Les pirates de l’air du 11-Septembre : Des pilotes amateurs transformés en super-pilotes le jour J

Le contraste entre les commentaires sur les véritables prouesses en vol des présumés pirates de l’air du 11-Septembre, et leur niveau réel de pilotage tel qu’il a été rapporté par de nombreux témoins dont leurs instructeurs de vol, reste un des grands problèmes de la version officielle du 11/9. Si les manoeuvres du pilote du Vol United Airlines 175 – celui qui a percuté la Tour Sud en terminant par un virage à plus de 945 km/hlaissent nombre de spécialistes perplexes, celles exécutées par Hani Hanjour aux commandes du Vol 77 pour aller percuter le Pentagone relèvent de la gageure pure et simple, surtout si l’on en croit les données officielles de vol. En effet, le National Transportation Safety Board a diffusé les données de vol de la boite noire retrouvée dans les décombres du Pentagone qui ont ensuite été analysées par des spécialistes de l’aviation, dont l’association "Pilotes pour la vérité sur le 11/9" (pilotsfor911truth). Or, si ces données prêtent très largement à caution, elles indiquent aussi que le pilote automatique a "officiellement" été désactivé pendant les 8 dernières minutes du vol, ce qui inclut le dernier virage et le rase-mottes pour aller percuter à l’horizontale le mur du Pentagone sans toucher l’herbe de la pelouse. Le tout aurait donc été réalisé en "pilotage manuel" par un piètre pilote n’ayant aucune expérience de ce type d’appareil. Ces incohérences flagrantes amenent toujours plus de pilotes professionnels et de spécialistes de l’aviation à douter de la version officielle. Plus de 250 témoignages sont regroupés sur le site PatriotsQuestion911.com.

Voici un article riche en citations de propos étonnés tenus par les autorités ou des personnalités officielles sur les incroyables performances de pilotage des présumés pirates de l’air du 11/9. A comparer – en 2e partie d’article – avec les opinions extrêmement critiques sur leurs qualités effectives de pilotes de la part des instructeurs de vol américains qui ont eu à leur enseigner les rudiments de  pilotage. Car encore une fois, ces considérations doivent être faites en gardant bien à l’esprit que rien ne prouve que des musulmans ont détourné les avions le 11/9.

 

Un Cessna 172, le modèle de petit avion sur lequel Mohammed Atta et Marwan Alshehhi
se seraient entrainés fin 2000 dans une école de pilotage à Venice en Floride.

 


Les pirates de l’air du 11/9 : Des pilotes amateurs se transforment en super-pilotes le 11 septembre.

par Shoestring, sur 911 Blogger, le 12 juillet 2011

Traduction Arnid pour ReOpenNews

 

"Frapper quelque chose avec un avion n’est facile que si vous avez une vingtaine d’années de vol"
Un pilote de Boeing 767 cité dans le Boston Globe
 
"La conspiration ne comportait apparemment pas un surplus de pilotes qualifiés"
The Washington Post

 

Dans les jours qui suivirent le 11/9, de nombreux pilotes et experts de l’aviation commentèrent les manoeuvres complexes que les terroristes avaient accomplies en vol et les compétences avancées qui étaient nécessaires pour mener ces avions jusqu’à leurs cibles. Les hommes aux commandes de ces avions devaient, selon les experts, être "des pilotes hautement qualifiés" et "des aviateurs extrêmement expérimentés et compétents", qui ont "probablement été entrainés militairement".

Et pourtant les quatre pirates de l’air qui ont soi-disant piloté ces appareils étaient des amateurs qui avaient appris à voler dans des avions à hélices, et dont le niveau de pilotage fut qualifié de "moyen" ou de "médiocre" par leurs instructeurs. Malgré cela, pour leur premier essai sur un avion à réaction, le 11 Septembre 2001, ces hommes auraient été capables de piloter des Boeing 757 et 767 à des altitudes de plusieurs dizaines de milliers de pieds, sans aucune assistance du contrôle du trafic aérien. Trois d’entre eux furent apparemment capables de diriger leurs appareils avec succès jusqu’aux cibles visées, qu’ils touchèrent avec une extrême précision.

Que des pilotes aussi médiocres parviennent à effectuer des vols requérant autant de compétences est très improbable, voire impossible. C’est pourtant ce qui est affirmé dans le compte-rendu officiel du 11/9.

SELON LES EXPERTS LES PIRATES DE L’AIR "DEVAIENT ÊTRE DES PILOTES EXPÉRIMENTÉS"

De nombreux experts ont indiqué que les pirates ayant piloté les appareils du 11/9 devaient assurément être des pilotes très compétents et très bien formés. Tony Ferrante, le chef de la division d’enquête de la FAA (Federal Aviation Administration) passa plusieurs jours après le 11/9 à reconstituer soigneusement les mouvements des quatre avions impliqués. Selon l’auteur Pamela Freni, "les cheveux de Ferrante se dressèrent sur sa tête lorsqu’il réalisa avec quelle précision les quatre avions se dirigaient vers leurs cibles." Selon Ferrante, "c’était presque comme une chorégraphie", et d’expliquer : "Ce n’est pas aussi facile que cela en a l’air, ce qu’ils [les pirates] ont fait à 900km/h." 1

Darryl Jenkins, le directeur de l’Institut de l’aviation à l’université George Washington, a déclaré au New York Times que les hommes qui ont perpétré les attentats "savaient ce qu’ils faisaient jusque dans les moindres détails." Il ajouta que "chacun d’entre eux a sûrement été formé au pilotage de gros avions." Le Times rapporta qu’un "certain nombre d’experts de l’aviation étaient d’accord" avec Jenkins et que "les pirates devaient être des pilotes expérimentés." John Nance, pilote d’avion, auteur et spécialiste de l’aviation, déclara que "les frappes directes sur les deux Tours et le Pentagone lui laissaient penser que les pirates étaient des pilotes expérimentés." Nance attira notamment l’attention sur le "virage tout en douceur qu’effectua le second avion avant de frapper la tour," et d’ajouter que "contrôler avec précision un puissant avion si près du sol, comme ce fut le cas pour le Pentagone, requérait une compétence élevée". Nance conclut : "Il n’y a aucune chance pour qu’un amateur ait pu, avec une telle perfection, accomplir ce qui a été fait" lors des attentats du 11/9.2

Un pilote travaillant pour une grande compagnie de transport aérien depuis plus de 30 ans a déclaré à CNN que pour "réussir une attaque aérienne coordonnée sur le World Trade Center et le Pentagone… les pirates devaient être des aviateurs extrêmement expérimentés et compétents." Il ajouta, "Ils savaient ce qu’ils faisaient."3

Robin Lloyd, capitaine sur un Boeing 737 d’une compagnie aérienne britannique, a déclaré au Telegraph que "les pirates devaient être des pilotes expérimentés possédant bien plus qu’une connaissance rudimentaire de la navigation." Lloyd, qui co-dirige le site Professional Pilots’ Rumour Network, considéré dans le monde comme l’une des principales sources d’informations pointues sur l’industrie aéronautique, déclara que les terroristes aux commandes de l’avion détourné "devaient être des individus renseignés à 100% et des pilotes expérimentés à 100%, probablement entrainés militairement." Il ajoute que quelqu’un comme Oussama Ben Laden "ne pouvait pas avoir accès à des pilotes de ce calibre." 4

John Roden, président d’Aviation Advisory Service, un cabinet de conseil situé à Oakland en Californie, a déclaré que le niveau de pilotage permettant de manoeuvrer ces avions jusqu’à leurs cibles "était très avancé". C’est pratiquement une technique de pilote de chasse." 5 Enfin, un officier de l’US Air Force ayant effectué plus de 100 sorties durant la guerre du Vietnam a conclu que les avions détournés "avaient soit un sacré pilote de chasse assis aux commandes, soit étaient télécommandés." 6

UN "ENTRAINEMENT POUSSÉ" ET "UNE CONNAISSANCE APPROFONDIE" SONT NÉCESSAIRES POUR PILOTER UN 757 OU UN 767

Deux des appareils choisis dans les attentats du 11/9 étaient des Boeing 757 et les deux autres des Boeing 767. Plusieurs experts ont indiqué combien il serait difficile pour des amateurs comme l’étaient les pirates présumés, de piloter de tels avions.

Des experts de l’aviation ont déclaré au Chicago Tribune : "Contrairement à un petit avion privé où les pilotes volent généralement « à vue », un avion commercial comme ceux qui furent détournés [le 11 Septembre] nécessite une maitrise étendue des techniques de navigation ainsi qu’une connaissance approfondie de leur myriade de systèmes, allant des circuits hydrauliques au pilote automatique." 7

Michael Barr, le directeur des programmes de sécurité de l’aviation à l’université de Californie du Sud, et plusieurs pilotes de ligne, ont confié au Boston Globe qu’"ils supposaient que les terroristes étaient des pilotes qualifiés qui devaient avoir reçu une certaine formation de pilotage d’avions de transport, notamment des Boeing 757 et 767. " 8

Steven Wallach, consultant en aviation et ancien commandant de bord sur avion de ligne, a déclaré que si – comme on l’a dit – les pirates de l’air "avaient bien pris les commandes à haute altitude et sur une longue distance jusqu’à leurs cibles… Alors ils ont probablement suivi un entrainement poussé sur 767 ou 757". Wallach ajouta que les pirates "avaient dû descendre en altitude et naviguer jusqu’à Washington et New York. Il leur était indispensable de savoir comment faire fonctionner le pilote automatique, ainsi que d’autres fonctions complexes." Les Boeing 767 et 757 possèdent des ordinateurs de bords Glass cockpits très sophistiqués qui comprennent des écrans vidéo et des affichages numériques, exigeant de ces pilotes un haut niveau de compétence en informatique. "Naviguer avec ce Glass Cockpit peut s’avérer très difficile", selon Wallach.9

FRAPPER LE WTC REVENAIT À "VISER LE TROU D’UNE AIGUILLE"

Quelques experts ont commenté spécifiquement les compétences de pilotage qui auraient été nécessaires pour faire s’écraser les avions contre les Tours Jumelles du World Trade Center.

Selon Kieran Daly, rédacteur en chef du magazine Web Air Transport Intelligence, "envoyer un avion contre un bâtiment n’est pas aussi simple qu’il y paraît." "Les terroristes devaient avoir une certaine expérience pour être capables de diriger ces avions jusqu’au World Trade Center." 10 Robin Lloyd compara les tours du WTC à "des pistes étroites inclinées verticalement." De plus, "dès l’instant où ils ont coupé le pilote automatique, ils avaient l’obligation de savoir comment contrôler l’appareil et comment retrouver leur cible". Lloyd ajouta que "de vulgaires terroristes sans expérience de vol n’auraient pas pu atteindre" les Tours Jumelles.11

Michael Barr déclara que les pirates qui avaient lancé les avions contre le WTC "devaient changer de cap … savoir comment naviguer." 12 Barr, ancien pilote de l’Air Force sur chasseur-bombardier, a déclaré que les pirates de l’air "ont presque eu à frapper les tours comme s’ils visaient le trou d’une aiguille." Il souligna la difficulté que les pilotes auraient eue à synchroniser leurs attaques afin qu’ils atteignent les deux tours du WTC à environ 15 minutes d’intervalle : "Les trajectoires qu’ils empruntaient étaient très différentes – un avion venant du nord et l’autre provenant du sud. Cela ajoute beaucoup à la complexité et exige un certain degré d’habileté pour empêcher les avions de trop virer de bord ou de descendre trop rapidement tout en gardant le cap." Barr a ajouté que les compétences de pilotage démontrées par les pirates de l’air témoignaient "de longs mois de planification et d’entrainement." Il a conclu: "Malheureusement, ces gars étaient des bons." 13

Un pilote de 767 confia au Boston Globe : "Les gens qui ont fait ça étaient des pilotes entrainés et qualifiés pour voler sur les avions de la famille 757- 767 … ce pilotage exigeant ne semblait pas les déranger". Notre pilote remarqua sur la vidéo que le second avion qui atteignit le WTC basculait, ou tournait lorsqu’il frappa la tour, "ce qui rendait la manoeuvre plus difficile." Il ajouta, "Frapper quelque chose avec un avion n’est facile que si vous avez une vingtaine d’années de vol". 14

Niki Lauda, ancien champion du monde de Formule 1 qui est aussi pilote d’avion et qui possédait sa propre compagnie aérienne, a déclaré à la télévision allemande que les individus qui avaient piloté les avions jusqu’au WTC devaient avoir été "tout spécialement formés pour piloter un tel avion." Il ajouta : "Si je veux frapper le World Trade Center, je dois connaitre précisément le rayon de virage de ce type d’avion. Cela signifie que ces personnes devaient être des pilotes parfaitement qualifiés sur 767 ou 757 … Cela ne pouvait certainement pas être l’oeuvre de pilotes à moitié formés, sinon ils ne l’auraient même pas effleuré." 15

L’AVION QUI A PERCUTÉ LE PENTAGONE "A ÉTÉ PILOTÉ AVEC UNE HABILITÉ EXTRAORDINAIRE"

Un niveau particulièrement élevé de qualification était nécessaire pour piloter un avion jusqu’au mur ouest du Pentagone. CBS News a rapporté : "Le radar indique que le vol 77 a effectué une spirale descendante en accomplissant un cercle presque complet, et s’est laissé tomber sur les 7000 derniers mètres en deux minutes et demie… La manœuvre complexe suggère que les pirates possédaient de meilleures compétences de vol que ce que les enquêteurs croyaient au préalable." 16 Une "source de l’aviation haut placée" a qualifié la manoeuvre de "virage remarquablement bien coordonné", qui, selon un responsable de la sécurité, était l’œuvre d’un "pilote talentueux… le genre de virage et d’atterrissage qu’on retrouve dans les manuels" 17 D’autres "sources de l’aviation" ont déclaré au Washington Post que l’avion qui a frappé le Pentagone "était piloté avec une habileté extraordinaire." 18

Selon le Chicago Tribune, les autorités ont déclaré que le terroriste aux commandes du vol 77 d’American Airlines qui s’est précipité contre le Pentagone a démontré une "maîtrise du système de navigation avancée de l’avion ainsi que du système de pilotage automatique. … De tels systèmes demandent aux pilotes qu’ils insèrent la trajectoire, le cap et l’altitude désirés dans le programme de l’ordinateur de bord pour que l’avion exécute les instructions." 19

Dave Esser, le chef du département d’ingénierie aéronautique à l’Embry-Riddle Aeronautical University à Daytona Beach en Floride, a déclaré à CNN que "le plus haut niveau de navigation était nécessaire" pour le Vol 77. Roger Richie, un porte-parole de la Flight Safety Academy, une école de pilotage à Vero Beach en Floride, a ajouté : "Ce n’est pas aussi simple qu’il y parait de se diriger vers l’Ohio puis de revenir et de rechercher le Pentagone, vous devez savoir ce que vous faites." 20

Ed Soliday, un ancien capitaine d’avion de ligne hautement qualifié et expérimenté, a déclaré à la Commission sur le 11/9 qu’en discutant avec un officier militaire du Pentagone, il lui avait fait remarquer "combien il serait difficile pour n’importe quel pilote, y compris lui-même, de frapper le Pentagone directement." Selon Soliday, le feeling nécessaire pour manoeuvrer le 757 manuellement sur le Pentagone n’aurait pas été chose facile, notamment en raison de la faible hauteur du bâtiment, cela aurait aussi impliqué de passer un temps non négligeable sur simulateur de vol. Soliday a déclaré à la Commission que "si j’avais dû m’occuper du Pentagone, j’aurais essayé de tout faire en pilote automatique vu la difficulté." 21 Pourtant, selon les données de l’enregistreur de vol rapportées par une étude du National Transportation Safety Board, le pilote automatique du vol 77 fut désactivé à 9 h 29 et resta éteint durant les huit dernières minutes pendant lesquels l’avion était en l’air. 22

Le pilote de Boeing 767 interviewé par le Boston Globe a également déclaré que frapper le Pentagone aurait été "extrêmement difficile". Il ajoute: "Un degré de plus ou de moins et [le pilote] passait soit au-dessus soit en dessous." 23 Gary Eitel, un pilote militaire expérimenté, a déclaré que "la manoeuvre effectuée par le Vol 77, telle que décrite dans les rapports officiels, était au-delà des capacités de 90 pour cent des meilleurs et des plus expérimentés pilotes au monde." Eitel ajouta que s’il "fut fasciné par le talent de pilotage démontré pour diriger le Vol 175 sur la seconde tour, le Vol 77 le laissa bouche bée." 24

Niki Lauda a déclaré que "pour descendre en sortant d’une boucle et parvenir envers et contre tout à frapper le bâtiment en son coeur, je devrais être [le pilote] le mieux entrainé de tous." Il supposa qu’"un pilote de ligne de niveau moyen aurait beaucoup de mal à faire cela, compte tenu du fait que vous n’êtes tout simplement pas préparé à ce genre de choses." Pour cette raison, Lauda conclut : "Ils doivent avoir reçu une sorte de super-formation pour avoir été capables de manoeuvrer un avion de ligne si précisément." 25

Bien que ces experts aient indiqué qu’un niveau extraordinaire de pilotage eut été nécessaire pour mener à bien les attaques du 11/9, il fut établi que les quatre hommes supposés avoir tenu les commandes des avions détournés ne disposaient pas de telles capacités et qu’ils possédaient une expérience de vol limitée.

LES PIRATES DES VOLS 11 ET 175 ÉTAIENT D’UN NIVEAU MOYEN

Mohammed Atta et Marwan Alshehhi, les terroristes suspectés d’avoir crashé les vol American Airlines 11 et United Airlines Flight 175 dans le World Trade Center, étaient au mieux, selon plusieurs sources, de médiocres pilotes. Ils avaient appris à voler entre juillet et décembre 2000 dans une école de pilotage à Venice en Floride. Ils étaient inscrits au "programme de pilotage accéléré" et entrainés sur un Cessna 172, un petit avion à hélices monomoteur. À la mi-décembre 2000, les deux hommes ont réussi leurs test de pilotes commerciaux et reçu leurs licences. 26 Dekkers Rudi, le propriétaire de l’école de pilotage, a déclaré qu’il avait "entendu leurs instructeurs dire" qu’Atta et Alshehhi "étaient des élèves moyens", et "l’examinateur m’a confié la même chose." 27

L’expérience la plus proche d’un pilotage d’avion commercial qu’eurent Atta et Alshehhi [respectivement, pilotes supposés des vols 11 et 175 qui se sont écrasés contre le WTC – NdR] avant le 11 Septembre eut lieu pendant les deux jours qu’ils passèrent à l’école de pilotage SimCenter de Opa-Locka, en Floride, à la fin décembre 2000, où ils passèrent six heures d’entraînement dans un simulateur de Boeing 727. Henry George, le propriétaire du SimCenter qui s’occupait d’instruire Atta et Alshehhi sur le simulateur, a déclaré avoir donné aux deux hommes "une mini, mini introduction" au vol sur avion à réaction. George jugea leurs compétences de vol comme étant ordinaires. Il raconta plus tard: "En y repensant, c’étaient des pilotes moyens pour leur niveau d’expérience. Ils n’étaient pas particulièrement mauvais, mais il n’y avait rien de bien remarquable non plus." 28

LE PILOTE DU VOL 77 ÉTAIT "TOTALEMENT DÉSEMPARÉ " ET "ÉTAIT INCAPABLE DE VOLER"

Parmi les quatre hommes censés avoir tenu les commandes des avions détournés le 11 Septembre, Hani Hanjour s’est distingué par ses très faibles compétences de vol. Cet homme de 29 ans originaire d’Arabie Saoudite est accusé d’avoir crashé le vol 77 contre le Pentagone. Ceci, comme nous l’avons vu, constituait une tâche particulièrement difficile, même pour les meilleurs pilotes. Et Hanjour était un pilote lamentable.

Selon le propriétaire d’une école de pilotage en Arizona dans laquelle Hanjour étudia en 1996 le jeune saoudien se révéla être un "élève faible" qui leur faisait "perdre leur temps". 29 Un instructeur de vol d’une autre école en Arizona, qui a enseigné à Hanjour pendant quatre mois en 1998, a déclaré : "En tant que pilote, Hani Hanjour était très mauvais. Sa connaissance de la partie académique de la formation était faible, ses compétences de vol étaient marginales, mais plus significativement sa faculté de raisonnement était très pauvre." L’instructeur a rappelé que Hanjour "n’était ni très bien éduqué, ni très intelligent." Il avait "une compréhension médiocre des principes de base de l’aviation" et démontrait de "faibles compétences techniques." 30

Des instructeurs d’une école de vol que Hanjour fréquentait début 2001, ont, selon le New York Times, "trouvé ses compétences de pilotage si décousues et sa compréhension de l’anglais si imparfaite qu’ils se sont interrogés quant à l’authenticité de sa licence". L’encadrement de l’école "redoutait que ses compétences soient faibles au point que cela puisse poser un risque de sécurité en tant que pilote d’avion commercial." 31 Un instructeur de l’école qui a formé Hanjour sur un simulateur de Boeing 737 a témoigné que Hanjour "s’est avéré être un pilote exécrable", et décrit Hanjour comme "totalement désemparé." 32 Un des employés de l’école a dit plus tard de Hanjour : "Je suis encore étonné à ce jour qu’il ait pu s’écraser sur le Pentagone, il était incapable de voler." 33

Alors que le jour des attentats se rapprochait, les compétences de pilote de Hanjour restèrent fragiles. Un pilote-instructeur travaillant pour une école du Maryland et qui avait fourni des leçons de vol à Hanjour à la mi-août 2001 – moins d’un mois avant le 11/9 – décrivit Hanjour comme "un mauvais élève" qui avait "des difficultés particulières à faire atterrir l’avion." 34 Après trois vols d’essai à l’école, la demande de location d’un avion faite par Hanjour lui fut refusée sans qu’il prenne d’autre leçon. 35

Le Washington Post conclut que Hanjour et ses "capacités limitées de vol indiquent au moins une chose quant aux attentats : La conspiration ne comportait apparemment pas un surplus de pilotes qualifiés." 36

LES CAPACITÉS DU PILOTE DU VOL 93 ÉTAIENT "UN PEU LIMITE"

Le terroriste suspecté d’avoir été aux commandes du vol 93 United Airlines qui se serait écrasé en Pennsylvanie après que ses passagers se soient retournés contre leurs pirates, se nommait Ziad Jarrah, 26 ans, et venant du Liban. S’il était meilleur pilote que Hani Hanjour, Jarrah lui non plus ne semblait pas posséder de bonnes compétences en pilotage.

Jarrah avait appris à voler pendant la dernière moitié de l’année 2000, passant environ six mois dans une école de vol en Floride où il fut formé sur un Cessna 152, un petit avion à hélices à deux places. 37 Jarrah devint un "pilote moyen", selon Arne Kruithof, le propriétaire de l’école de pilotage. Kruithof dit de Jarrah: "Nous avons dû faire un peu plus pour lui que pour d’autres pour qu’il soit prêt. Ses compétences de vol semblaient un peu limite." 38

En juin 2001, trois mois seulement avant le 11/9, Jarrah suivit deux sessions de formation dans une école de pilotage à Philadelphie, mais sa demande de louer un avion de l’école lui fut refusée compte tenu de ses faibles compétences de vol. Herbert Hortman, le propriétaire de l’école de pilotage, a déclaré à la Commission sur le 11/9 qu’il fut surpris que Jarrah obtienne sa licence de pilote, au regard de sa faible aptitude au pilotage. Hortman "spécula qu’une école de vol moins regardante avait délivré la licence." 39

Malgré ses talents médiocres, Jarrah prévoyait de projeter le vol 93 sur la Maison Blanche ou le Capitole des États-Unis, mais il en fut empêché par les courageux passagers de l’avion, selon la version officielle du 11/9. 40

LES PIRATES ONT-ILS SIMPLEMENT EU LA CHANCE DU DÉBUTANT ?

Nous pouvons voir que les quatre hommes sensés avoir été aux commandes des avions lors des attentats du 11/9 possédaient de faibles, voire médiocres compétences en pilotage, ainsi qu’une expérience de vol limitée. Par conséquent, dans quelle mesure ces pilotes amateurs formés sur des avions à hélice, démontrèrent soudain des compétences extraordinaires pour leur première tentative de pilotage d’un gros avion à réaction ? Est-ce le meilleur exemple de la chance du débutant de toute l’histoire ? Ou bien l’explication officielle des attentats du 11/9 est-elle inexacte ? Une nouvelle enquête sur ces attaques est requise d’urgence pour répondre à ces questions et pour découvrir la vérité sur ce qui s’est passé le 11 Septembre, 2001.

Shoestring 911Blogger, le 7 juillet 2011   Notes de l’auteur :

  1. Pamela Freni, Ground Stop: An Inside Look at the Federal Aviation Administration on September 11, 2001. Lincoln, NE: Universe, Inc., 2003, p. 76; "Memorandum for the Record: Interview With Tony Ferrante." 9/11 Commission, April 19, 2004.
  2. James Glanz, "Terrorists Were Well Trained, but not Necessarily in Flying." New York Times, September 13, 2001.
  3. "Hijackers ‘Knew What They Were Doing.’" CNN, September 12, 2001.
  4. Nicole Martin and Andrew Hibberd, "Hijackers May Have Murdered the Pilots." The Telegraph, September 12, 2001.
  5. Henry K. Lee, "Experts Assess How Skilled Hijackers Were." San Francisco Chronicle, September 13, 2001.
  6. "September 11: U.S. Government Accused." Portugal News, August 3, 2002.
  7. Jon Hilkevitch, "Hijackers Flew Skillfully to Targets, Experts Say." Chicago Tribune, September 13, 2001.
  8. Matthew Brelis, "Pilots Say Crews Likely Overpowered, Slain." Boston Globe, September 12, 2001.
  9. Ken Kaye, "Questions Remain on Flight Training." South Florida Sun-Sentinel, September 22, 2001.
  10. Nicole Martin, "Pilots ‘Must Have Been Murdered’ Before Jets Were Aimed at Buildings." Irish Independent, September 12, 2001.
  11. Nicole Martin and Andrew Hibberd, "Hijackers May Have Murdered the Pilots."
  12. Matthew Brelis, "Pilots Say Crews Likely Overpowered, Slain."
  13. Jon Hilkevitch, "Hijackers Flew Skillfully to Targets, Experts Say."
  14. Matthew Brelis, "Pilots Say Crews Likely Overpowered, Slain."
  15. Webster Griffin Tarpley, 9/11 Synthetic Terror: Made in USA. Joshua Tree, CA: Progressive Press, 2005, p. 190.
  16. "Primary Target." CBS News, September 21, 2001.
  17. Amy Goldstein, "Hijackers Led by Core Group." Washington Post, September 30, 2001; Steve Fainaru and Alia Ibrahim, "Mysterious Trip to Flight 77 Cockpit." Washington Post, September 10, 2002.
  18. Marc Fisher and Don Phillips, "On Flight 77: ‘Our Plane is Being Hijacked.’" Washington Post, September 12, 2001.
  19. Jon Hilkevitch, "Hijackers Flew Skillfully to Targets, Experts Say."
  20. "Experts Say Hijackers Needed Special Skills." CNN, September 14, 2001.
  21. "Memorandum for the Record: Interview With Captain Ed Soliday, Former Vice President of Safety, Security, and Quality Assurance for United Airlines." 9/11 Commission, November 21, 2003.
  22. John O’Callaghan and Daniel Bower, "Study of Autopilot, Navigation Equipment, and Fuel Consumption Activity Based on United Airlines Flight 93 and American Airlines Flight 77 Digital Flight Data Recorder Information." National Transportation Safety Board, February 13, 2002.
  23. Matthew Brelis, "Pilots Say Crews Likely Overpowered, Slain."
  24. Michael C. Ruppert, Crossing the Rubicon: The Decline of the American Empire at the End of the Age of Oil. Gabriola Island, BC: New Society Publishers, 2004, p. 350.
  25. Webster Griffin Tarpley, 9/11 Synthetic Terror, p. 191.
  26. House Committee on the Judiciary, INS’s March 2002 Notification of Approval of Change of Status for Pilot Training for Terrorist Hijackers Mohammed Atta and Marwan Alshehhi. 107th Cong., 2nd Sess., March 19, 2002; 9/11 Commission, The 9/11 Commission Report: Final Report of the National Commission on Terrorist Attacks Upon the United States. New York: W. W. Norton & Company, 2004, pp. 224, 227.
  27. Rudi Dekkers, interview by Quentin McDermott, A Mission to Die For. Australian Broadcasting Corporation, October 21, 2001.
  28. David Firestone and Dana Canedy, "FBI Documents Detail the Movements of 19 Men Believed to be Hijackers." New York Times, September 15, 2001; David A. Lombardo, "Hijack Pilots Showed Average Skills, Say Their Instructors." Aviation International News, November 2001.
  29. Amy Goldstein, Lena H. Sun, and George Lardner Jr., "Hanjour a Study in Paradox." Washington Post, October 15, 2001.
  30. Statement of [Name Redacted]. Canfield, Shapiro, Baer, Heller & Johnston, LLP, May 1, 2002.
  31. Jim Yardley, "A Trainee Noted for Incompetence." New York Times, May 4, 2002.
  32. [Name Redacted], interview by the FBI. Federal Bureau of Investigation, September 17, 2001.
  33. Jim Yardley, "A Trainee Noted for Incompetence."
  34. "Memorandum for the Record: Interview of Benjamin L. Connor." 9/11 Commission, April 12, 2004.
  35. Justin Paprocki, "Airport Owners Panic Over Plummeting Profits." Capital News Service, September 19, 2001; Thomas Frank, "Tracing Trail of Hijackers." Newsday, September 23, 2001.
  36. Amy Goldstein, Lena H. Sun, and George Lardner Jr., "Hanjour a Study in Paradox."
  37. Der Spiegel Magazine, Inside 9/11: What Really Happened. New York: St. Martin’s Press, 2002, p. 12; "Statement for the Record, FBI Director Robert S. Mueller III, Joint Intelligence Committee Inquiry." U.S. Congress, September 25, 2002.
  38. Jere Longman, Among the Heroes: United Flight 93 and the Passengers and Crew Who Fought Back. New York: HarperCollins, 2002, p. 91.
  39. "Profile: Ziad Samir Jarrah, DOB: May 11, 1975." Federal Bureau of Investigation, March 20, 2002; "Memorandum for the Record: Interview of Herbert Hortman, Owner of Hortman Aviation, Philadelphia, PA." 9/11 Commission, April 27, 2004.
  40. 9/11 Commission, The 9/11 Commission Report, p. 14.

 

Traduction Arnid pour ReOpenNews



11 Sept : Un Instructeur Pilote de Voltige… par rikiai
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4 Responses to “Les pirates de l’air du 11-Septembre : Des pilotes amateurs transformés en super-pilotes le jour J”

  • Matematika

    L\’hypothèse la plus plausible
    est que les avions ont été télécommandés à distance (global hawks)
    puis guidés au dernier moment par une balise.
    Au niveau de la mer, le pilotage manuel
    d\’un avion de ligne est tres difficile au dela de 850 km/h
    à cause des turbulences…
    Les simulations sur ordinateurs (850 km/h au niveau de la mer pour un avion de ligne) ne sont pas pertinentes car la
    théorie de la turbulence est encore largement incomprise…
    Cf le paradoxe de d\’Alembert, le phenomene des couches limites…etc

  • Alex

    A parcourir également :

    « La preuve irréfutable que les données de vol censées être celles du vol AA77 qui a percuté le Pentagone ne proviennent pas d’un Boeing 757″ paru sur Reopen le 08-03-2011
    http://www.reopen911.info/News/2011/03/08/la-preuve-irrefutable-que-les-donnees-de-vol-censees-etre-celles-du-vol-aa77-qui-a-percute-le-pentagone-ne-proviennent-pas-dun-boeing-767/

    Et issu de :
    http://pilotsfor911truth.org/forum/index.php?showtopic=21149

    Le bon sens commun (si tant est qu’on le sollicite) est totalement incompatible avec la version officielle sur le Pentagone.

  • Rappelons qu’au Pentagone, après leur fameuse descente en spirale, les pirates devaient encore franchir un pont et piquer juste après afin d’arriver à l’horizontale, au rez-de-chaussée. À 850 km/h… Et c’est le plus mauvais des quatre pilotes qui a réussi brillamment cette manoeuvre : Hani Hanjour…

  • Alexandre

    Que des conneries….

    1) Il leur était indispensable de savoir comment faire fonctionner le pilote automatique, ainsi que d’autres fonctions complexes. » Les Boeing 767 et 757 possèdent des ordinateurs de bords Glass cockpits très sophistiqués qui comprennent des écrans vidéo et des affichages numériques, exigeant de ces pilotes un haut niveau de compétence en informatique.

    Heureusement que le Vol à vue ( VFR ) Existe sur tout type d’avion. Il n’y aucunement besoins de regarder des écrans ou autres. Et même, ils avait des manuels de vol.

    2) « envoyer un avion contre un bâtiment n’est pas aussi simple qu’il y paraît. »

    Je suis désolé, mais si il étais en manuel, ( Il suivait l’Hudson ) c’est facile à les reconnaître. De plus regarder devant sois et pousser les gaz et les baisser c’est simple. De même pour descendre et monter, tourner à droite ou a gauche.

    Je vais parler d’un commentaire car la je suis horrifié.

    1) Au niveau de la mer, le pilotage manuel
    d\’un avion de ligne est tres difficile au dela de 850 km/h
    à cause des turbulences…

    - Il n’y avait aucun nuage, le risque de turbulence étais donc limité. De plus, plus on va vite, plus les turbulence son minimes.

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