Attaques à l’Anthrax : complot intérieur selon History Channel
Selon History channel, sa série d’émission "Conspiracy" a pour but de présenter des conspirations criminelles connues avec les dernières preuves disponibles.
Extrait du documentaire : CONSPIRACY: Anthrax Attacks de History Channel
Il existe une autre excellente excellente vidéo retraçant l’affaire de l’anthrax à l’aide de coupure de presse reprenant la chronologie des différentes versions distribuées par les médias :
- Attribution aux islamistes à l’aide d’étranges revendications appelant à la mort des USA et d’Israël
- Attribution à Al Qaïda et Ben Laden
- Attribution à Al Qaïda suite fourniture par Saddam Hussein
- Petite variante : un médecin affirme avoir trouvé des traces d’anthrax sur un de ses patients avant le 911 et qui ne serait autre qu’un des 19 terroristes…
- 1er problème : la souche est identifiée comme provenant de l’armée US
- 2ème problème : on apprend que des souches ont disparu d’un labo militaire à Fort Detrick.
- 3ème problème : les souches utilisées dans les courriers sont identifiées comme provenant précisément de ce labo, l’enquête révèle que parmi les personnes non-autorisées à avoir pénétré le labo se trouve le fameux Lt. Col. Philip Zack, un microbiologiste proche des neocons, ex-employé du laboratoire, qui ne sera jamais inquiété.
- Steven Hatfill, un employé de Fort Detrick est désigné comme coupable potentiel, sans l’ombre d’une preuve, sur une mise en cause directe par Aschcroft. Sa carrière est brisée.
- Après l’échec de la piste Al Qaïda et la piste Hatfill, suit une petite tentative ridicule de faire porter le chapeau aux NEO-NAZIS !!! Malheureusement, on n’a aucun neo-nazi crédible sous la main et ça tombe très vite à l’eau…
- Finalement, nombre de scientifiques concluent que seul un scientifique US travaillant sur un programme d’armes biologiques peut être derrière les attaques à l’anthrax. Le FBI commence à traîner des pieds dans son enquête…
- Dernier dveloppemnt en date : le FBI aurait identifié l’auteur des lettres mais ne pourrait révéler son identité car il s’agirait d’un scientifique ayant travaillé pour le gouvernement (Zack ?…)
- A partir de là, l’enquête se fige étrangement et n’est plus que rarement traitée par les médias… Le terroriste à l’anthrax est-il intouchable ? Est-ce que le FBI stoppe l’enquête parce qu’il n’en sait pas assez ? Ou parce qu’il en sait TROP ?
Et pour finir, la question à un million de dollars : pourquoi le président Bush et les personnels de la Maison-Blanche ont-il commencé un traitement au CIPRO, antibiotique spécifiquement dédié à la protection contre l’anthrax dès le 11 septembre 2001, soit 2 semaines avant la première attaque à l’anthrax ? La Maison-Blanche SAVAIT-ELLE qu’une attaque aussi spécifique était sur le point d’avoir lieu ? La Maison-Blanche refusa d’expliquer pourquoi elle avait placé son personnel sous CIPRO, antibiotique extrêmement puissant, en l’absence de menace spécifique, et a classé toutes les directives concernant ces mesures sous secret défense… Depuis, l’enquête est au point mort, et la personne filmée entrant illégalement dans le laboratoire de Fort Detrick n’a jamais été inquiétée…
La vidéo:
Enfin voici un rappel de la raison pour laquelle les attaques à l’Anthrax ont lieu : Il suffit de regarder la chronologie des évènements :
- 16 sept. : un projet de loi anti-terroriste est proposé.
- 18 sept. : les deux premières lettres piégées sont envoyées à des journalistes.
- 2 oct. : le projet de loi antiterroriste USA Patriot Act est présenté au Congrès américain.
- 3 oct. : le leader de la majorité démocrate au Sénat, Thomas A. Daschle, annonce qu’il doute que le Sénat puisse voter sur le projet de loi avant la semaine suivante comme le demandait le gouvernement Bush. Le ministre de la Justice, John A. Ashcroft, accuse le Sénat démocrate de traîner les pieds.
- 4 oct. : le président du comité judiciaire du Sénat, le démocrate Patrick J. Leahy, accuse le gouvernement de revenir sur un accord concernant la loi anti-terroriste. Certains mettent en garde que « les législateurs sont en train de laisser passer des dispositions anticonstitutionnelles dans leur empressement à suivre le calendrier imposé par le gouvernement ».
- 5 au 9 oct. : la presse fait état de difficultés dans l’examen du Patriot Act. Le 8 octobre, le Washington Post rapporte que le « Congrès a perdu une partie de l’unité induite par le choc des attaques du 11-septembre ».
- 9 oct. : deux lettres piégées identiques sont postées, visant les sénateurs Daschle et Leahy.
- 10 et 11 oct. : la souche originale du bacille du charbon des lettres piégées est détruite au laboratoire militaire de Fort Detrick avec l’autorisation du FBI.
- 11 oct. : l’examen du Patriot Act commence au Sénat et à la Chambre des représentants.
- 15 oct. : le bureau du sénateur Daschle ouvre la lettre piégée. Celle du Sénateur Leahy est déroutée par erreur vers la Virginie.
- 16 oct. : le bâtiment hébergeant les bureaux du Sénat est évacué et fermé.
- 17 oct. : la Chambre des représentants est évacuée et fermée. 28 employés sont testés positivement au bacille du charbon.
- 24 oct. : la Chambre des Représentants vote la version finale du Patriot Act.
- 25 oct. : le sénateur Daschle accepte que le Patriot Act ait une durée de vie de quatre ans renouvelables, au lieu des deux ans non renouvelables qu’il défendait précédemment.
- 26 oct. : le Sénat vote la version finale du Patriot Act.
- 26 oct. : le président Bush signe l’USA Patriot Act dont la constitutionnalité est douteuse.
- 27 oct. : la Cour suprême des États-Unis est évacuée et fermée pour cause d’alerte au bacille du charbon.
- 28 oct. et au-delà : plus aucune attaque au bacille du charbon.
À la lumière de ce qui précède, il est facile de comprendre que la vague de lettres piégées au bacille du charbon était une opération "sous fausse bannière" servant à favoriser le passage en force de l’USA Patriot Act, une loi constitutionnellement douteuse qui a fortement réduit les libertés individuelles des citoyens américains et conféré au président Bush et aux services secrets des pouvoirs exceptionnels.
Article très intéressant, car de fait, les journalistes (et donc trop de nos concitoyens) semblent avoir totalement oublié la « psychose » que ces courriers à l’anthrax ont déclenché… (les premiers semblent mieux se souvenir de la crise financière/boursière qui menaçait l’économie mondiale après le 11/9, comme l’indiquent leurs références pluri-quotidiennes à cette crise post-11 Septembre au regard de l’actuelle)
Comprendre ce qui s’est passé avec les attaques à l’anthrax est pourtant de la plus haute importance pour lire et faire sens du coup d’Etat qu’a été le 11/9; c’est pour cela que j’ai choisi d’y revenir en éditant le livre de Francis A. Boyle Guerre Biologique et Terrorisme qui en parle en ces termes: « l’attentat politique le plus manifeste contre le fonctionnement constitutionnel de la démocratie américaine dans l’histoire récente »…
et plus en détail dans son chapitre 6…
voir la page
http://www.reopen911.info/livres/guerre-biologique-et-terrorisme.html
sur ce site
bonne journée
EDL
http://afp.google.com/article/ALeqM5izYuyMIpSsKNf0nUnRa2-RzDCksQ
Suicide d’un scientifique américain en cause dans le dossier de l’anthrax
Il y a 1 heure
WASHINGTON (AFP) — Un scientifique du gouvernement américain s’est suicidé alors qu’il était sur le point d’être poursuivi dans le dossier des attaques mortelles au courrier empoisonné à l’anthrax qui ont touché les Etats-Unis en 2001, a-t-on appris vendredi auprès de son avocat.
Dans un pays encore sous le choc des attentats du 11-Septembre, ces courriers empoisonnés avaient fait cinq morts et 20 blessés et provoqué une vague de panique. Les lettres contenant de l’anthrax étaient envoyées aussi bien aux médias qu’aux grandes institutions comme le Congrès, contaminant aussi le personnel des centres postaux.
L’enquête s’était assez vite dirigée vers la piste du terrorisme intérieur.
Bruce Ivins, 62 ans, était un « scientifique à la renommée mondiale et couvert de décorations » qui « a travaillé au service de son pays pendant plus de 33 ans », a déclaré son avocat, Paul F. Kemp, dans un bref communiqué.
Selon les médias américains qui ont les premiers rapporté l’affaire, M. Ivins a été déclaré mort mardi, dans ce qui ressemble à un suicide, ont-ils précisé.
Il travaillait depuis 18 ans dans un laboratoire d’élite de recherche sur les armes biologiques, à Fort Detrick, dans le Maryland (est) et avait aidé les enquêteurs du FBI dans le cadre de l’analyse d’une des enveloppes contenant de l’anthrax envoyée à l’automne 2001 au bureau d’un sénateur à Washington.
Selon le Los Angeles Times, il utilisait la bactérie du charbon à des fins d’expériences sur des vaccins.
Son nom n’a pas été publiquement cité comme suspect dans cette affaire mais, selon le Washington Post qui ne cite pas de source, l’accusation réfléchissait à réclamer la peine capitale à son encontre.
Contacté par l’AFP, le FBI n’a pas souhaité « à ce stade » faire de « commentaire officiel ».
« Depuis six ans, le Dr Bruce Ivins coopérait à l’enquête et aidait le gouvernement quelles que soient les questions de celui-ci », a assuré son avocat, en regrettant « la pression incessante exercée sur lui par ces accusations et ces insinuations ».
Il s’est dit « déçu » que cette « mort prématurée » lui retire « la possibilité de défendre son nom et sa réputation devant un tribunal », a-t-il ajouté, affirmant l’ »innocence » de son client.
Selon l’une des personnes avec qui il travaillait, citée par le LA Times, Bruce Ivins souffrait de dépression, une version confirmée par un de ses deux frères, Thomas Ivins, également cité par le quotidien et pour qui ce décès n’a pas été une surprise.
De même source, Bruce Ivins avait été récemment écarté de certaines zones sensibles sur son lieu de travail et allait être contraint à prendre sa retraite au mois de septembre prochain.
Sa mort a été annoncée par courrier électronique à ses collègues, sans mention d’un éventuel suicide.
La panique avait saisi les Etats-Unis entre le 5 octobre 2001, où la maladie du charbon a fait une première victime, et le 21 novembre de la même année, où les attaques se sont mystérieusement arrêtées, après un dernier décès, une femme de 94 ans dans le Connecticut.
« L’enquête, intitulée +Amerithrax+ est une des plus complexes et des plus étendues jamais conduite », a précisé vendredi le Département de la Justice dans un communiqué, évoquant « 17 agents spéciaux du FBI et 10 inspecteurs postaux ».
Ceux-ci avaient dressé le portrait type de l’assassin: un scientifique chevronné seul ou bénéficiant de complicités, résidant sur le territoire américain et parfaitement au courant des méthodes de maniement du dangereux bacille.
Info reprise un peu partout :
http://news.google.com/news?oe=utf-8&rls=org.mozilla%3Afr%3Aofficial&client=firefox-a&tab=wn&hl=fr&ncl=1242203673&scoring=d
Suicide ?! :/