Démission de la rédactrice en chef du « Open Chemical Physics journal » suite à la publication de l’article sur la nanothermite retrouvée dans la poussière du WTC
La rédactrice en chef de la revue scientifique Open Chemical Physics Journal a démissionné suite à la publication de l’article concluant à la présence de nanothermite dans les poussières du World Trade Center. Le professeur à l’Université Pierre et Marie Curie Marie-Paule Pileni n’aurait, selon elle, « pas été informée de la publication. »
En réponse à un mail envoyé par le site Videnskab.dk pour lui demander quel était son avis de scientifique sur la teneur de l’article, elle a répondu « Ils ont imprimé l’article sans ma permission, donc lorsque vous m’avez appelé, je ne savais pas que l’article avait été publié. Je ne peux pas accepter cela, et par conséquent j’ai écrit à [l’éditeur] Bentham que je démissionnais de toutes mes activités avec lui. »
Madame Pileni est également choquée par le sujet de l’article : « Je ne peux pas accepter qu’un tel sujet soit publié dans mon journal. Cet article n’a rien à voir avec de la chimie physique ou de la physique chimique, et je veux bien croire qu’il y a un point de vue politique derrière sa publication. Si quelqu’un m’avait demandé, j’aurais dit que cet article n’aurait jamais dû être publié dans ce journal. Point final. »
La scientifique souligne par ailleurs que le sujet est en dehors de son domaine d’expertise et qu’elle ne peut donc pas juger de la qualité de l’article en lui-même. Pourtant, en examinant l’impressionnant CV de Madame Pileni, on apprend qu’elle a travaillé au Laboratoire des matériaux mésoscopiques et nanométriques et fut consultante pour la Société Nationale des Poudres et Explosifs Elle a en outre été membre de l’équipe éditoriale du Journal of experimental nanosciences et du Journal of Physical Chemistry.
Madame Pileni est une scientifique à la pointe de la recherche en nano-matériaux et fut, entre autre, membre de l"Institut des Hautes Etudes de Défense Nationale" (IHEDN) ainsi que de l’Institut des Hautes Etudes de Sécurité Intérieure” (IHESI), voici quelques une de ses nombreuses compétences:
TOPICS OF RESEARCH
- Nanomaterials : synthesis, characterisation and physical properties
- Chemical modification of enzymes
- Physical chemistry in condensed matter
- Colloids sciences
- Solar energy
- Photochemistry in gas phase
OTHER ACTIVITIES
- 2006: Chair of a scientific committee of the enginering and material sciences division of the European academy of sciences.
- 2006: Vice-Chair of the committee for professional equality between woman and man in academia and research.
- 2001-2004: Member of the board of “Institut Universitaire de France”.
- 1991-1999: Member of the Education National Comity.
- 1991-1992: Member of the “Institut des Hautes Etudes de Sécurité Intérieure” (IHESI)
- 1990-1992: Chairperson on workshops related to the French Defense research.
- 1989-1992: Consultant at the Minister of Recherche concerning the National Defense 1989: Member of the “Institut des Hautes Etudes de Défense Européenne”.
- 1987-1988: Member of the ’“Institut des Hautes Etudes de Défense Nationale” (IHEDN)1984-1986: Member of National exam in Chemistry
CONSULTING EXPERIENCE
- 1985-2001: Nuclear Center, C.E.A. D.S.M, Saclay, France.
- 1995: Procter & Gamble, Cincinnatti, USA.
- 1990-1994: Société Nationale des Poudres et Explosifs, SNPE, France.
- 1990: Toyota (Japan), Aventis (France), EADS (France).
Il est étonnant qu’une experte en nanotechnologie et ancienne consultante dans le domaine des explosifs n’ait pas les compétences pour commenter, un article sur des explosifs nanothermitiques.
Madame Pileni a également fortement critiqué le jeune journal Open Chemical Physics. Le fait que les autres journaux scientifiques ne l’aient pas encore cité est, selon elle, le signe que le journal est mauvais et ne présente aucun intérêt. Elle dit avoir accepté d’être rédactrice en chef de ce journal scientifique en libre accès car il donnait l’opportunité à de jeunes chercheurs de se faire connaitre. Elle le regrette aujourd’hui : « On ne devrait pas être autorisé à faire n’importe quoi, tout ça ce sont des absurdités. J’essaie d’être une chercheuse sérieuse, et je ne veux pas que mon nom soit associé à ce genre de chose. »
Il semble que l’enjeu politique dépasse de loin l’aspect scientifique. Car si elle déclare ne pas avoir les compétences pour juger l’article elle a pourtant déjà sa conclusion: ce sont des "absurdités".
Le chimiste danois Niels Harrit, un des auteurs de l’article (qui a présenté les conclusions de l’étude sur la télévision danoise) a jugé regrettable la décision de Madame Pileni
« J’ai été surpris, bien sûr, et je trouve cela regrettable si notre travail s’en trouve discrédité. Mais son départ ne change pas nos conclusions, car c’est une affaire purement personnelle qui l’a mise en colère. Je reste convaincu que nous avons fait de la physique chimique et s’il y a des erreurs dans notre étude, nous serions heureux d’entendre ses critiques. » a réagi le Maitre de Conférence à l’Institut de chimie de l’université de Copenhagen.
Source : http://www.911blogger.com/node/19963
Complétement borné celle là ! Qu’elle aille vivre dans son monde de bisounours !
C’est quand même incroyable qu’elle ne se donne même pas la peine de lire le document sachant que c’est pile dans ses cordes…
Merci pour l’article !
« The Open Chemical Physics Journal » :
L’Editorial board : http://www.bentham.org/open/tocpj/EBM.htm
comprend : 98 noms dont 5 français.
Cette publication scientifique est tout à fait surveillée.
Neuf auteurs se sont entièrement impliqués : Niels H. Harrit, Jeffrey Farrer, Steven E. Jones, Kevin R. Ryan, Frank M. Legge, Daniel Farnsworth, Gregg Roberts, James R. Gourley, Bradley R. Larsen.
Ils ont travaillé dans leur domaine de compétence et ne souhaitent pas vraiment s’être trompés grossièrement. Nous attendons tous la contre-expertise et la réfutation de leur conclusion s’il y a eu supercherie de leur part.
Les termes « 9/11 WTC » sont le seul et vrai problème.
« Active Thermitic Material Discovered in Dust from the 9/11 World Trade Center Catastrophe »
Cette découverte ouvre une voie indiscutable à la « révision » de l’histoire officielle si elle est confirmée définitivement.
Le procès Dreyfus a été révisé aussi. Les révisions de l’histoire ont permis de justes réhabilitations lors de grandes injustices.
Ah ahhhhhhh
Cet article fait donc réagir …
Je pense qu’elle a parfaitement lu l’article. Elle veut simplement mettre les distances avec cette article « sulfureux ». Sa démission correspond à une posture obligatoire si elle veut continuer à travailler (avec ses homologues chercheurs à l’université, ou dans le domaine privé, …).
En même temps, peut-être a t’elle raison. Un article de ce type à des teneurs politiques évidentes, ne serait-ce que la recherche de la vérité sur les événements du 11 septembre, qui est un sujet politique, et doublement quand on remet en cause la version officielle. Ce n’est peut être pas le but d’un journal scientifique de s’immiscer dans ces sujets là.
Maintenant, il faudrait regarder l’ensemble des articles publiés dans ce ou ces journaux et peut-être qu’on y trouverait d’autres publications qui sortent du domaine stricte de la recherche. En tout cas, cette étude est scientifique et est sérieuse (puisque publiée dans un journal référé), et ça, cela n’est pas remis en question.
Pour tout dire, je comprend la position de madame Pileni, mais je doute que tous les articles publiés rentrent à 100% dans le domaine de la recherche pure, et que, comme dans toute étude scientifique, il y a une part qui revient à des considérations plus périphériques, dirons-nous… Un sujet aussi brûlant, cela ne passe pas inaperçu, on se serait bien passé d’une telle réaction…
Affaire à suivre? Espérons que non.
ps: Plus les mois voire les années passent, plus le décalage entre les gens qui questionnent la version officielle et ceux qui ne le font pas produit un effet étrange. J’ai parfois l’impression d’être dans un livre d’histoire, ou les principaux acteurs (chefs d’états, idéologies dominantes, …) sont en train de se rendent ridicule aux yeux de la postérité, sans le savoir. C’est assez navrant comme constat.
Oui, comme dit Simon, c’est assez navrant…
Je ne suis pas entièrement d’accord avec lui quand il dit que ce n’est pas le rôle d’un journal scientifique de traiter un sujet avec un fond nettement politique. Car avec ce genre de constat, on finirait par déclarer que ce n’est pas le rôle d’un journal économique de parler des probables délits d’initiés liés au 11 septembre par exemple; ça devient une voie facile pour éviter les sujets brûlants….
Mais son constat est juste je trouve, surtout quand on constate que le principal intéressé, Obama, refuse de rouvrir une enquête sur le sujet, et fait de même avec les tortures de la CIA (décision du 16 avril: il a déclassifié de nombreux documents d’interrogatoires dont semble-t-il un extrait terrifiant a été publié dans le Monde, et décidé de mettre fin à ces pratiques; mais personne ne sera poursuivi…. Info du journal suisse romand l’Hebdo de cette semaine).
Il est ridicule de déplorer que l’article dont il est question ait une incidence politique. De tout temps, la science et la politique ont été intimement mêlées. Qu’on pense à Galilée, Laplace, Carnot, Einstein, etc.
Mais pour s’en tenir à l’histoire récente, je ne mentionnerai que le rôle que le physicien américain Richard Feynman a joué dans l’enquête sur la catastrophe de la navette spatiale Challenger :
http://www.fotuva.org/feynman/challenger-appendix.html
http://creepyoldguys.wordpress.com/2007/10/02/feynman-solves-challenger-mystery/
Je me permets de citer la conclusion de l’article de Feynman, que plusieurs auraient intérêt à méditer :
« For a successful technology, reality must take precedence over public relations, for nature cannot be fooled. »
c’est pénible les gens qui refuse la vérité et préfère le mensonge
commnt les gens peuvent ils être aussi mauvais
3000 morts et les gens continu de masqué la vérité quel honte !
Elle m’a dit avoir lu l’article, mais dans l’ensemble, comme elle le dit, ne l’a pas commenté sur le fond (j’ai lu ailleurs qu’elle s’était déclarée incompétente)(sic).
Sans partir dans la grande théorie du comple, le Pr Pileni dirige de nombreux étudiants. Sa motivation initiale pour participer à Bentham a toute les chances de profiter de tarifs avantageux (voir gratuit) pour soumettre des articles de ceux-ci puisque c’est en gros la manière dont sont récompensés les participants au staff éditorial.
Si elle n’a pas été prévenu, il est crédible qu’elle soit assez faché car, particulièrement en ces temps de réforme de la recherche, elle (et ses doctorants) n’ont rien à gagner à être associé à ce genre de publication politique. Il se peut que le simple sentiment de responsabilités pour ceux qui dépendent d’elle motive son desistement.
Il serait en tous cas bon de voir une réponde de Bentham à ce sujet… J’aimerais savoir en particulier si elle n’a vraiment pas été prévenu ou si elle a tout simplement été négligente.
Pour ce genre de personne,c’est la carrière qui prime sur tout le reste..
Sur le fond :
http://www.bastison.net/ALCHIMIE/Harrit.pdf
Les nouveautés :
* des peintures aussi énergétiques que la thermite, c’est prouvé… avec les références
* L’ensemble de la structure cristalline est maintenant identifiée avec quasi certitude( Fe203, Kaolinite, Matrice carbonée).
La copie est à revoir…
« achab
Pour ce genre de personne,c’est la carrière qui prime sur tout le reste. »
ca me fait penser à une citation :
« Il est difficile de faire comprendre quelque chose à quelqu’un, lorsque son salaire lui impose de ne pas comprendre. »
Sinclair Lewis.
Au delà du débat, il faut tirer au clair les circonstances de la réaction de Mme Pileni.
Il faut aussi tirer au clair la démission de M. Andersen, le doyen de l’université de Copenhague, donc « patron » de Harrit, du poste de membre du bureau éditorial d’OPEN PHYSICS. Il dit avoir été dans le passé consulté 2 fois, mais qu’il avait décliné sa participation, car le sujet était en dehors de son champ de recherche. et que sa démission n’est pas liée à la publication de cet article… A approfondir, non?
Reste qu’en France le pilori est dressé en permanence dès que ce sujet sensible s’en va se frotter de trop près, aux yeux des potentats de tous poils, aux médias. Chauprade, Coq et Deniau en exemple … Cela peut aussi expliquer la réaction de madame Pileni. Mais Il est surtout difficielement imaginable que Mme Pileni n’ait pas été au courant de cette publication, et tout aussi difficilement imaginable qu’elle ait approuvé cette publication si elle avait été au courant, vu sa position extrèmement proche du sujet traité, ne lui en déplaise. Donc une enquête interne à BENTHAM s’impose, il en va de la crédibilité de l’article et de l’éditeur.
Et si ces chips sont de la peinture (apparemment ils sont de la même couleur que la peinture des structures du WTC), il est urgent que BENTHAM publie un contre article s’ils ne veulent pas passer pour des demeurés aux yeux de la communauté scientifique.
Je rappelle qu’apparemment aussi Jones avait réfuté cette thèse dès les débuts de ses travaux. Harrit le rappelle peut-être un peu trop succintement au lu des réactions, en bas de page 1 de sa publication:
« Initially, it was suspected these might be dried paint
chips, but after closer inspection and testing, it was shown
that this was not the case ». / » Initialement, il a été suspecté que cela pouvait être des particules de peinture dessêchée, mais après un examen approfondi et des tests, il a été montré que ce n’était pas le cas. »
A moorea34 Il est urgent de PUBLIER une copie qui revoie ces tests le cas écheant.
Tout ceci est passionnant. A suivre.
Donc, d’après les scientifiques patentés de Bastison : » oxyde ferrique, kaolinite, et une matrice carbonée » sont les seuls constituants de la » peinture tout à fait normale » et AUSSI ÉNERGÉTIQUE que la thermite, qui a engendré l’explosion/pulvérisation intégrale de trois tours en acier le 11/9 ? (laquelle pulvérisation se constate simplement – avec trois grains de bon sens – à l’oeil nu)
Je vais commencer à m’inquiéter sérieusement quant aux capacités explosives de mon propre immeuble d’habitation, en cas d’incendie malencontreux . Et Il faut derechef que je prévienne mon syndic de la dangerosité de nos peintures de revêtement !
Et est-ce que les savants experts de Bastison ont aussi analysé au microscope les innombrables témoignages de témoins, pompiers, survivants, sur les explosions – très- violentes – perçues avant, pendant, et après l’impact des avions ? Se sont-ils questionné sur les nuages d’apparence pyroclastique, remplis de nanoparticules, qui en ont suivi sur de grandes distances?
Les nanotechnologies existaient-elles déjà en 1970 ?
Ou les peintures nano-thermitiques ?
Pas que je sache…
Mais bon, nous voilà rassurés à présent (si l’on peut dire !) :
Un peu de Fe2O3, de kaolinite, et une bonne matrice carbonée, vous mélangez bien le tout en une belle peinture homogène et vous faites sauter, en quelques coups de pinceau, le coeur financier de Manhattan. (30 ans plus tard)
-> Moorea34 :
Dans le document Harrit.pdf que tu nous fournis, à la page P4/17, en haut, il est présenté une photo des résidus/déchets que l’on trouve le long des voies SNCF après qu’une équipe ait réalisée la soudure de rails par aluminothermie. Seulement, les résidus présentés sur la photo sont les fragments du creuset qui a été disposé autour du point de soudure, et qu’il a fallu briser ensuite pour mettre à nu la soudure (pour en meuler les irrégularités et laisser le plan de roulement du rail lisse).
D’une part on ne peut pas comparer les fragments de thermite trouvés dans les poussières de Manhattan (qui sont des réactifs non explosés) avec les morceaux du creuset, même si la couleur rouge de la brique est ressemblante, mais en plus, dans la soudure de rails, TOUT le réactif alumino-thermique est consumé, car la soudure se déroule dans un espace confiné (le creuset) jusqu’à consommer l’ensemble du réactif et ensuite refroidit lentement. Il n’y a, à l’issue de la soudure, aucune trace du réactif alumino-thermique d’origine, seul reste un alliage d’acier et d’aluminium (alliage que l’on ne peut obtenir qu’avec l’alumino-thermie, car les métaux Fer et Aluminium ont des points de fusion très différents, ça nous renvoie à la découverte de la « méthéorite » sous les décombres du WTC, bloc de plusieurs tonnes mélangés de Fer et d’Aluminium …)
C’est exactement avec ce genre de comportement lâche, egoiste et immature que la vérité a pu être aussi bien cachée pendant 8 ans et ça continue …
Honte aux scientifiques peu scrupuleux qui n’ont que faire de l’éthique, de la morale et de l’Humanisme.
Madame Pileni ainsi que tous les scientifiques qui ont participé à dissimuler la vérité seront jugés par nos futurs historiens au même rang que ceux qui fermirent les yeux durant l’Inquisition, la colonisation, l’esclavage ou la shoah.
Autrement dit ils seront considérés comme responsables puisqu’ils détiennent le savoir de la Science.
C’est ça, conservez à tout prix votre petit train-train de consommateur acharné totalement abruti [et heureux de l'être] par les stratégies mercatiques et les mass médias, l’Histoire ne se rappellera pas de vous.
La vérité SERA officiellement écrite, il suffit d’y travailler chacun de son côté.
Le temps nous donnera raison, c’est inéluctable.
C’est normale que cette dame réagisse de la sorte,elle est quand même rédactrice en chef!! Si l’article, et plus encore l’enquête, ont été faits a son insu, je me mets un petit peu à sa place.
Moorea34 est Jérôme Quirant (ou bien l’un de ses disciples) chercheur au CNRS, et il me semble bien être dans la même posture que Pileni,
ou bien dans une autre, financièrement plus confortable ?
– oui, je sous entend bien qu’il est probablement payé par l’état pour inventer tout ce qui est possible pour discréditer les théories remettant en cause la VO, notamment par le biais de son site bastison –
un imposteur de plus !
Merci de rester courtois!
Moorea et Yodir vos compétences semblent faire avancer le débat cela est profitable à la recherche de la vérité.
Dan cette news il y a deux éléments:
1. la fiabilité de l’étude de Harrit
2. la réaction épidermique dès que le sujet du 11 septembre est abordé.
Pourquoi une publication scientifique même si elle est imparfaite ou critiquable, peut-elle amener à démission ?
Merci Yodir, je vais vérifier mes sources….
Thermite ou pas, le mouvement doit en tirer les conséquences: Plus que jamais nous devons dissocier les spéculations gratuites, telles qu’elles circulent abondamment sur le forum de ce site et ailleurs, notamment parmi les défenseurs des différentes versions officielles (si si: tous les rapports informatifs officiels ne se ressemblent pas), des vraies recherches qui nécessitent beaucoup de compétences et de prudence.
Je rappelle avec insistance au passage que le rapport de la commission du 11/9 n’a aucune valeur juridique -Kean et Hamilton l’ont écrit noir sur blanc-, ni le rapport du NIST, ni celui de la FEMA, ni celui du Congres. Cela se saurait! Ils ne sont pas là pour juger, mais pour informer…. Leurs signataires l’ont tous souligné, comme le rapporte charmord pour le NIST sur le fil concerné sur le forum.
Plus que jamais aussi, nous devons donc nous attacher à ne prendre en compte dans nos analyses que ce qui juridiquement tient la route. Le reste n’est que ragots. D’ailleurs appel est lancé ici, pour renforcer les effectifs et compétences juridiques de l’association, à de nouveaux talents dans ce domaine, car de ce point de vue, le dossier du 11/9 est une injure à la justice, qu’elle soit d’origine historique, coutumière, jurisprudentielle ou législative.
Ceci dit, quand bien même il s’agirait de peinture, il y a un ensemble de questions convergentes auxquelles les chercheurs qui les posent, tels que Griffin, aimeraient obtenir des réponses officielles.
Donc si c ‘est de la peinture, le fait d’avoir donné à cette recherche un caractère officiel devrait a minima obliger les défenseurs de l’hypothèse peinture, à répliquer officiellement eux-aussi.
Ce qui permettrait au passage d’exposer un peu plus dans les medias, les innombrables questions rattachées à celle de la « disparition » des tours du WTC. Et donc je prédis qu’il n’y aura pas de réponse officielle à cette publication (n’est-ce-pas moorea34?), le risque de répandre a minima toujours plus de doutes étant jugé par les ultimes et vrais auteurs de la version officielle plus grave que celui d’établir la vérité…
D’où aussi la seule issue pour faire avancer la cause: Que BENTHAM dise la vérité, et publie elle-même une éventuelle contre-expertise, et a minima un communiqué de presse qui rende plus explicites les conditions exactes dans lesquelles sont intervenues les démissions de M. Andersen et de Mme Pileni.
Il en restera toujours quelque chose.
Bien vu Yodir parfois les légendes sont trompeuses…
Vu qu’on trouve la thermite plutôt sous forme de poudre ça aurait dû m’alerter. Je ne suis pas très malin.
Je corrigerai ça très vite.
Merci encore.
-> Moorea
Suite de l’analyse du document Harrit.pdf :
il est expliqué dans ce document que la peinture et la poudre alumino-thermique dégagent, en brûlant, quasiment la même quantité d’énergie, donc les physiciens auraient pris des fragments de peinture pour des explosifs !
Pour avoir été témoin de la soudure alumino-thermique de rails (et, encore, pas une nano-poudre aux propriétés amplifiées par la cohérence du mélange oxyde de Fer-Aluminium), je peux assurer que l’embrasement du réactif est soudain, violent (on fait quelques pas de recul devant ce feu diabolique), qu’on ne regarde pas le foyer à l’oeil nu (comme une soudure à l’arc), et que ça n’a rien à voir avec la combustion lente et progressive de la peinture (fut-elle à base de solvants pétrochimiques).
D’autre part, le professeur Steven Jones avait déjà, par le passé, démontré la présence de la signature chimique des composés aluminothermiques (« Thermite ») sulfurés (« Thermate »), dans les échantillons de poussière récoltés aux quatre coins de Manhattan. Il a fait à ce sujet des conférences et des diaporamas.
Morrea, la fiole l’anthrax brandit par colin powell à l’ONU était aussi une légende :-) Tu as oublié de le mettre sur ton site ^^
L’autre effet révélateur de l’usage de l’alumino-thermie le 11 septembre à New-York, c’est que ce réactif est très oxydant, limite corrosif.
Il a continué à se consumer longtemps après l’effondrement des tours (nuages de vapeur d’eau au dessus de ground zero tandis que les pompiers arrosaient les décombres, points chauds vus par un satellite de la Nasa en imagerie thermique, des semaines après le 11 septembre; pourquoi les pompiers arrosaient tant ground zero ? parce que les semelles de leurs bottes fondaient).
Il a littéralement bouffé les carrosseries des véhicules garés à proximité des tours jumelles (voir les photos des épaves calcinées autour de ground zero et de celles déplacées vers le New-Jersey). Ces épaves ont simplement été recouverte par la poussière/nuées ardentes (on dit aussi coulées pyroclastiques).
Il a provoqué l’oxydation-sulfuration des poutrelles du WTC7 (voir le rapport du NIST qui constate les dégâts sans pouvoir expliquer ce qui a bien pu provoquer cette corrosion jusqu’au coeur du métal).
@ Moorea
« * des peintures aussi énergétiques que la thermite, c’est prouvé… avec les références »
Et c’est toujours hors sujet. Au passage j’aimerais bien savoir ce qui se passe dans votre tête quand vous enchainez à quelques lignes du « la nano thermite de Jones est plus faible que du Carbone » puis un graph avec pleins de nanothermites connus plus faibles que du Carbone, et que l’échantillon de Jones ?
« * L’ensemble de la structure cristalline est maintenant identifiée avec quasi certitude( Fe203, Kaolinite, Matrice carbonée). »
Fe203 et matrice carbonée, c’est déjà ce que dit l’article, merci du scoop :P
Par ailleurs la Kaolinite est toujours invalidée par
- le test d’ignition*
- le test de resistance
- et au passage son DSC qui démarre bien après celui des rep chips (80°c, une paille…).
En outre la réfutation du test au solvant, prétendant que l’échantillon utilisé était différent, ne fait pas grand sens. Il n’y aurait pas de kaoline dans celui là, mais dans tous les autres ? Magisme ?
@ Simon :
« En même temps, peut-être a t’elle raison. Un article de ce type à des teneurs politiques évidentes, ne serait-ce que la recherche de la vérité sur les événements du 11 septembre, qui est un sujet politique, et doublement quand on remet en cause la version officielle. Ce n’est peut être pas le but d’un journal scientifique de s’immiscer dans ces sujets là. »
Tu te trompes, mon cher. Constater physiquement, et la démontrer chimiquement, la présence de nanothermite dans les débris du WTC ne relève aucunement de la politique, mais de la science. Au contraire, ce qui relève de la politique, et partant de la science-fiction, c’est de plaider la véracité a priori de la version offcielle, nonobstant les faits scientifiquement étayables et au nom de l’éternel préjugé « moral » des Clercs en faveur des vainqueurs. Ceux que l’Histoire appelle les Justes, ce sont les vainqueurs justement. C’est pourquoi ceux que la Science appelle les fous, sont bien souvent les preux…
La science n’est le réel qu’autant qu’elle n’a cure de morale. Inversement, la morale n’est la science qu’autant qu’elle répudie le réel.
En somme, si l’on prend la peine de résumer un peu les choses de la manière la plus objective qui soit, on a un collectif de scientifiques, patronné par un professeur en chimie, auteur de nombreuses publications, le Professeur Niels Harrit. Ce collectif rassemble divers scientifiques expérimentés, peu satisfait des explications données par le Nist et intrigué par les multiples indices d’utilisation d’explosifs et les multiples zones non explorées par le Nist.
Ce collectif a récolté par divers moyens des échantillons de poussières prélevées très tôt après les effondrements. Une analyse de plusieurs années, concrétisée dans un article peer-reviewé pendant plusieurs mois, les amène à conclure à l’utilisation effective de nano-thermite.
Ces conclusions sont contestées par un certain nombre d’autres scientifiques. Les raisons invoquées sont grosso modo le non respect des règles de méthodologie les menant à contester la véracité des conclusions du collectif. La plupart des opposants à la thèse des nano-thermites soutiennent l’idée que les chips rouges seraient en réalité des échantillons intactes de la peinture utilisée dans les tours pour protéger les structures, le kaolin. Toutefois, cette idée est considérée comme aberrante par les scientifiques défendant l’idée que ces chips rouges sont des résidus de nano-thermites.
Il y a donc controverse sur ces points là notamment.
La question qui se pose est de savoir comment se positionner par rapport à cette controverse et ce quelle que soit les connaissances et la compréhension des expérimentations et analyses qu’elle sous-tend. Faut-il nécessairement se rallier à un camp ou existe-t-il une manière plus objective d’approcher les choses qui permette de transcender les aspects techniques controversés pour lesquels une immense majorité de la population n’est pas suffisamment informée?
A mon avis, si l’on en revient aux principes mêmes, il est possible d’opter pour la seconde voie et celle-ci mène tout droit au constat qu’il est indispensable de lancer une enquête rassemblant un grand nombre de scientifiques en les dotant des moyens financiers et technologiques qui ont manqué au collectif de scientifiques.
En effet, un premier constat irréductible s’impose : Le type de recherches qui a été mené par le collectif de scientifiques patronné par Haritt n’a pas été mené par le Nist qui comptait pourtant en ses rangs, ainsi que cela a été démontré par K. Ryan, de nombreux scientifiques américains spécialisés dans les nanotechhnologies et même dans les nano-thermites, soit un domaine très peu exploré apparemment dans la science classique de type civile mais qui semble avoir connu un développement important sur le plan militaire si l’on donne fois aux nombreux articles cités par les auteurs de l’étude controversée.
On peut même dire, de manière plus générale, que le Nist s’est abstenu d’analyser tous les indices potentiels de l’utilisation d’explosifs, clamant haut et fort dans les FAQS qu’il n’y en avait pas mais en admettant par ailleurs, qu’il ne les avait pas recherchés.
Quel que soit le camp où l’on se trouve dans cette controverse, il ne faut pas être un grand scientifique pour découvrir l’indigence faramineuse de ce sophisme. Le fait est que le Nist comptait en ses rangs une armée de scientifiques qui aurait pu faire oeuvre utile en procédant notamment à une analyse métallurgique des rares sections d’acier conservées (1% seulement) ainsi que de tous les résidus (poussières, …) de Ground Zero, pour y rechercher des traces d’explosifs ou d’accélérants.
D’ailleurs, non seulement c’était possible mais en plus c’était prévu par un standard en vigueur qui prévoyait que l’investigation scientifique d’événements de type incendies s’accompagnant de la pulvérisation de solides (ce que l’on appelle « high order damage » ) doit nécessairement s’accompagner d’une recherche de traces d’explosifs.
Le Nist n’a pas suivi ce standard et n’a donné aucune raison valable de s’écarter de cette norme pour les twin towers, préférant, au contraire, appuyer sur la touche mute lorsqu’il s’agissait d’aborder les indices nombreux d’explosions, engins secondaires, bombes, …
Au surplus, de nombreuses vidéos (voir lCFC, notamment) montrent effectivement que nombre de personnes bien placées ont entendu et vécu des explosions à des moments distincts de ceux des crashes des tours et des effondrements. Ces explosions étaient très puissantes et un journaliste indique même qu’une énorme explosion intervenue juste après l’arrivée massive des pompiers et secouristes, pourrait avoir fait des victimes tout en précisant qu’un énorme panache de fumée s’en est suivi. Il précise pour autant que de besoin cette explosion massive était antérieure et distincte de l’effondrement de la tour.
http://www.youtube.com/watch?v=Bjezhp0rL3M
Il ne s’agit pas d’un témoignage isolé. D’autres témoignages parus récemment sont encore plus troublants :
http://www.youtube.com/watch?v=rdjOLY6P1Pc
Ce que j’en comprends : On y voit un homme interrogé par téléphone sur une chaîne américaine le 12 septembre 2001. C’est un médecin qui avait été appelé sur les lieux. Il est visiblement sous le choc (état d’émotion extrême, pleurs). Au moment d’opérer dans les sous-sols pour sauver des vies (il a fait une vingtaine d’aller-retour) où les pompiers étaient présents, il a croisé un agent du FBI et un membre de la bombsquad. Je pense qu’il situe cette rencontre à peu près au moment le second avion a frappé. Il s’est alors adressé au type du FBI en lui demandant : est-ce normal que la chasse soit absente, est-ce que l’on est pas supposé être préparé pour ce genre d’attaques? A ce moment, il a vu arriver des gens de la bombsqad et leur a demandé s’ils étaient à la recherche de « secundary devices » car il pensait que s’ils avaient manqué la cible une fois (référence à 1993), ils ne rateraient pas leur coup une seconde fois et réussiraient certainement à descendre la tour. Il ajoute que les avions n’étaient juste qu’une « distraction » destiné à couvrir le véritable modus operandi des terroristes, dans ses mots. Ils avaient probablement placé des bombes dans les garages ou ailleurs, renchérit-il. Il s’est alors adressé directement au gars du FBI et lui a demandé : vous savez bien que cette tour va tomber, n’est-ce pas? Et le type du FBI lui aurait confirmé que oui, les tours vont tomber. Après quoi, les pompiers et le FBI leur auraient dit de sortir car c’était trop dangereux et qu’ils pourraient y rester. Peu apès être sorti, il a entendu une gigantesque explosion distincte de l’effondrement de la tour qui a suivi!
Cette interview est extraite des programmes de C-Span qui a mis en vente tout le programme dont est extrait ce témoignage. Il dure 4 heures 2 min et a été diffusé en direct à l’antenne de 6h à 10h le mer 12 sept 2001, puis rediffusé plusieurs fois en morceaux de 20 minutes les 15 et 16 sept.
A nouveau, je ne crois pas que l’on détienne avec ces témoignages des preuves formelles et définitives de l’utilisation d’explosifs mais le fait est que ce genre de témoignages a bel et bien été mis entre parenthèses par le Nist et est radicalement passé sous silence dans le site, sous prétexte de non fiabilité des témoignages dans le site de J. Quirant, le premier n’ayant pas cru bon de donner une explication rationnelle à tous ces témoignages de personnes ayant vu, entendu ou ressenti des explosions!
Cela me paraît INCONCEVABLE et je me fous radicalement de savoir les opinions des debunkers masqués sur ce qu’auraient pu être les causes de ces explosions. Ils n’ont pas plus qualité que moi pour combler les failles béantes des rapports censés établir la véracité de la théorie officielle qui n’est à ce jour qu’un mythe pur et simple!
Comment peut-on raisonnablement estimer que les nombreux témoignages et autres indices tels ceux récemment mis à jour, de leur point de vue en tout cas, par le collectif de scientifiques patronnés par Haritt, concourrants à l’idée que des explosifs aient été utilisés pour la ruine des tours, aient pu être négligés tant par la Commission que par le Nist?
N’est-il pas objectif de considérer dans de telles conditions que l’enquête doit être poursuivie afin qu’un collectif de scientifiques poursuive les recherches menées par le Nist et contrebalance l’hypothèse que ses ingénieurs ont élaborée avec une autre hypothèse ou la destruction des tours serait intervenue suite à l’utilisation d’explosifs.
Il n’est d’ailleurs pas souhaitable de confier cette tâche au Nist vu la partialité et le manque d’objectivit de ses précédents rapports, outre une indigence de méthodologie dont il n’est pas sot de l’ attribuer non tant à l’incompétence de ses ingénieurs qu’à la dépendance organique de l’Institut au Secrétaire d’Etat au Commerce.
Le Nist est en effet sous le pouvoir hiérarchique direct du Gouvernement US, par le truchement de son Secrétaire d’Etat au commerce.
Une autre raison mène à ce constat : le Nist n’a pas vocation à concourrir à l’investigation criminelle; d’ailleurs chacun des chapitres du rapport qu’il a écrit mentionne à titre liminaire que le rapport ne pourra en aucun être produit en justice, tant au niveau civil que sur le plan répressif.
Il est tout de même étonnant dans ces conditions que certain debunkers hantant les forum consacrés au sujet, continuent à clamer que la version du Nist est une preuve de la véracité de la théorie officielle des effondrements, alors que les ingénieurs du Nist ont pris la peine de préciser eux-mêmes que leur rapport ne pourrait jamais servir de preuve!
Pour conclure, la voix médiane transcendant la controverse suscitée par la publication récente de l’article scientifique de Haritt et Co, celle de la sagesse, des principes démocratiques et du respect de la mémoire de toutes les victimes directes et indirectes de ces attentats est donc EVIDEMMENT, celle consistant à poursuivre l’enquête en lui donnant les garanties de probité et indépendance que requiert sa tâche, outre des moyens suffisants.
A+
@ Atmoh
Désolé si j’ai manqué de courtoisie, je ne veux aucunement ternir l’image de votre site…
…mais on ne peut pas dire que ceux qui nous traitent de « négationnistes », de « paranoiaques », voire parfois, comme je l’ai lu dans un article complètement surréaliste d’un pseudo-économiste nommé Alain Sueur (pseudo Argoul) de « fanatiques de droite antijuifs » fassent eux même preuve de courtoisie.
C’est pourquoi je me suis permis de rappeler que Jerome Quirant (pseudo Moorea34) bosse pour le CNRS et qu’il est par conséquent dans une posture très délicate semblable à celle de Mme Pileni.
La réalité est que la guerre contre la vérité devient pour ces nombreux scientifiques qui ont eu le malheur de se prononcer sur le 11 septembre une vraie lutte pour conserver leur emploi et leur statut.
Il est donc logique que certains aient la pression des hautes autorités et soient amenés à créer des sites tels que bastison.
Mon oncle est scientifique dans l’armée et il n’a même pas voulu me dire, à moi, son neveu, son opinion sur le 11 septembre : il m’a dit qu’il attendait la retraite pour s’y pencher !
Tant d’évidences logiques et on chipote sur des chips rouges !
Par exemple pourquoi, si la VO tient debout, on ne nous montre pas les 86 videos du « crash sur le pentagone » ?
Avec ces chipotages ils gagnent du temps c’est tout.
Science sans conscience n’est que ruine… du WTC
@ qui est moorea34
« C’est pourquoi je me suis permis de rappeler que Jerome Quirant (pseudo Moorea34) bosse pour le CNRS et qu’il est par conséquent dans une posture très délicate semblable à celle de Mme Pileni. »
C’est une affirmation sans fondement. Je ne défend évidement pas JQ sur le fond, je ne suis pas d’accord avec lui. Mais je doute que sa démarche vienne de son affiliation au CNRS. Il s’est lancé dans sa démarche de manière volontaire alors que Mme Pileni est « contrainte » à la démission parce qu’elle ne veut/peut pas cautionner cette publi.
Ce qu’on peut reprocher à JQ c’est par exemple de réfuter la thèse de Harritt & Co en affirmant que les chips sont de la peinture ou plutôt pourraient être de la peinture. Cependant, il masque volontairement le fait que Harritt & Co se sont posé cette question et y ont répondu dans le papier, avec diverses mesures … conductivité par exemple. Bref il fait une présentation malhonnête des travaux de Harritt & Co.
Si JQ veut vraiment réfuter la thèse de Harritt & Co, qu’il demande des échantillons aux auteurs et identifie la peinture précisément, puisqu’il est persuadé que c’est de la peinture. Et qu’il publie alors ses résultats. Ca ferait avancer le débat de manière plus intelligente que de passer son temps à « prouver » que Harritt & Co ne peuvent que se tromper car « la VO est vraie ». Ceci est futile. Tout le monde sait que la VO est une fable pour enfants. Mais ça ne donne pas pour autant automatiquement raison à tous ceux qui avancent des thèses alternatives.
Il y a une chose qui serait intéressante à savoir, c’est : est-ce qu’ un explosif de type nanothermite peut se présenter sous d’une forme de poudre suffisamment fine pour être mélangée à de la peinture.
En effet, cette possibilité serait alors à corréler avec les hypothèses d’introduction de ces explosifs dans les tours et sur la manière d’opérer pour les démollitions.
Il faut rappeler qu’une rénovation majeure des tours du WTC étaient en cours deuis Mars 2001, avec notamment la rénovation des ascenseurs par la société ACE ELEVATOR CO. (c’est Richard Gage qui l’a rappelé dans sa présentation). On ne veut pas dire par là que l’entreprise de maintenance d’ascenseur faisait aussi de la peinture, ce qui serait évidemment sujte à une critique immédiate, mais que le périmètre complet de cette maintenance serait à investiguer. En tout cas un certain nombre de gens avaient accès au coeur des tours, et on pourrait imaginer qu’on est pu aussi en profiter pour repeindre l’intérieur avec une peinture « spéciale » (sans d’ailleurs que le peintre lui-même en ait conscience, c’est un point crucial).
On a d’autre part une forte hypothèse sur l’écroulement proprement dit des tours jumelles, qui présente bien des aspects d’une démollition contrôlée de par sa vitesse (= temps de chute libre) mais,et contrairement aux cas classiques, semble partir du haut, plutôt que du bas (la réalité est qu’il fallait absolument faire croire que ça partait du haut, puisque c’est l’impact avion qui était sensé en être l’origine).
Or la spécificité de ces deux tours , c’est d’être construites en deux structures : la structure acier du coeur, et la structure acier de périphérie. Il est possible d’imaginer (et certains architectes et scientifiques ont déjà creusé le sujet) que l’intérieur a pu être soumis à une démollition contrôlée de type classique (du bas vers le haut) , et évidemment invisible de l’extérieur du bâtiment, et que l’extérieur a lui subit soit un effondrement, soit une démollition à partir du haut, ou les deux, simultanément avec l’intérieur. On notera d’ailleurs que ça donne lieu à une critique facile des pro-démollitions car la démollition n’est effectivement pas classique a priori.
La FEMA et le NIST ont volontairement éviter de donner trop d’importance à l’existence de la structure du coeur. On a même une image de simulation bien connue qui montre des poutres qui fléchissent par le feu et qui ne sont suspendus qu’à leurs extrémités, avec aucune mention à un maintien par le milieu.
Donc l’hypothèse qu’on ait pu atteindre le coeur des tours afin de les repeindre, au cours d’une maintenance tout ce qu’il y a de plus officielle , avec une peinture chargée d’explosifs est en ligne avec une démollition favorisée par la spécificité de la double structure de ces tours (d’où sans doute le choix de celles-ci) pour fournir une explication globale à cet évènement. On adresse là un point crucial qui demanderait par lui-même des complément d’études spécifiques.
@moorea34
avez-vous déjà vu un véhicule dont le capot et le moteur ont FONDU ????
eh bien regardez cette video.
http://www.youtube.com/watch?v=YzJehD0eSYQ&feature=related
question (et vous avez tout votre temps pour rendre votre copie): source / niveau / durée de la chaleur ? matériaux qui ont permis la fonte du métal?
bon…. je ne suis pas chimiste, mais j’aimerais que certaines hypothèses soient vérifiées expérimentalement. Avec la prime à la casse, et de la poudre telle que celle trouvée par Harrit and co, je veux bien voir le résultat. Pas vous ?
j’ajoute qu’il y a de nombreux témoignages de dégagement de chaleur avec le nuage d’apparence pyroclastique qui s’est écoulé des tours dans les rues attenantes, sachant qu’en ce jour de septembre il faisait déjà frisquet, dans les 13/14°, avec un vent moyen. Donc au mileu c’était du trés chaud.
@ Dominique LW
« Tout le monde sait que la VO est une fable pour enfants. Mais ça ne donne pas pour autant automatiquement raison à tous ceux qui avancent des thèses alternatives. »
D’accord, biensur ils n’ont pas tous raison, mais alors pourquoi un chercheur au CNRS essaie-t-il par tous les moyens de démontrer que la VO est vraie ?
Est-il simplement un bêta bien formatisé ? ou alors a-t-il des directives ?
Pour cacher une supercherie telle que le 11 septembre pendant 8 ans, j’imagine qu’il faut énormément de moyens et de corruption… il y a forcément des scientifiques très au courant mais ils ne diront rien car ils sont tenus en laisse.
Vous remarquerez d’ailleurs que Jerome Quirant n’a pas réagi à mon commentaire.
Il est vrai qu’on peut être sincère et se tromper, qu’on soit dans un « camp » ou dans l’autre. Mais il est tout aussi certain qu’on n’a jamais raison quand on n’est pas sincère, quand on en est réduit à dissimuler, à déformer ou à mentir pour faire prévaloir une thèse au détriment d’une autre. La sincérité, l’honnêteté intellectuelle, c’est ce qui fait toute la différence. Les premiers méritent respect et attention, quelle que soit la thèse qu’ils choisissent de défendre. Les autres sont à mépriser.
Exemple de mensonges grossiers proférés, à propos de « Loose Change Final Cut », par le journaliste (sic !)Philippe Alfonsi sur Europe 1 en septembre dernier :
http://www.dailymotion.com/relevance/search/Philippe+Alfonsi/video/x6ru5e_reponse-a-alfonsi-et-ruquier-bigard_news
A ce point, c’en est pathétique. A moins qu’il soit aussi miraud que dur de la feuille (confondre l’allemand et le néerlandais…).
@ qui est moorea34 ?
« D’accord, biensur ils n’ont pas tous raison, mais alors pourquoi un chercheur au CNRS essaie-t-il par tous les moyens de démontrer que la VO est vraie ? »
Parce que c’est un « enfant » … Je veux dire oui, il est évident qu’il CROIT à la VO. Et comme beaucoup de ceux qui y croient, je pense que ça n’a rien à voir avec la raison, mais tout à voir avec la peur. La peur du vide terrifiant que comble la VO : l’Etat, la démocratie, l’Occident sont là pour nous protéger, pas pour nous attaquer et nous manipuler.
A ma connaissance, le CNRS ne diffuse aucune directive ni aucune menace par rapport au 11/9.
Je suis ancien directeur de recherche au Cnrs. La réaction de cette femme ne m’étonne guère, étant données les boutiques pour lesquelles elle a travaillé. L’indépendance du monde scientifique est un mythe. L’auteur de l’article a la bonne réaction en demandant des critiques d’ordre technique. J’essayerai personnellement de le rencontrer en mettant, si faire se peut, mes capacités de vulgarisateur pour tenter de donner un peu de clarté sur ces explosifs assez sophistiqués. La « thermite » n’est que le prolongement d’une technique ancienne appelée » aluminothermie », où de l’Aluminium et de l’oxyde de fer se combinent. La réaction est évidemment d’autant plus rapide que le mélange est intime. De telles substances peuvent être aisément réduites en poudres à l’échelle du micron. Un nanomètre est un millième de micron. Peut-on assurer un mélange à ces échelles ? Avec quelle technique ? Ceci suffit-il a transformer le mélange en explosif. Utiliserait-on un additif, et si oui, quelle serait sa fonction ? Dans tous les cas de figure, s’il est relativement aisé de réaliser des boyats à l’échelle du micron, le fait de produire des composants ayant des échelles nanométriques ne doit pas être à la portée du premier venu. S’il est possible de faire exploser de la nanothermite, est-ce une déflagration (propagation du front de réaction rapide, mais subsonique, à quelques centaines de mètres par seconde) ou une déflagration (propagation du front de réaction à vitesse supersonique, à quelques milliers de mètres par seconde) ? Autant de questions sur lesquelles nous tenterons d’apporter un peu de clarté. Y a-t-il combinaison de deux substances, l’une ayant un effet brisant et l’autre produisant un fort dégagement de chaleur ? Voilà des questions qu’on aimerait bien poser à cette chercheuse démissionnaire. Il y aurait aussi des masses de questions à poser aux spécialistes des démolitions contrôlées, sur la façon dont ils parviennent à cisailler des poutres de forte section, qui apparaissent comme fondues. On utilise l’effet de charge creuse et dans ces cas là on sait que ce qui perce ou cisaille, c’est un dard ou une lame de plasma. A quelle température ? Quel type d’explosif est utilisé pour les démolitions contrôlées ? Qu’est-ce que ça donne comme résidus ? Peut-on identifier l’explosif en analysant ces résidus ? Logiquement oui.
La réaction de cette femme me rappelle celle du sociologue Pierre Lagrange, dans l’émission d’Arte de 2004, dont le discours pouvait se résumer à « ces questions ne devaient pas être posées ». Là, cela donne « ces analyses n’auraient jamais du être faites ».
@ Dominique LW
« Parce que c’est un “enfant” … Je veux dire oui, il est évident qu’il CROIT à la VO. Et comme beaucoup de ceux qui y croient, je pense que ça n’a rien à voir avec la raison, mais tout à voir avec la peur. La peur du vide terrifiant que comble la VO : l’Etat, la démocratie, l’Occident sont là pour nous protéger, pas pour nous attaquer et nous manipuler. »
Je pense que nos deux hypothèses sont acceptables mais la mienne me paraît toujours plus logique car il y a tellement d’évidences dans cette affaire, qu’un scientifique, meme un « enfant qui a peur » comme vous le dites très justement, ne pourrait pas se voiler la face avec autant d’acharnement.
Je veux dire, c’est impossible de défendre la VO cinq minutes dans un débat contradictoire et de plus en plus de gens en sont conscients.
Comment un chercheur au CNRS (meme en admettant que ce ne sont pas tous des lumières) peut-il la défendre jusqu’à aller créer un site « anti-conspirationniste » dans lequel il brouille les pistes et évite les questions qui fachent ?
A mon sens, pour dépenser autant d’énergie et de temps à cet ouvrage il faut être rémunéré et bien.
Ne pas se rendre compte que la VO est une fable pour enfant en effectuant de vraies recherches est impossible.
Donc, je le répète, Jérôme Quirant alias Moorea34 est plus que probablement un sbire de l’obscurantiste classe dirigeante grassement payé par vos impôts !
C’est aujourd’hui valable pour la plupart des partisans actifs et virulents de la VO (sauf pour Philippe Val, qui lui est un abruti notoire !)
@ PETIT Jean-Pierre
Votre avis sur Jérôme Quirant ?
Croit-il vraiment à la VO ou a-t-il pour mission de faire croire qu’elle est vraie?
Je viens de lire le commentaire de Jean Pierre Petit avec beaucoup d’intérêt. Je signale seulement que le phénomène de « propagation du front de réaction à vitesse supersonique,
à quelques milliers de mètres par seconde » doit être désigné
par de mot détonation et non déflagration qui désigne la
« propagation du front à vitesse subsonique » (vérifié sur Wikipédia). Je ne suis pas physicienne, mais il me semblait
que le même mot ne pouvait pas désigner deux phénomènes
différents !
Il me semble que c’est Karl Rove qui répondait dans une
interwiew peu après le 9/11 que » l’Amérique étant devenue un empire, elle créait sa propre réalité », et il exprimait au cours de celui-ci son dédain et son mépris pour ceux qui auraient le désir ou l’audace incongrus de chercher et
d’étudier ce qui avait pu se passer au sujet de l’effondrement
du WTC. Cependant une vérité virtuelle comme celle qui est
imposée partout par la version officielle n’est qu’un mensonge,
qui peut être démontré par les analyses scientifiques et cela
doit faire peur à tous ceux qui ont trempé de près dans le complot, car c’en est un.
Je suis heureuse de voir dans votre site, que je suis depuis
longtemps, les progrès de cette quête de vérité. J’espère
qu’elle aboutira, même s’il faut encore beaucoup de temps. Merci à vous pour tout ce travail et aussi à ceux qui contribuent, par leurs recherches patientes, leurs réflexions
et analyses, à détruire ce mensonge monstrueux.
Message de JP. Petit :
Je suis ancien directeur de recherche au Cnrs. La réaction de cette femme ne m’étonne guère, étant données les boutiques pour lesquelles elle a travaillé. L’indépendance du monde scientifique est un mythe. L’auteur de l’article a la bonne réaction en demandant des critiques d’ordre technique. J’essayerai personnellement de le rencontrer en mettant, si faire se peut, mes capacités de vulgarisateur pour tenter de donner un peu de clarté sur ces explosifs assez sophistiqués. La « thermite » n’est que le prolongement d’une technique ancienne appelée » aluminothermie », où de l’Aluminium et de l’oxyde de fer se combinent. La réaction est évidemment d’autant plus rapide que le mélange est intime. De telles substances peuvent être aisément réduites en poudres à l’échelle du micron. Un nanomètre est un millième de micron. Peut-on assurer un mélange à ces échelles ? Avec quelle technique ? Ceci suffit-il a transformer le mélange en explosif ? Utiliserait-on un additif, et si oui, quelle serait sa fonction ? Dans tous les cas de figures, s’il est relativement aisé de réaliser des broyats à l’échelle du micron, le fait de produire des composants ayant des échelles nanométriques ne doit pas être à la portée du premier venu. S’il est possible de faire exploser de la nanothermite, est-ce une déflagration (propagation du front de réaction rapide, mais subsonique, à quelques centaines de mètres par seconde) ou une déflagration (propagation du front de réaction à vitesse supersonique, à quelques milliers de mètres par seconde) ? Autant de questions sur lesquelles nous tenterons d’apporter un peu de clarté. Y a-t-il combinaison de deux substances, l’une ayant un effet brisant et l’autre produisant un fort dégagement de chaleur ? Voilà des questions qu’on aimerait bien poser à cette chercheuse démissionnaire. Il y aurait aussi des masses de questions à poser aux spécialistes des démolitions contrôlées, sur la façon dont ils parviennent à cisailler des poutres de forte section, qui apparaissent comme fondues. On utilise l’effet de charge creuse et dans ces cas là on sait que ce qui perce ou cisaille, c’est un dard ou une lame de plasma. A quelle température ? Quel type d’explosif est utilisé pour les démolitions contrôlées ? Qu’est-ce que ça donne comme résidus ? Peut-on identifier l’explosif en analysant ces résidus ? Logiquement oui.
La réaction de cette femme me rappelle celle du sociologue Pierre Lagrange, dans l’émission d’Arte de 2004, dont le discours pouvait se résumer à « ces questions ne devaient pas être posées ». Là, cela donne « ces analyses n’auraient jamais du être faites ».
Cachez cette science, que je ne saurais voir…..
JPP
« Dans tous les cas de figures, s’il est relativement aisé de réaliser des broyats à l’échelle du micron, le fait de produire des composants ayant des échelles nanométriques ne doit pas être à la portée du premier venu. »
Serait-ce à dire que ces messieurs les militaires US sont loin -quant à eux – d’être les premiers venus ?
Et que nous nous rapprochons de plus en plus, en ce cas, du « déclenchement délibéré » du 11/9 plutôt que de son « laisser-faire » ? Bref, d’une opération interne de sabordage, made in USA ?
D’aucuns appelleraient cela du « terrorisme d’état ».
Mais…chut ! ne faisons pas d’hypothèse hâtive.
Il n’y a jamais que huit ans, somme toute, que tout cela est arrivé…
JP Petit a écrit:
« L’indépendance du monde scientifique est un mythe. »
Dans un tout autre domaine que celui qui nous concerne ici, cette appréciation est confirmée mot pour mot par Gilles Eric Séralini, biologiste moléculaire au cours de l’émission radio « Terre à terre » sur France Culture, le 21/02/09. Titre de l’émission: « Nous pouvons nous dépolluer » (malheureusement plus disponible à l’écoute).
http://sites.radiofrance.fr/chaines/france-culture2/emissions/terre_a_terre/fiche.php?diffusion_id=70393
De ses multiples recherches (délibérément sous-financées et entravées) sur l’impact des OGM sur les organismes, les processus de bio-accumulation des pesticides et plus généralement de tous les toxiques présents dans notre environnement, il en arrive à la conclusion alarmante suivante: sous la pression combinée des politiques et des lobbies de l’agro-industrie, des organismes publics tels que le CNRS, l’INRA, freinent des quatre fers pour réévaluer des protocoles d’évaluation de toxicité totalement simplistes, surannés, pour ne pas dire, dixit, « moyen-âgeux ».
Selon lui, seuls une vigilance et un contrôle citoyen averti sont à même de garantir une indépendance de la recherche scientifique et une prise en compte par cette science des attentes légitimes des populations en droit de demander des comptes.
Les prises de position de MP Pileni sont à cet égard typique de la réaction d’une certaine « nomenclatura scientifique » égotiste, avide de ses pitoyables privilèges et prête à toutes les compromissions politiques -fussent celles de l’autruche- pour pérenniser ses sources de financement, de gratifications ou de colifichets divers et variés.
Je ne parle même pas du cas Jérôme Quirant….
Comment s’étonner après ça qu’il y ait eu autant de « Herr Doctors » peuplant les ministères du IIIème Reich, pour faire tourner et perfectionner la machine de guerre nazie !!
« Les prises de position de MP Pileni sont à cet égard typique de la réaction d’une certaine “nomenclatura scientifique” égotiste, avide de ses pitoyables privilèges et prête à toutes les compromissions politiques -fussent celles de l’autruche- pour pérenniser ses sources de financement, de gratifications ou de colifichets divers et variés. »
Oui Mme Pileni n’est pas très courageuse. Oui elle a des intérêts à protéger. Pas que les siens d’ailleurs, elle a une équipe dont elle s’occupe et pour qui elle cherche des financements. Mais la lâcheté et la protection de ses intérêts, c’est très humains non… elle n’est vraiment pas la seule dans cette situation. Ce n’est pas parce qu’elle refuse d’être prise dans notre combat qu’elle devient automatiquement notre ennemie et qu’il faut l’insulter.
Et ainsi va le monde : ne vous mouillez surtout pas messieurs dames, votre vie vous appartient, et du moment que par votre silence vous conservez vos privilège, le monde autour de vous peut bien s’écrouler, c’est pas votre histoire…
Le jour où vous ouvrirez vos yeux, il sera sans doute trop tard pour appeler à l’aide.
A propos de l’indépendance du monde scientifique :
Voici ce que j’ai entendu, aujourd’hui (5 mai) sur Fance-Inter, vers 14h30, dans l’émission » la tête au carré » censée éclairer le public sur les dernières avancées de la science, et de la bouche d’un spécialiste « expert des grandes tours modernes » qui vient d’écrire un livre sur ce sujet :
» En fait, le 11/9, les tours du WTC ont bien tenu le choc après l’impact des deux avions, mais ce sont les incendies consécutifs aux crashs qui ont fait fondre les colonnes d’acier et entraîné leur effondrement… Même les terroristes en ont été surpris car ils ne s’attendaient pas vraiment à cela. »(SIC!)
Et cette émission se prétend scientifique ?
Sur la même radio, la veille au matin, dans l’émission « le fou du roi », Didier Porte avait fait savoir à Jean-Marie BIGARD » qu’il en avait bien bavé, n’est-ce pas, l’année dernière, suite aux CONNERIES GÉOPOLITIQUES qu’il avait débitées sur une petite station concurrente, à savoir Europe I » (vous voyez ce que je veux dire ?)
Et censure oblige, Jean-Marie s’était bien gardé de broncher cette fois-ci… Juste un petit rire poli, qui m’a personnellement serré le cœur.
Tandis que personne dans cette belle assistance n’a bien entendu osé prononcer une seule fois le mot TABOU entre tous : 11 septembre 2001 !
Et les « conneries » scientifiques de Fance-Inter, elles ne sont pas censurées, elles… surtout pas ?
@ charmord,
juste un petit rectificatif concernant l’intervenant interviewé en direct par téléphone : il ne s’agit pas d’un médecin mais d’une personne qui se rendait à un entretien pour un emploi dans une société de Taxi. Sur le point d’arriver à son rendez-vous, déambulant dans une rue proche du WTC, il a été pris dans la tourmente du 11/9. La situation se faisant urgente, ayant une formation de secouriste, mais non diplômé, il a tout de même proposé son aide à des agents de l’Etat sur place qui totalement débordés, l’ont accepté. Ensemble, Ils ont pu faire sortir quelques groupes de personnes des tours et ainsi sauver quelques vies. Les tours allaient s’effondrer. Lui s’en est sorti de peu, l’agent de sécurité dont il parle y est resté. Son récit des événements est poignant. On sent que ces moments tragiques ne le quitteront jamais et que son émotion, difficilement retenue, atteste de toute sa sincérité. Merci à toi d’avoir évoqué son témoignage.
Quelqu’un peut expliquer la différence entre la thermite et la nanothermite?
… Des explosifs qui se présentent sous quelle forme?
Quelle est leur mode de détonation?
Combien de temps faut-il pour miner un bâtiment comme le WTC avec ce genre d’explosif?
Quels sont les témoignages faisant état de travaux de maintenance avant le 11/9? (Pascal mentionne la rénovation des ascenseurs par la société ACE ELEVATOR CO. Plus d’infos à ce sujet?)
LAst but not least, la sécurité du WTC était assurée par Securacom (rebaptisée Stratesec), compagnie où Marvin Bush & Wirt Walker III (un cousin éloigné de GW) siégeaient au CA.
Oui, en effet, prochaine étape qui serait la bienvenue serait la divulgation de toutes ces vidéos que détient le pentagone.
Obama a signé dernièrement un décret qui donne droit à tout un chacun de consulter les dossiers dits secrets.
Qu’en est-il exactement? Les associations pour la réouverture d’enquête ont-elles exigé ces vidéos ou est ce toujours interdit malgré ce décret?
Bonjour,
Madame Pileni se contredit elle-même deux fois :
1/ je ne suis pas compétente ….voir mon CV qui dit le contraire !
2/ C’est une absurdité…..où sont les arguments ? Elle est redevenue compétente ?
Cette dame ment c’est clair et net !
Bonjour,
Merci pour votre travail.
Pourquoi les médias ne diffusent-ils pas cette information en prime-time (chez les Danois à 22h40…)?
Pourquoi n’y a t il pas de débat public (sauf en Russie et au Japon)?
Pourquoi la thése officielle est acceptable et les autres discriminées à cette échelle (surtout en France)?
N’y a t il pas de recours judiciaire, ne peut-on rien contre le mensonge d’état?
Connaissez-vous le point commun entre le capitalisme et le communisme? la propagande.
Triste constat; les mass-médias nous mentent, et « le gouvernement ment énormément ».
Bon, en attendant que le vaccin soit obligatoire, je ne voterais toujours pas, et je regarderais encore moins la télé…
Cela devient insupportable, ma vie n’a plus de sens, je ne veux pas la révolution, et je ne crois pas en une évolution miraculeuse.
Juste une remarque sur la campagne de notre président et le pouvoir d’achat:
Si nous nous contentons de préserver notre pouvoir d’achat en ayant peur d’en avoir moins: alors la manipulation fonctionne et la société de consommation conserve son système léthal.
Je ne vois qu’une solution, utiliser notre pouvoir d’achat en étant responsable.
Pas de craintes à avoir, pour être heureux: santé (alimentation, soin, logement) et épanouissement (partager nos richesses).
Le problème c’est que nous aurons toujours besoin les uns des autres, et que jusque là, il y en a toujours pour en profiter…
Le principe de précaution commande non pas de réouvrir mais ouvrir le dossier avec la justice i.e sans conflits d’intérêt.
La Cia contrôle la presse occidentale par mille et une manières.
Nous avons les « collabos » new genre mais aussi dangereux que ceux de l’an 40. Le ratio n’a pas changé. Comment aurait-il pu en si peu de temps.
Toujours la fameuse règle des 80/20. Il se rendre à l’évidence, 80% de la population vit au moyen âge. Ils ne s’intéressent pas :
- aux arguments
- aux sciences
- à la géopolitique
Enfin sur le sujet précis de la validité de la publication sur la nanothermite, la seule voie honnête de la contestation, doit se faire par la publication d’une contre-étude et donc dans le cadre du protocole scientifique. Tout le reste n’est que fumisterie !
Bonsoir, pouvez vous me donner des infos précises sur l’éventuelle fabrication de nanothermite par la SNPE ?
merci d’avance
Une Toulousaine ….
j’ai par ailleurs des photos de Ground Zero prises cet été, légérement troublantes sur le non impact des ecroulements des tours sur leur entourage
si vous regardez la photo de cet article,
http://www.leblogfinance.com/2009/12/tentative-dattentat-sur-un-vol-amsterdam-detroit.html
vous verrez que les reservoirs sur les toits semblent intacts (certes, ils ont pu être reconstruits)
mais tout de même le trou laissé est très « mince »