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11 septembre : des centaines d’officiels remettent en cause la version officielle

Posté par AtMOH le 16/12/2007

Les remises en question de l'histoire officielle du 11 Septembre sont, pense-t-on parfois, le fait exclusif d'internautes désoeuvrés et sans aucune crédibilité. En réalité, elles sont aussi largement portées par des experts. Ces prises de position éclairées ne devraient laisser personne indifférent.

Un site Internet américain, Patriots Question 9/11 , recense les contestations de plus de 110 personnalités, officiers supérieurs de l'armée des Etats-Unis, agents du renseignement, hommes politiques américains et du monde entier, et même membres de la Commission d'enquête sur le 11 Septembre. Sans oublier celles de près de 120 professeurs d'université , philosophes, historiens, politologues, juristes, économistes, mathématiciens, physiciens, chimistes, ingénieurs, etc. Autant de personnalités qui peuvent se prévaloir d'un statut, d'une autorité, et dont les mots pèsent du lourd poids de leur expertise reconnue. Etat des lieux - non exhaustif - de ces contestations «autorisées». Ces Témoignages d'une grande importance sont en cours de traduction. La première section "Militaires et officiels" est achevée. Il nous faut de l'aide pour continuer.

ACCEDER A PATRIOTS QUESTION en FRANCAIS

 Nous lancons un appel aux traducteurs pour achever ce travail d'une haute importance:

AIDEZ-NOUS A LA TRADUCTION

 LIRE LA SUITE DE L'ARTICLE de Taiké Eilé.

Mensonges et omissions face à la Commission

Thomas Kean et Lee Hamilton sont, respectivement, les président et vice-président de la commission qui a enquêté sur les attentats du 11 septembre 2001. Cette commission a rendu un rapport le 22 juillet 2004, qui fixe ce qu'il convient d'appeler l'histoire officielle du 11 septembre. En août 2006, les deux hommes sortent un livre, Without Precedent : The Inside Story of the 9/11 Commission , qui raconte les coulisses de l'enquête. On y apprend, avec stupéfaction, que tous les témoignages apportés par les agents de la FAA [Federal Aviation Administration] et du NORAD [North American Aerospace Command], au sujet de la non-intervention des chasseurs durant l'attaque, se sont avérés faux : « All of the after-action reports, accident investigations and public testimony by FAA and NORAD officials advanced an account of 9/11 that was untrue » ( Washington Post du 4 août 2006 ). Il semble même que l'on puisse parler de tromperie délibérée de la part du Pentagone, selon le Washington Post du 2 août 2006 : « The Pentagon's initial story of how it reacted to the 2001 terrorist attacks may have been part of a deliberate effort to mislead the commission and the public... [...] "We, to this day, don't know why NORAD told us what they told us", said Thomas H. Kean, the former New Jersey Republican governor who led the commission. "It was just so far from the truth ." » Tromperie qui avait déjà été dénoncée durant une audience du Congrès , le 31 juillet 2004, par le sénateur Mark Dayton : " They [NORAD] lied to the American people, they lied to Congress and they lied to your 9/11 Commission. [...] For almost three years now NORAD officials and FAA officials have been able to hide their critical failures that left this country defenseless during two of the worst hours in our history ."

 

Un fâcheux oubli

 En septembre 2006, le journaliste Bob Woodward révèle que, le 10 juillet 2001, le directeur de la CIA de l'époque, George Tenet, accompagné de son directeur du contre-terrorisme, Cofer Black, a rendu visite à la Secrétaire d'Etat Condoleezza Rice à la Maison Blanche, pour l'informer d'une attaque d'Al-Qaida imminente. Le 10 juillet 2001... c'est-à-dire le jour même où un agent du FBI faisait parvenir à son quartier général le fameux " Phoenix Memo ", qui avertissait de " la possibilité d'un effort coordonné " par Ben Laden pour envoyer des étudiants aux Etats-Unis fréquenter des écoles d'aviation... Rice aurait, semble-t-il, négligé l'alerte de ses visiteurs. Les trois personnages, pourtant interrogés par la Commission, à la fois en privé et en public, et tenus de dire la vérité, témoignant sous serment, ont "oublié" de parler de cette rencontre, qui aurait suscitée, si elle avait été connue, de très nombreuses questions de la part des enquêteurs. Peter Rundlet , conseiller pour la Commission, dénonce avec colère, le 30 septembre 2006, cette dissimulation et s'interroge gravement sur ce silence : « Was it covered up ? It is hard to come to a different conclusion. [...] At a minimum, the withholding of information about this meeting is an outrage . Very possibly, someone committed a crime . And worst of all, they failed to stop the plot .» Un membre de la Commission, Timothy Roemer , se dit, quant à lui, profondément perturbé et même furieux de cette omission : " I'm deeply disturbed by this. I'm furious. " ( New York Times du 1er octobre 2006 )

 

Rendez-vous dans un siècle

 Dans une interview accordée à CBC News le 21 août 2006, Lee Hamilton déplore les très mauvaises conditions dans lesquelles l'enquête a dû être menée : d émarrage tardif, manque de temps et de moyens, résistance de certains, difficulté à accéder aux documents et aux gens... La Commission, confrontée à tant d'obstacles, était, selon lui, vouée à l'échec. Un échec programmé. Hamilton reconnaît que la Commission n'est pas parvenue à établir toute la vérité, et prédit que l'on enquêtera sur le 11 septembre durant encore un siècle : « I don't believe for a minute that we got everything right. We wrote a first draft of history. [...] People will be investigating 9/11 for the next hundred years in this country, and they're going to find out some things that we missed here .» Les membres de la Commission eux-mêmes reconnaissent qu'ils ont été trompés, qu'on leur a menti ou qu'on ne leur a pas tout dit, que leur travail est donc incomplet et défaillant. D'autres avis, extérieurs à la Commission, vont dans le même sens. Paul Hellyer , ancien ministre canadien de la Défense nationale, regrette la superficialité de l'enquête et son manque de transparence. Raymond McGovern , ancien analyste de la CIA durant 27 ans, estime qu'il y a bel et bien eu dissimulation, et que le rapport de la Commission n'est rien de moins qu'une "blague" : " I think at simplest terms, there's a cover-up . The 9/11 report is a joke ." Steve Elson , ancien agent spécial de l'US Navy, de la DEA [Drug Enforcement Administration] et de la FAA, va, quant à lui, jusqu'à accuser la Commission de trahison, pour ne pas avoir dit tout ce qu'elle avait appris : «" I'd give the commission a 'D' for investigating the FAA", he declares. [...] "The commissioners knew a lot more than they included in the 9/11 report", he says. "They sold out . "»

 

Une histoire officielle "impossible"

 L'histoire officielle semble bien ne pas pouvoir tenir la route, si l'on se fie aux doutes émis par le colonel Ronald Ray , héros de la guerre du Vietnam et ancien député adjoint du Secrétaire à la Défense sous Ronald Reagan : " I'm astounded that the conspiracy theory advanced by the administration could in fact be true and the evidence does not seem to suggest that's accurate ." Le lieutenant-colonel Robert Bowman , retraité de l'US Air Force, prend encore moins de réserves , assimilant l'histoire officielle à un "tas de sottises" : " T he official story, the official conspiracy theory of 9/11 is a bunch of hogwash . It's impossible ." Même jugement pour le capitaine Gregory Zeigler, ancien agent du renseignement dans l'US Army. Catherine Austin Fitts , assistante du secrétaire au Logement de la première administration Bush, n'hésite pas à dire (dans cette interview du 9 septembre 2004, à la 52e minute) : " The official story could not possibly have happened... It's not possible . It's not operationally feasible ..." Quant à Philip Berg , ancien procureur général adjoint de Pennsylvanie, il parle sans détours de "mensonge" : " The official story of what actually took place on 9-11 is a lie ." Giulietto Chiesa , membre italien du Parlement européen, affirme enfin sans ambages, le 18 novembre 2005, que l'histoire qu'on veut nous imposer - via les médias - est complètement fausse : " Four years ago, an enormous media event changed the course of the world. Billions of people were given only one explanation for that, which is entirely false . Therefore everyone who dares to question it is treated as if he was a fool. […] Media are silent. I believe you know what event I am speaking of ; September 11. " Des médias silencieux. Des esprits critiques traités de fous - et ainsi réduits au silence. Tel est bien le tableau actuel. Penchons-nous maintenant sur des éléments plus concrets, sur des remises en question plus ciblées de l'histoire officielle du 11 septembre. Commençons par l'effondrement des tours.

 

 

Des tours dynamitées ?

 Beaucoup ont déjà entendu parler de l'opinion émise par Danny Jowenko , ce spécialiste néerlandais de la démolition contrôlée. Lorsqu'une équipe de télévision vint le voir pour lui faire visionner la chute de la tour 7 du World Trade Center, dont il n'avait d'ailleurs jamais entendu parler (le rapport de la Commission n'en faisant lui-même pas mention), son jugement fut sans appel : c'était pour lui une démolition contrôlée. Nul doute dans son esprit (voir cette vidéo : version courte sous-titrée en français , ou version longue sous-titrée en anglais ). D'autres personnalités influentes ont rejoint cet avis, pour parfois l'étendre aux deux autres tours, aux Twin Towers. Ainsi, Paul Craig Roberts , secrétaire-adjoint au Trésor dans l'administration Reagan, déclare avec assurance, le 16 août 2006, qu'il n'est pas pensable qu'un immeuble, en particulier s'il est doté de colonnes en acier, s'effondre à la vitesse de la chute libre... de manière tout à fait naturelle : " We know that it is strictly impossible for any building, much less steel columned buildings, to "pancake" at free fall speed. Therefore, it is a non-controversial fact that the official explanation of the collapse of the WTC buildings is false ." Pour le lieutenant-colonel Karen Kwiatkowski , qui a travaillé auprès du directeur de la NSA [National Security Agency] et dans l'Air Force durant 20 ans, l'effondrement des tours du WTC viole, ni plus ni moins, les lois de la probabilité et de la physique : " It is as a scientist that I have the most trouble with the official government conspiracy theory [...].  The collapses of the World Trade Center buildings clearly violate the laws of probability and physics ." David Griscom , chercheur en physique et membre de la Société de Physique américaine, salue, quant à lui, le travail de David Ray Griffin , l'un des leaders du mouvement Scholars for 9/11 Truth , qui affirme que des explosifs ont été utilisés : " This scholarly work [...] includes [...] pieces of evidence that the World Trade Center towers 1, 2, and 7 were brought down by explosives ." Même conviction chez William Christison , ancien officier du renseignement national, membre de la CIA durant 28 ans, où il a notamment dirigé le Bureau de l'Analyse régionale et politique. Robert David Steele , officier du renseignement durant 20 ans, notamment à la CIA, se focalise sur le WTC 7 et affirme , de manière tout à fait catégorique, le 27 octobre 2006 : " I'm absolutely certain that WTC 7 was brought down by controlled demolition [...]. There's no way that building could have come down without controlled demolition ." Un Boeing dans le Pentagone ? Plus surprenantes peuvent paraître les mises en doute sur ce qui s'est passé au Pentagone. Même si aucun film n'a jamais été diffusé par les autorités américaines, qui prouve le crash d'un Boeing, des témoins existent , qui ont décrit l'arrivée et le crash d'un gros avion de ligne. Ceci n'empêche pas le colonel George Nelson , retraité de l'US Air Force, où il a travaillé durant 34 ans, notamment en tant qu'enquêteur sur les accidents d'avions, d'afficher de très sérieux doutes : " With all the evidence readily available at the Pentagon crash site, any unbiased rational investigator could only conclude that a Boeing 757 did not fly into the Pentagon as alleged ." Le commandant Douglas Rokke , retraité de l'US Army, va plus loin ; il est convaincu que c'est un missile qui a frappé le Pentagone, arguant de la petite taille du trou fait dans le bâtiment et de la nature des dégâts causés. Le capitaine Russ Wittenberg , ancien pilote de chasse de l'US Air Force, et pilote de ligne durant 35 ans pour Pan Am et United Airlines, est tout aussi catégorique. Il est, selon lui, impossible qu'un Boeing ait pu effectuer une trajectoire aussi complexe et précise que celle réalisée par l'engin qui a frappé le Pentagone : " T here was absolutely no possibility that Flight 77 could have "descended 7,000 feet in two minutes, all the while performing a steep 270 degree banked turn before crashing into the Pentagon's first floor wall without touching the lawn." Sans toucher la pelouse... Wittenberg ne croit pas qu'un pilote puisse prendre subitement les commandes d'un avion aussi difficile à contrôler pour le manier avec un telle aisance (comme un as du vol qu' Hani Hanjour , le pilote présumé, n'était d'ailleurs pas ) : "There is not one chance in a thousand ". Invoquant le fait qu'on n'a pas retrouvé de débris de l'énorme Boeing 757 au Pentagone, il conclut que la cause de ces dégâts est probablement un missile. Barbara Honegger, journaliste spécialisée dans les affaires militaires, évoque, dans un essai publié le 6 septembre 2006, l'utilisation d'un avion militaire, seul capable de déjouer le système de défense du Pentagone, de neutraliser ses batteries de missiles antiaériens, en émettant un signal "ami".

 

Dick Cheney... savait ? savait pas ?

Si c'est néanmoins le vol 77 d'American Airlines qui a frappé le Pentagone, peut-on croire que les autorités américaines ont été surprises par son crash, ne l'ont pas vu venir ? Selon le rapport de la Commission, le gouvernement n'a pas eu connaissance de la position du vol 77 avant 9h32 (soit 5 minutes avant le crash). Or, le témoignage de Norm Mineta , secrétaire au Transport entre 2001 et 2006, vient contredire cette version. Mineta, devant la Commission , a affirmé s'être rendu à 9h20 à la Maison Blanche, au Centre Présidentiel des Opérations d'Urgence (PEOC), et y a vu, vers 9h25 , le vice-président Dick Cheney en discussion avec un assistant, qui venait régulièrement l'informer de la progression du vol 77 (de la distance qui le séparait encore du Pentagone ?) : " There was a young man who had come in and said to the vice president, "The plane is 50 miles out. The plane is 30 miles out." [...] "The plane is 10 miles out". On ne sait guère quand a commencé cet échange entre Cheney et son assistant. Quoi qu'il en soit, le vol 77 était repéré bien avant l'heure indiquée dans le rapport. Un rapport qui maintient, par ailleurs, que Dick Cheney n'est arrivé au PEOC qu'à 9h58 ! Un rapport qui, finalement, n'a pas intégré le témoignage, fort dérangeant, de Norm Mineta... Après ces aspects "techniques" - chute des tours et crash sur le Pentagone -, il convient d'évoquer d'autres aspects fondamentaux de ces attentats, à commencer par leur financement.

 

Le scandale Mahmoud Ahmad & Omar Sheikh

La congressiste Cynthia McKinney a rappelé , le 18 août 2005, que nous ne savions toujours pas officiellement qui avait commis les attentats, ni qui les avait financés : " Nearly 4 years, and 2 wars later, we still have no official statement from the Bush administration on the specifics of who did it, who aided and financed them or what their origins are ." Michael Meacher , ancien ministre britannique de l'Environnement, fait, lui aussi, remarquer (dans ce documentaire de la télévision néerlandaise, à 12min35) que l'enquête officielle n'a pas su déterminer qui a financé les attentats, tout en prétendant - ce qui est ahurissant - que cela n'a, au fond, pas grande importance [voir le rapport de la Commission , à la page 172] ... alors qu'il va de soi que c'est un point absolument capital !

Cynthia McKinney pose la bonne question : " What about the terrorist Omar Said Sheikh ? " Les services secrets indiens sont, en effet, à l'origine d'une révélation stupéfiante : le chef des services secrets pakistanais (ISI), Mahmoud Ahmad, a transféré, en juillet 2001, 100 000 dollars au chef présumé des pirates de l'air du 11 septembre, Mohammed Atta, par l'intermédiaire de Omar Sheikh . Information donnée le 9 octobre 2001 par le Times of India , puis par de nombreux médias occidentaux (AFP, Wall Street Journal , London Times ...),  confirmée par Dennis Lormel, le directeur de la section financière du FBI. Quelques jours avant le début de la guerre en Afghanistan le 7 octobre 2001, Ahmad a été poussé à la démission, sous la pression des Américains. Depuis, il n'a fait l'objet d'aucune enquête, ni d'aucune poursuite, de la part du Pakistan ou des Etats-Unis ( sources ). Michael Meacher s'étonne de cette absence de poursuite judiciaire, dans un article du Guardian du 22 juillet 2004 : " It is extraordinary that neither Ahmed nor Sheikh have been charged and brought to trial on this count. Why not ? [...] When Ahmed was exposed by the Wall Street Journal as having sent the money to the hijackers, he was forced to "retire" by President Pervez Musharraf. Why hasn't the US demanded that he be questioned and tried in court ? " Question lancinante, il est vrai, pour les esprits pas totalement endormis... Le rapport de la Commission reste, quant à lui, parfaitement muet sur ces faits. Lors d'une conférence de presse à la Maison Blanche le 16 mai 2002, un journaliste indien interrogea Condoleezza Rice sur toute cette histoire ; la Secrétaire d'Etat écarta la question d'un revers de main, prétendant qu'elle n'en avait jamais entendu parler... (voir 9/11 Press For Truth à 68min05sec, ou encore ici ). L' Asia Times , dans un article du 8 avril 2004 , nous donne peut-être la raison de ce mutisme : " If Mahmoud was really involved in September 11, this means the Pakistani ISI - "the state within the state" - knew all about it. And if the intelligence elite in Pakistan knew it, an intelligence elite in Saudi Arabia knew it, as well as an intelligence elite in the US ." Le grand public a-t-il jamais entendu parler de Mahmoud Ahmad depuis cinq ans et demi ?

 

L'énorme affaire Able Danger

Autre scandale, dont les Français n'ont, dans leur très grande majorité, jamais entendu parler : le 19 juin 2005, un article du Times Herald révèle l'existence d'une unité de renseignement militaire du nom de " Able Danger ", placée sous l'autorité du Commandement des Opérations Spéciales de l'armée des Etats-Unis ( SOCOM ), qui avait, selon toute vraisemblance, repéré quatre des futurs kamikazes plus d'un an et demi avant le 11 septembre ; il s'agissait de Mohammed Atta, Marwan Alshehhi, Khalid Almihdhar et Nawaf Alhazmi. Les quatre hommes avaient été identifiés comme des membres d'Al-Qaida oeuvrant aux Etats-Unis, dans la cellule dite "de Brooklyn". Or, à en croire le rapport de la Commission d'enquête, Atta et Alshehhi étaient restés inconnus des services de renseignement jusqu'au jour des attentats. L'affaire a été véritablement médiatisée grâce à l'intervention du représentant républicain du Congrès Curt Weldon , le 27 juin 2005, devant la Chambre des Représentants. L'homme tient ses informations du lieutenant-colonel Anthony Shaffer , qui prétend avoir été associé à l'unité de renseignement Able Danger. Ses allégations ont été confirmées le 22 août 2005 par Scott Philpott, un capitaine de la Navy (voir The New York Times , ou Fox News ) ; selon ce dernier, " Atta was identified by Able Danger by January-February of 2000 ". Le 27 août 2005, c'était au tour d'une troisième source, James Smith - qui prétend avoir travaillé sur l'aspect technique de l'opération Able Danger -, de confirmer cette incroyable histoire ( Fox News ). Suite à leurs découvertes, les membres de l'unité Able Danger avaient recommandé au SOCOM que le FBI soit chargé de démanteler la cellule de Mohammed Atta ; mais les avocats du SOCOM leur avaient rétorqué que ces informations ne pouvaient pas être partagées avec le FBI. Dans un article du Wall Street Journal du 17 novembre 2005, Louis Freeh , directeur du FBI entre 1993 et 2001, considère que ces faits sont les plus importants révélés depuis la fin de l'enquête officielle. Selon lui, les découvertes réalisées par Able Danger auraient dû permettre l'arrestation des membres de la cellule de Mohammed Atta. La Commission, de son côté, osa affirmer, en août 2005, que l'opération Able Danger n'était, à ses yeux, "pas historiquement importante". Ce qui conduit Freeh à s'interroger avec gravité sur la négligence de la Commission, dont il va jusqu'à remettre en cause la crédibilité : " This astounding conclusion [...] raises serious challenges to the commission's credibility and, if the facts prove out, might just render the commission historically insignificant itself ."

 

"Laisser-faire" du gouvernement US ?

 Tant d'anomalies dans l'enquête officielle font envisager à certains un "laisser-faire" des autorités américaines, qui avaient besoin de ces attentats pour justifier leur entrée en guerre au Moyen-Orient, leur implantation dans cette zone riche en pétrole, et, plus généralement, pour mettre en branle le plan du PNAC [Project for the New American Century], qui vise à assurer l'hégémonie mondiale des Etats-Unis au XXIe siècle.

Ainsi, pour Robert Bowman , " the very kindest thing we can say is that they were aware of impending attacks and let them happen ". Pour Michael Meacher , " il est clair que les autorités américaines ont fait peu ou rien pour empêcher les événements du 11 septembre." Il rappelle qu' "au moins 11 pays ont averti à l'avance les Etats-Unis des attaques du 11 septe mbre ." Pour John Loftus , ancien procureur fédéral américain et expert en terrorisme, la CIA et le FBI , avec la masse considérable d'informations dont ils disposaient, ne peuvent pas sérieusement se réfugier derrière leur prétendue incompétence pour rendre compte de leur défaillance . Paul Craig Roberts affirme sans détours : " The 9/11 "terrorist attack" has been manipulated to serve a hegemonic agenda in the Middle East. " Avis partagé par David Shayler, ancien officier du contre-terrorisme britannique (MI5), ainsi que par le  lieutenant-colonel Stephen Butler, membre de l'US Air Force durant 24 ans : " Of course Bush knew about the impending attacks on America. He did nothing to warn the American people because he needed this war on terrorism ." ( New York Times du 4 juin 2002 ).

 

Complicités américaines ?

 Certains envisagent même la complicité des autorités américaines avec Ben Laden. L'argument le plus volontiers mis en avant, c'est que Ben Laden n'aurait pas pu organiser - et surtout réussir - seul ces attentats. C'est l'opinion de Robert Baer , agent de la CIA durant 21 ans, spécialiste du Moyen-Orient, qui, dans une interview du 9 juin 2006, considère que l'idée d'un complot intérieur (" inside job ") est tout à fait plausible. William Christison , membre de la CIA pendant 28 ans, se range aussi à cette idée . D 'autres voix, politiques, s'élèvent depuis cinq ans du monde entier, qui, sans accuser le gouvernement américain, refusent de penser que Ben Laden est le seul et même le principal responsable des attentats du 11 septembre. Mohamed Hassanein Heikal, ancien ministre des Affaires étrangères égyptien, affirmait ainsi le 10 octobre 2001, dans le Guardian , qu'Al-Qaida n'était pas en capacité de mettre en place une telle opération et de la garder secrète, rappelant que Ben Laden était sous surveillance depuis des années, et que son organisation était même infiltrée par les services secrets américains, pakistanais, saoudiens et égyptiens . Andreas von Bülow , ancien secrétaire d'Etat (à la Défense) et ministre allemand, Horst Ehmke , ancien ministre de la Justice ouest-allemand, ou encore le général Leonid Ivashov , chef de cabinet des forces armées russes au moment des attentats, sont persuadés que des services secrets ont appuyé les opérations du 11 septembre. Quant à l'ancien Président de la République italienne, Francesco Cossiga , il soupçonnait, peu après les attentats, dans La Stampa , des complicités à l'intérieur du système de sécurité américain (page 36 de ce document ) .

 

Un fol espoir

 Les témoignages recensés dans cet article ne constituent qu'une infime partie de tous ceux que regroupe le site Patriots Question 9/11 . La liste des experts contestataires de l'histoire officielle du 11 septembre s'allonge régulièrement, elle est en expansion continue. Rien ne prouve, à ce jour, un laisser-faire ou une complicité des autorités américaines. C'est entendu. Mais il est tout aussi entendu que l'enquête officielle n'a pas su atteindre son but. Le vice-président de la Commission en personne nous promet même encore près d'un siècle de recherche avant d'aboutir - peut-être - à la vérité ! L'esprit critique quant à l'histoire officielle actuelle - reconnue non véridique par ceux-là mêmes qui l'ont faite, rappelons-le, rabâchons-le ! - est donc une attitude qui devrait être qualifiée de normale. Au lieu de cela, elle est jugée déviante, malsaine par la plupart de nos politiques et journalistes. Elle est diabolisée. Une enquête réellement indépendante doit être ouverte, qui aura les moyens de ses ambitions. Sans doute les médias ont-ils un rôle à jouer pour faire pression sur les dirigeants de ce monde, qui auront à prendre cette lourde décision. Peut-être les citoyens doivent-ils alors commencer par faire pression sur les médias, en les sommant de retrouver leur vocation : la recherche de la vérité et sa diffusion. La passion des faits, rien que des faits.

Publié dans Dossiers | 18 Commentaires »

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Commentaires (18)

  1. Christopher,

    Compte rendu de très grande qualité et extremement fouillé. Chapeau bas. petit commentaire: le titre n'aurait t-il pas pu être unpeu plus explicite ? ex: "des centaine d'officiels remettent en cause la version officielle !".

  2. Charlie,

    Je ne dirais qu'un mot : excellent !
    Voilà du bon travail. Du travail qui me laisse pantois.
    Je suis à la fois émerveillé et grogy. j'ai presque
    une larme à l'oeil tellement ce travail montre dans
    quel monde nous vivons.
    Nous avons la preuve qu'il y a des 10 zaines de cover up
    et cela ne déclenche pas un soulèvement populaire.
    C'est utopique, mais si tout le monde savait lire et penser
    et avait le TEMPS POUR LA DEMOCRATIE, CETTE COMPILATION
    SUFFIRAIT A ELLE SEULE POUR FAIRE DESCENDRE DES MILLIONS DE PERSONNES DANS
    LA RUE POUR MANIFESTER PACIFIQUEMENT DEVANT LES PALAIS PRESIDENTIELS
    DE CHAQUE PAYS ET DEMANDER DES COMPTES. CAR SI L'AMERIQUE EST UN ETAT FACISTE DEGUISE
    ALORS C'EST LE MONDE QUI L'EST.

    CAR COMME DISAIT COLUCHE : "TOUS CEUX QUI NOUS GOUVERNENT, QUI
    ONT LAISSE CREVER L'AFRIQUE, .... ILS SONT INTELLIGENTS !
    SINON ON DIRAIT : BIN C'EST DES CONS PUIS ON EN PARLERAI PLUS ....
    NON NON NON ILS SONT INTELLIGENTS !!!..."

    SI NOUS SAVONS : TOUTES LES CHANCELLERIES SAVENT

    OUI J'AI VRAIMENT LES LARMES A L'OEIL.

    JE PENSE QU'IL LEUR FAUT UN EVENEMENT MAJEUR POUR NOUS FAIRE OUBLIER TOUT ça.

    JE M'ATTENDS VRAIMENT A UN EMBRASEMENT DU MOYEN ORIENT SUR FOND DE CRACH ECONOMIQUE
    MONDIAL COMME EN 29. ISRAEL VEUT SA REVENCHE.

  3. Charlie,

    Il faut quand même signaler que la traduction de "able danger" peut se traduire par
    "rendre possible le danger" !!!!!!!

  4. AtMOH,

    Adopté Christopher :)

  5. Guitz,

    Ben c'est très simple, je ne vois, en matière de "com" plus que deux possibilités :
    - Faire le siège devant les TV, radios et journaux, et distribuer à tous ceux qui entrent et sortent des bureaux, un imprimé de ce texte remarquable de précision exhaustive et de concision explicite. Tout en bombardant les boites mail des journaleux, dont les adresses sont facilement accessibles pour qui a deux ou trois notions du métier d'attaché de presse et connaissance des annuaires des professions médias/com.
    - Organiser un bombardement massif de dizaine de milliers d'exemplaires de ces mêmes imprimés, par hélicoptère au dessus des principales villes de France...
    Y a du pain sur la planche !

  6. Guitz,

    J'ajouterai, pour ceux qui bossent dans des multinationales (Bouygues, Havas, Publicis, etc, etc...) toutes dotées de serveurs internes, avec mailing list des employés accessibles d'un clic, la possibilité de diffuser le message à grande échelle : ça suppose juste un peu de courage, et je ne crois pas qu'on puisse être viré pour de tels motifs.

  7. Charlie,

    Oui ! Ici on voit la nécessité de la notion de BienWare ! Il y a les MalWare qui se propagent sur internet. Pourquoi ne pas faire des BienWare avec un avertissement du genre "Attention vous allez envoyer ce document a tout votre carnet d'adresse" en laissant une possibilité d'enlever quelques adresses.

    A creuser. Les BienWare pour la vérité.

  8. Sylvio,

    @Guitz et Charlie: au sujet de ces mailings, merci de continuer sur le forum qui est plus approprié à ces idées d'actions. Ici c'est un peu hors-sujet.

  9. sacha sher,

    Voilà que les bouches s'ouvrent !
    On ne pourra plus dire du 11-Septembre, comme pour d'autres crimes de masse, et pour citer Tacite :
    "LE PIRE CRIME A ETE OSE PAR QUELQUES UNS ; DAVANTAGE L'ONT VOULU ; TOUS L'ONT LAISSE FAIRE"
    ou ont laissé les criminels courir !

    Et la résistance s'active pour empêcher une attaque contre l'Iran (avec en lot de consolation en France ce débat http://www.dailymotion.com/playlist/x10hp_veltmore1_nabe/video/x3qw1f_nabe-sur-france-3-le-12-dec-2007-pa_news
    où Mr. Nabe va dans notre sens et fait rectifier la citation d'Ahmadinejad à ce pendard d'Heisbourg - qui je me souviens, lis tellement le néo-conservateur qu'il perd non seulement toute raison, mais en oublie aussi jusqu'à des mots français quotidiens, comme "usine", préférant dire "facilités", à cause de l'anglais "facilities"...).

    Sinon, je serais plus réservé sur l'implication de Mahmoud Ahmad. S'il a dû démissionner, un jour avant l'accusation parue dans "Times of India", c'est qu'il s'opposait, surtout, à des frappes sur l'Afghanistan. Maintenant, il semble possible que des pakistanais aient effectué de curieux transferts d'argent, comme Aslam Pervez (environ 100 000 $ également sur trois ans), un proche des dénommés Azmath et Khan (plus pakistanais qu'indiens, contrairement à ce que j'écrivais), qui voyageaient avec des cutters le 11/9, et avaient subtilisé le nom de quelques terroristes (Al Mihdhar, Al Hazmi). En même temps, ils fréquentaient la mosquée d'Omar Abdel-Rahman, sorte d'agent double, avec sa Holy Land Foundation. Donc ce qui se profile peut être une manipulation américaine, avec son lot d'Oswalds, une manoeuvre plus complexe que l'hypothétique et trop voyant transfert solitaire à Atta depuis Dubaï. Les renseignements indiens, travaillés qu'ils sont par d'autres agences de renseignements, ne désinforment certainement pas moins que les autres "services" (qui se servent évidemment beaucoup en disant nous servir).

  10. Onegus,

    A propos de la piste pakistanaise, lire le remarquable article du même Taïké Eilée à qui l'on doit le remarquable travail de synthèse plus haut sur cette page :

    "J'ai financé le 11 septembre et tout le monde s'en fout !"
    http://www.agoravox.fr/article.php3?id_article=28889

  11. foxnews,

    Bonjour

    Toutes ces personnes importantes qui doutent de la version officiel et parlent de mensonges , de manipulations d'omissions ect ect suifisent a faire rouvrir l'enquete sur le 911(numéro de date volontairement choisi très surment)

    J'ai trouvé sur le net une vidéo d'un grand producteur americain (décédé cette été)qui raconte que son ami un Rockfeller lui avait parlé de ce qui aller se passer bien avant me 11 septembre, et qu'on lui aurait meme proposé d'entrer ds ce fameux groupe d"elites"

    http://www.alterinfo.net/Aaron-Russo-sur-le-911,-le-CFR-et-Rockefeller-video-_a14810.html

    Espérons que ds cette nouvelle année il se passera qque chose, le silence des médias est assourdisant.

    PS: Comme vous etes le seul site de France qui se penche réellement sur l'affaire du 11/09 avec reportages, des interviews,des traductions ect...et qui faites un bon boulot, je me demandais s'il ne serait pas temps de redécorer ce site. Changer la forme et les couleurs, pourquoi pas les couleurs national en fond pour que d'autres pays fasse de meme et ainsi rendre l'enquete du web plus international.

  12. jean,

    Bonjour,
    Le premier mouvement de reflexion d'un rationaliste est de douter des "informations" dont les "médias" nous gavent..
    Ensuite en ayant personnellement constaté les faits, les conséquences et les acteurs humains de ces faits commence le travail de réflexion.
    1° Nos sociétées sont gouvernées par une "élite" qui se fréquente, s'entraide et (ou) s'oppose pour renforcer leurs intérets individuels ou familliaux.
    2° La connaissance historique permet de savoir que l'élite humaine pratique toujours de la même manière pour diriger les peuples qui sont sous leurs emprises.
    Ils pratiquent systématiquement le mensonge, la propagande (faite pour apeurer ou rassurer) la publicité (people) à leur usage pour magnifier leurs importance.
    Lorsqu'ils veulent entrainer leurs peuples à agir contre l'intéret collectif, ils provoquent volontairement une "crise" (drame interne) ou (menace de guerre) ce qui rassemble le patriotisme de leur peuple contre un ennemi à combattre.
    Néron, Napoléon 1er,Adolf Hitler etc ont tous eu recours à de telles méthodes...
    Que Georges WWW (héritier dynastique) ai fait la même chôse ne me surprends guère...
    Amitié
    jean

  13. Pierre,

    1 siècle d'enquête pour les chercheurs de vérité ? Ou 1 siècle de condamnation des auteurs des attentats ?

  14. Pierrette,

    http://book.coe.int/EN/ficheouvrage.php?PAGEID=36&lang=FR&produit_aliasid=2221

  15. LeSurHumain,

    Selon le président Cossiga, le 11-Septembre a été organisé par les services occidentaux

    L’ancien président de la République italienne, Francesco Cossiga, est connu pour son franc-parler. Dans une déclaration laconique, il a proclamé que « le roi est nu » : selon lui, comme tout les dirigeants occidentaux le savent, mais comme aucun ne le dit, ce sont les services US et israéliens qui ont perpétré les attentats du 11 septembre 2001.
    --------------------------------------------------------------------------------
    Le quotidien italien de grande réputation Corriere Della Sera publie dans sa version en ligne sur Internet du 30 novembre la prise de position de l’ancien chef d’Etat italien Francesco Cossiga, selon laquelle le fait que les « attaques » du 11 septembre 2001 sur les tours du World Trade Center à New York ont été mises en scène par les services secrets américains et du ­Proche-Orient, était et est connu de tous les services secrets dans le monde.

    Cossiga fut, de 1983 jusqu’à son élection comme Président de la République, président du Sénat italien. Il passait pour honnête et incorruptible, cela pendant toute la période de ses mandats jusqu’en 1992, ce qui lui valut le respect, même de ses opposants politiques. Il fut contraint de se retirer parce qu’il avait provoqué l’hostilité de l’Establishment politique et de l’OTAN en rendant publique l’existence de l’« Opération Gladio » et son rôle dans cette organisation. Les révélations de Cossiga avaient provoqué une enquête parlementaire en 2000 sur les activités de Gladio en Italie. Il en ressortit que les services secrets américains et de l’OTAN avaient mené des activités de terreur « sous faux drapeaux », causant de nombreuses victimes parmi la population civile. L’objectif fut alors de ­mettre sur le dos de groupes de gauche les actes de terreur, afin d’exciter la colère contre les communistes et de pouvoir exiger plus de moyens de la part de l’Etat.

    Cossiga commente la plus grande duperie de l’histoire envers les populations du monde, toujours selon l’article du Corriere Della Sera, ainsi : « On nous fait croire que Bin Laden aurait avoué l’attaque du 11 septembre 2001 sur les deux tours à New York – alors qu’en fait les services secrets américains et européens savent parfaitement que cette attaque désastreuse fut planifiée et exécutée par la CIA et le Mossad, dans le but d’accuser les pays arabes de terrorisme et de pouvoir ainsi attaquer l’Irak et l’Afghanistan. »

    Cossiga avait déjà en 2001 mis en doute la théorie officielle de complot, propagée par l’administration Bush, et mis l’accent sur le fait que l’attaque n’aurait pu avoir lieu sans l’infiltration du personnel des systèmes radar et de la sécurité aérienne américains. Les spécialistes de la construction mettent le doigt sur le fait que la symétrie et la chronologie de l’effrondrement des tours n’a pu avoir lieu qu’à l’aide d’explosifs, l’incendie ne pouvant pas être à l’origine de ce drame.

    Il est remarquable que ce journal très apprécié cite actuellement les dires de ce chef d’Etat hautement respecté ; cela enlève toute crédibilité à la prétention qu’il s’agit d’exagérations d’une théorie de complot. Il semble qu’on veuille plus fermement attirer l’attention des politiciens de haut niveau en Europe sur le fait que rien ne peut justifier leur soumission envers les Etats-Unis, en ce qui concerne les massacres de populations et les guerres d’agression, y compris la prétendue « Opération liberté immuable » (« Operation Enduring Freedom ») et qu’il s’agit d’un crime contre l’humanité – avec toutes ses conséquences personnelles, comme l’avaient montré les procès de Nuremberg.

    Source : http://www.voltairenet.org/article153878.html (17 décembre 2007)

  16. nicolas,

    Je viens de lire les premiere pages relatant le 11/9.
    Je ne sais que penser. Ca fait iben longtemps qu'au cours de diverses discussions des doutes ont ete emis sur une responsabilite (tacite ou non) de l'administration americaine.

    J'ai toujours ete de ceux qui affirmaient que ces allegations ont trop enormes pour etre vraies.
    Je disais volontiers que l'administration a su profiter de ces attentats pour pouvoir mettre en oeuvre leur politique etrangere, comme n'importe quel autre etat l'aurait fait. Mais de la a dire qu'ils ont laisse faire ou pire pris parti dans ces evenements c'est une autre histoire.

    J'ai vu le documentaire du specialiste en demolition demontrant qu'il n'est paspossible que les tours se soient ecroulees de cette maniere a cause d'un crash d'avion.

    Tous le monde (je veux dire les journalistes et autres) nous disent que nous sommes des conspirationistes, que l'on simplifie les evenements.

    Le matraquage qui eux lieu autour de tous ceux qui ont voulu, qui ont emis des doutes sur ces evenments se sont fais tous simplement lyncher mediatiquement et je trouvais ca normal, comment peut on remettre en cause la veracite de ceux qu'on a vu et revu: Oui les tours sont biens tombees a cause des avons qui s'y sont ecrases, je le sais je vu le deuxieme avion penetrer la tour en direct.
    Du coup apres, le moindre doute est psychologiquement difficile a admettre, on veux y croire.

    La logique voudrais que tout le monde emmettent des doutes sur l'atentat du pentagone, ou on ne retrouve pas le moindre debris d'avions. Et pourtant on se laisse aller a croire qu'apres c'est possible, la chaleur a fait tout fondre.
    Le trou trop petit, ma foi, il doit bien y avoir une explication, je ne la connias pas, je pense que personne ne la connais, car peu de personnes s'y sont vraiment penches. Et ce qui l'ont fais se sont fait demolir.

    Vous vous rendez compte de ce que cela implique?
    Ca a l'air tellement enorme, comment ca a pu etre passer sous silence?

    Je doute, je suis de ceux, qui pense qu'il y a toujours quelque chose derriere tout evenement, je veux dire les choses ne sont jamais aussi simple, aussi limpide. Et pourtant se raisonnement je me le suis refuse a propos des ces evenemnts.

    Je crois en la defaillance des services secrets, apres tout pourquoi pas.
    Je crois en des deffaillances dans la gestion de cette crise.

    Mais faut croire que les faits que vous avancez montrent une toute autre histoire.

    Dans tous les cas merci de m'avoir fait douter.

    Cordialement
    Nicolas

  17. Sylvio,

    Nicolas: quand je vote, j'essaye d'avoir le moins de doute sur le candidat que je vais choisir, quand je prend une décision importante, c'est également le cas évidement. Face au 11 Septembre et tout ce que ce tragique évenement implique (à de très nombreux niveaux : les guerres, nos médias, nos démocraties, etc), il est important d'avoir le moins de doute possible et de connaître tout les tenants et aboutissants, d'un coté comme de l'autre pour être le moins possible dans le doute. Vos reconnaissez que vos convictions (envers la thèse officielle) n'était basé que sur "peu" de chose au fond (un impact psychologique et émotionnelle, des explications simples et logiques mais "sans plus"). Il est important d'être le mieux informé possible là dessus, faîtes le tour de la version officielle et de ce qui vous pourrez trouvez sur ce site et tâchez d'avoir moins de doute ou sinon d'être mieux informer là dessus... Ne restez pas dans le doute, analysez l'ensemble en gardant tout votre esprit critique !

    La thèse de "l'incompétence" c'est la thèse officielle et le rapport de la commission d'enquête qui justifie tous par ce moyen (la non intervention de l'us air force (!), la "fragilité des tours", l'échec des services de renseignements qui n'ont rien vu venir, etc, etc). La thèse de "l'incompétence" ne résoud pas tous les problèmes, exemple, quid du WTC7 qui a lui seul pose énormement de questions.

  18. pillou,

    bon maintenant arretons de dire tout et n importe coi soi c est un bohing ou soi un missile qui c est scratcher sur le pentagone par ce que la sa devient l embrouille moi ma conclusion est deja faite c est un missille convaincu a 200pour100 mais vousvous faite reference a ce qu a dit norm mineta sur coi il aurais entendu une conversation entre cheney et un assistant lui rendent compte de la progression du bohing se raprochant du pentagone si c est un missille il n y a pas pue avoircette discussion il ne vous est pas venues a l esprit que mineta a lancer sa pour faire diverssion que lui aussi est dans le coups comme sa les gens vons se dire bon be c est bien un avion et c est le gouvernement qui a fait une erreure il non pas su le stopper avant alors moi je veux bien mais pourquoi on a suprimer toute les videos de surveillance pour pas que le monde vois l avion s encastrer dans le pentagone laisser moi rire alors arreter de marquer tout et n importe coi par ce que la vous embrouiller les gens je tiens a signaler que j adore ce site j y apprend beaucoup de chose voila merci

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