seule chose que j’ai regrettée (mais qui peut facilement se comprendre) est l’anonymat de ce journaliste, qui signifie donc que cet ouvrage ne sera probablement jamais publié, ce qui est bien dommage. Raison de plus pour le lire, donc.

  • Jacques Jean

    Bravo, c’est bien tourné et réfléchi mais compte tenu de l’obstruction générale qu’il faut bien attribuer à une réelle conjonction d’intérêts internationaux qui n’a jamais faibli en huit ans, il faudra au moins un petit siècle pour faire éclater la vérité, et cela n’arrivera qu’après éclatement de la conjonction d’intérêts à l’origine des faits et qui maintient le couvercle sur la cocotte-minute. Patience et longueur de temps…

  • Phoebus

    Triple erreur de ma part dans le précédent post : D.C. désigne le journaliste canadien David Charbonneau, son ouvrage est actuellement en cours d’examen chez un éditeur et (de ce fait) la version Word n’est plus disponible (temporairement, m’a-t-il dit). Il faudra donc se contenter de la version html de ce dossier sur son site, dont il continue à encourager vivement la lecture et la diffusion.

  • sap

    Jacques Jean dit : « il faudra au moins un petit siècle pour faire éclater la vérité »

    Je pense qu’énormément de gens ne vont pas souhaiter attendre aussi longtemps pour connaitre la vérité.

    C’est un combat de tous les jours, et la lutte sera longue … peut être … mais certainement pas 100 ans, NON !

    Tous les jours le mouvement prend de l’empleur ! Et cela continuera jusqu’à ce que vérité soit faite.





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